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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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"Des moyens importants pour transformer l'offre"

Article de Laura Taillandier, Génevieve Darrieussecq

Paru dans la revue Direction(s), n° 220, juin 2023, pp. 18-20.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Établissement social et médicosocial, Management, Prise en charge, Gestion, Directeur d'établissement, Besoin, Accompagnement

Face à un "manque de données préoccupant", Geneviève Darrieussecq en appelle aux gestionnaire pour aider au déploiement des 50000 nouvelles solutions annoncées à la Conférence nationale du handicap fin avril et qui s'accompagneront de la création d'un fonds de transformation de l'offre. La ministre déléguée détaille les chantiers qui s'engagent et sa priorité : déployer le repérage précoce.

Discipline carcérale et handicap

Article de Emilie Bertin

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3299, 17 mars 2023, pp. 16-21.

Mots clés : Justice-Délinquance, Handicap, Prison, Discrimination, Souffrance psychique, Prise en charge, Handicap psychique, Détenu, Sanction

Les personnes détenues présentant des troubles mentaux, nombreuses dans les établissements pénitentiaires, sont régulièrement sanctionnées par la commission de discipline. Une discrimination en partie due à la non-prise en compte du facteur handicap dans les procédures.

Vieillissement : la double peine du handicap

Article de Laurence Ubrich, Maxime Ricard, Danielle Michelet Coutama

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3274, 16 septembre 2022, pp. 6-13.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Grand âge-Vieillissement, Handicap, Personne âgée, Vieillissement, Prise en charge, Problématique, Besoin, Accompagnement, Autonomie, Changement

Dossier composé de trois articles :
Vieillissement : la double peine du handicap
Rester autonome le plus longtemps possible
« Il faut changer la logique d’accompagnement »

Communauté 360 : la réussite de l'Hérault fera-t-elle des émules ?

Article de Kevin Nectoux, Hélène Padieu, Jean Louis Sanchez

Paru dans la revue Le JAS le journal des acteurs sociaux, n° 266, avril 2022, pp. 26-28.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Personne handicapée, Prise en charge, Partenariat, Mutualisation, Plateforme, Hérault

C'est à l'occasion de la 5ème Conférence nationale du handicap, le 11 février 2020, que le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé la mise en place d'une plateforme téléphonique unique d'appui, appelée "360" (le numéro vert complet étant 0 800 360 360) pour simplifier l'accès aux solutions par les personnes en situation de handicap. Pour fonctionner, cette plateforme s'appuie sur la mise en relation au sein de "communautés 360", de tous les acteurs locaux (pouvoirs publics, associations, bailleurs sociaux, etc.), en charge du handicap dans chaque département, ce qui nécessite leur pleine coopération. Or, toutes les études montrent que l'objectif de collaboration interinstitutionnelle n'est pas facile à mettre en œuvre. C'est pourquoi, deux ans après, Le Jas a souhaité faire le point sur ce nouveau dispositif, en interrogeant les acteurs du handicap du département de l'Hérault.

Violences faites aux femmes : protéger encore

Article de Flore Mabilleau, Ernestine Ronai

Paru dans la revue Direction(s), n° 202, novembre 2021, pp. 22-29.

Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Femme, Hébergement, Prévention, Accompagnement social, Enfant, Association, Victime, Handicap, Prise en charge, Parentalité, Séparation, Droit de visite, Contrôle social, Financement

Les acteurs de terrain saluent les progrès dans la lutte contre les violences conjugales permis par le Grenelle de 2019. Toutefois, des efforts restent à fournir, notamment sur les capacités d'hébergement, la prévention ou encore l'accompagnement des enfants. Pour le secteur, la mobilisation ne doit surtout pas faiblir. Au contraire.

Militante historique de la lutte contre les violences faites aux femmes et actuellement coprésidente de la commission Violences du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE), Ernestine Ronai analyse les évolutions et les résultats des politiques publiques en la matière. Elle insiste notamment sur le besoin de formation des intervenants.

Dans le Doubs, le service Altérité accompagne des hommes ayant commis des violences conjugales dans le cadre d'une contrainte judiciaire, mais aussi depuis peu des volontaires. Le but ? Les amener à prendre conscience de leurs actes et ainsi prévenir la récidive.

En cas de violences conjugales, différents dispositifs sont mis en avant pour organiser, après une séparation, le droit de visite du parent agresseur en protégeant mère et enfants.

Plateformes de services : rationalisation ou ubérisation ?

Article de Brigitte Bègue, Gérard Zribi

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3225, 17 septembre 2021, pp. 6-11.

Mots clés : Travail social : Établissements, Handicap, Prise en charge, Établissement social et médicosocial, Institution, Santé mentale, Population, Vulnérabilité, Psychiatrie infantile, Plateforme, Intégration

Dossier composé de 3 articles :
- Plateformes de services : rationalisation ou ubérisation ?
- L’organisation de la « non-rencontre »
- « L’intégrisme de la normalité n’efface pas les besoins particuliers »

Alzheimer Jeunes : mieux connaître pour mieux accompagner

Article de Alexandra Marquet, Adeline Rollin, Bruno Dubois, et al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 8, août 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Jeune, Symptôme, Diagnostic, Éthique, Témoignage, Soutien psychologique, Habitat collectif, EHPAD, Souffrance psychique, Aidant familial, Repos, Accompagnement, Adaptation, Prise en charge, Pluridisciplinarité, Lien social, Handicap, Génétique, Exclusion sociale, Trisomie, Stéréotype

