PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3298, 10 mars 2023, pp. 22-25.
Mots clés : Lien social-Précarité, Exclusion sociale, Emploi, École, Jeune, Décrochage scolaire, Chômage, Insertion sociale, Médiation éducative, Confiance, Invisibilité sociale, NEET (Not on education employement or training), Le Spot, Haut Rhin
Renouer le dialogue et redonner des perspectives aux décrocheurs du système scolaire ainsi qu’aux jeunes sans emploi et inconnus des travailleurs sociaux. Tel est l’objectif du Spot, un dispositif ambulant qui les invite à s’initier à la forge. Et plus si affinités.
Invisibilisation, décompensation, décès. Chaque jour, les équipes mobiles psychiatrie-précarité de Paris accompagnent des personnes à la rue pour tenter de les raccrocher à un parcours de soins. Un travail sanitaire et social confronté au manque global de moyens déployés pour ce public.
Article de François Chobeaux, Jean Luc Marchal, Henri Santiago Sanz
Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 152, 4e trimestre 2021, pp. 11-83.
Mots clés : Travail social : Métiers, Lien social-Précarité, Rue, Accompagnement social, Prévention spécialisée, Non-recours, Vulnérabilité, Invisibilité sociale, Travailleur social, Pratique professionnelle, Adulte en difficulté, Jeune en difficulté, SDF, Mineur, Exclusion sociale, Épidémie, Travail social, Errance, Addiction, Toxicomanie, Éducateur spécialisé, Lien social, Psychiatrie, Prostitution, Urgence sociale, Belgique, Grande Bretagne, Mali, Bénin, France
Parmi les diverses façons de mettre en acte l'accompagnement social, psychologique, médical des personnes, le travail de rue occupe une place particulière. Il est marqué par les premières pratiques de la prévention spécialisée dans les années 1950, plus récemment par les "maraudes" sociales, psychosociales, psychiatriques, humanitaires. Il s'agissait - il s'agit toujours - d'aller vers des personnes qui sont sans liens avec les institutions, d'aller les voir où elles sont : dans la rue. C'est un travail sans le filet de protection des murs institutionnels, des rendez-vous, des demandes d'aide normatives, que d'aller proposer ses services à ceux et celles qui ne demandent (plus) rien.
Ce dossier s'est appuyé sur trois réseaux pour porter sa réflexion : le réseau national "Jeunes en errance", Samusocial international, le réseau international des travailleurs sociaux de rue (Street Workers Network). Les textes des nombreuses équipes et intervenants concernent aussi bien les présentations de pratiques, le recul sur ces pratiques, que des perspectives plus globales sur le sujet - en France mais également en Belgique, en Grande-Bretagne, au Mali, au Bénin...
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3227, 01 octobre 2021, pp. 24-27.
Mots clés : Lien social-Précarité, Partenariat, Terrain, Créativité, Mission locale pour l'emploi, Invisibilité sociale, Jeune, Milieu rural, Isolement, Éducation, Travail
Lauréates d’un appel à projets national, les missions locales de Vitré et Fougères, en Ille-et-Vilaine, ont uni leurs compétences afin de repérer et mobiliser sur leur territoire le public dit des "invisibles". Un dispositif alliant partenariat, travail de terrain et inventivité.
Article de Marie Nahmias, Sophie Massieu, Brigitte Bègue
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3198, 26 février 2021, pp. 6-13.
Mots clés : Lien social-Précarité, Précarité, Adulte en difficulté, Inégalité, Genre, Invisibilité sociale, Femme, Accompagnement social, Famille monoparentale, SDF, Violence
Dossier composé de 4 articles :
- Précarité : une réalité genrée
- Invisibles parmi les invisibles
- Des accompagnements spécifiques encore insuffisants
- « Je n’avais jamais eu de chez moi »
Indéniable vecteur de socialisation et de valorisation, le bénévolat est aussi facteur de domination sur des personnes qui le pratiquent. A l’image des femmes précaires des quartiers prioritaires de la ville. Contraint, cet engagement par défaut et faute d’emploi devient du travail gratuit et un facteur de discrimination entre les « bons » et les « mauvais » pauvres.