ERRANCE ET DOUBLE PEINE. Lorsque la mémoire flanche, les aînés pensent immédiatement et avec angoisse à la maladie d'Alzheimer. Pour les plus jeunes, cette maladie neurodégénérative n'est pas un sujet d'inquiétude, dans l'immédiat en tout cas. Réalité mal connue, elle touche pourtant plus de 55 000 personnes de moins de 65 ans, soit près de 6 % de la totalité des malades. Chez eux, les difficultés à trouver des mots ou les troubles du langage sont les premiers symptômes. Le réflexe consiste à attribuer ces troubles à un burn-out ou à une dépression. Souvent, le médecin généraliste renvoie vers un accompagnement psychologique. C'est seulement après une longue errance qu'un neurologue finit par poser le diagnostic... et un pronostic qui laissent place à la souffrance. C'est la double peine pour des personnes encore en activité professionnelle, ayant parfois des enfants en bas âge. Pour les proches, c'est une réelle mise à l'épreuve avec un quotidien totalement bouleversé.
APRES LE DIAGNOSTIC, LE DESERT ? En France, des efforts ont été engagés autour du pronostic précoce... Face à des manifestations cliniques atypiques et aux sévérités des troubles, une prise en charge spécifique doit être déployée. Vers qui se tourner ? Sachant que ce public est freiné par des barrières d'âge en Ehpad, en particulier quand le maintien à domicile devient impossible. Face à une pathologie qui progresse très vite, il est nécessaire d'être bien entouré à domicile comme en institution. En France, ce n'est qu'en 2015 que le premier établissement dédié a ouvert ses portes, à Cesson, en Seine-et-Marne. Il s'agit d'une structure portée par une association spécialisée dans le handicap. Pour cette pathologie qui touche un public jeune, les professionnels à la frontière entre le handicap et la gérontologie ne sont pas de trop pour faire face à la sévérité des symptômes. Face à l'inéquation entre cette forme de pathologie et un encadrement inadapté, les expérimentations se sont développées. Elles démontrent toute l'importance de l'accompagnement médico-social et non médicamenteux. (...)
QUAND UN MOT BLESSE. A l'heure où la société affiche un âgisme assumé et où les préjugés autour de la maladie d'Alzheimer ne sont plus à démontrer, certaines voix s'élèvent pour que les experts et professionnels de terrain changent de discours et cessent d'employer le terme de "démence" qui renvoie à la vieillesse et à la déchéance. Pour les malades jeunes, ce mot stigmatisant blesse. Ce n'est pas qu'une question de vocabulaire, mais de dignité pour les personnes atteintes de troubles cognitifs et leurs proches, qui veulent continuer à vivre le plus normalement possible, sans être montrés du doigt.

Accueillir un enfant en situation de handicap, oui, mais...

Article de Magalie Charrier

Paru dans la revue Le journal des professionnels de l'enfance - Pratiques, n° 127, mars-avril-mai 2021, pp. 16-19.

Mots clés : Enfance-Famille, Accueil, Adaptation, Crèche, Conditions de travail, Déni, Éducateur de jeunes enfants, Enfant, Handicap, Handicap mental, Implication personnelle, Intégration, Jeune enfant, Lien social, Parentalité, Politique, Pratique professionnelle, Prise en charge, Relation famille-institution, Témoignage, Usure professionnelle

Vieillissement et handicap psychique

Article de Jacob Benarosch, Georges Jovelet, Cécile Hanon, et al.

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 1, février 2020, pp. 3-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Vieillissement, Handicap, Handicap psychique, Accompagnement, Prise en charge, Éthique

Comment repérer le vieillissement chez une personne handicapée ?
Comment repérer le vieillissement chez une personne handicapée, où se mêlent un tableau clinique des incapacités et des dépendances diverses et antérieures, avec le vieillissement physiologique du corps et ses conséquences ? À ce jour, il n'y a pas de référentiel clinique du vieillissement de personnes en situation de handicap en général, et du handicap psychique en particulier.
Comment dans ce cas, les accompagnants peuvent-ils, parmi la symptomatologie des déficiences, percevoir les signes du vieillissement ? Ils risquent de confondre le vieillissement physiologique avec l'évolution d'une incapacité fonctionnelle.
Est-ce que le vieillissement est plus précoce et plus rapide que dans la population ordinaire en raison de sa fragilité, entrainant une dépendance encore plus importante ? Les données statistiques Ameli montrent que l'espérance de vie est inférieure d'environ 15 ans chez les personnes souffrant de troubles psychiques, et l'âge moyen de leur décès se situe à 67 ans.
Sont-elles davantage vulnérables aux maladies corporelles en raison de leur incapacité à exprimer leurs maux ? Est-ce que leur espace de vie se rétrécit davantage que chez les sujets dits normaux ? Quel type d'accompagnement spécifique pour répondre aux besoins ? Ce numéro tente d'apporter des réponses à toutes ces interrogations, de préciser l'éventail des prises en charge actuelles dans ce domaine, avec des témoignages de professionnels qui décrivent leurs pratiques d'accompagnement dans des établissements divers (Ehpad, famille d'accueil, équipes mobiles…), ainsi que celui de l'UNAFAM et de personnes touchées par ce handicap.

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