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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La transformation de l’offre : entre vouloir agir et pouvoir d’agir

Article de Sara Calmanti, Jérôme Bégarie, Gaëlle Le Pabic, et al.

Paru dans la revue Vie sociale, n° 43, janvier 2024, pp. 167-179.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Droits des usagers, Citoyenneté, Participation, Autodétermination, Méthodologie, Inclusion

Les années 2000 ont été marquées par des évolutions réglementaires réaffirmant les droits et la citoyenneté des personnes en situation de handicap. La déclinaison opérationnelle du mouvement de la « transformation de l’offre » (TDO), engagé par la circulaire de 2017 et qui s’appuie sur ce socle conceptuel, n’est à ce jour pas explicitée. Ainsi, des démarches expérimentales se démultiplient de façon hétérogène sur un territoire, à l’initiative des acteurs ou sous forme de réponse à des appels à projets en déclinaison des politiques publiques, produisant in fine un effet de concurrence entre acteurs. À travers leurs retours d’expérience, les CREAI proposent dans cet article de dessiner les enjeux opérationnels de la TDO, et témoignent de la nécessité de l’articuler avec la construction d’une société inclusive pour qu’elle puisse trouver tout son sens, au bénéfice du parcours des personnes en situation de handicap.

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Un moteur de transcription permet aux malentendants de suivre les débats

Article de Isabelle Verbaere

Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 18/2664, Semaine du 8 au 14 mai 2023, p. 46.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Surdité, Handicap sensoriel, Accessibilité, Aide technique, Collectivité territoriale, Inclusion, Innovation, Réunion, Citoyenneté

Le moteur de transcription de la parole Latis facilite l'accessibilité des réunions publiques aux personnes sourdes. L'outil s'adapte au système de sonorisation déjà en place dans les salles de la collectivité.

Un comité consultatif cherche à rendre la ville plus inclusive

Article de Clément Le Foll

Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 13/2659, Semaine du 3 au 9 avril 2023, p. 42.

Mots clés : Lien social-Précarité, Démocratie participative, Participation, Inclusion, Citoyenneté, Empowerment, Lien social, Discrimination, Prévention, Collectivité territoriale, Milieu urbain, Les Lilas, Seine-Saint-Denis

Entre mars et juillet 2022, 24 habitants se sont réunis pour élaborer plusieurs mesures contre les discriminations.

Une accessibilité bien ordonnée : les politiques du handicap comme instrument de statu quo social

Article de Romuald Bodin, Etienne Douat

Paru dans la revue Déviance et société, vol. 47, n° 1, 2023/1, pp. 35-63.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Personne handicapée, Accessibilité, Inclusion, Norme sociale, Contrôle social, Politique sociale, Participation, Empowerment, Citoyenneté, Autonomie, Sociologie, Loi n° 2005-102 du 11 février 2005

L’article s’intéresse au nouvel « ordre symbolique » que la loi française du 11 février 2005 (pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées) et les débats publics qui l’entourent contribuent à constituer ainsi qu’à ses conséquences concrètes en termes d’organisation sociale. L’enjeu est de montrer qu’à l’encontre d’une lecture conventionnelle qui fait de cette loi un point de basculement vers un nouveau modèle du handicap, dont l’accessibilité et le « vivre ensemble » seraient devenus les mots d’ordre, l’ordre symbolique qui s’impose dans les années 2000 est en réalité un instrument de maintien du statu quo et de préservation de l’ordre public.

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Une ou des préventions spécialisées ?

Article de Didier Tronche, Pierre Alain Sarthou, Olivia Gally, et al.

Paru dans la revue Forum - CNAPE, n° 100, octobre-décembre 2022, 27 p..

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Protection de l'enfance, Abus sexuel, Accompagnement, Citoyenneté, Handicap, Inclusion, Prévention spécialisée, Rupture, Technologie numérique, Réseau d'information et de communication

03 EDITO
ACTUALITÉ
04 Quel automne pour la CNAPE !
PROTECTION DE L’ENFANCE
06 Entretien avec Charlotte Caubel, secrétaire d’Etat auprès de la Première ministre, chargée de l’Enfance
08 Repérer et accompagner les victimes de violences sexuelles : un savoir-faire devenu nécessaire pour tous les professionnels de l’enfance
JUSTICE PÉNALE DES MINEURS
10 Le DRECS : un projet éducatif bâti autour de la citoyenneté et du vivre-ensemble
MÉDICO-SOCIAL
12 Les plateformes ressources : pour une inclusion respectueuse des besoins
DOSSIER
15 Une ou des préventions spécialisées ?
VULNÉRABILITÉS ET PRÉVENTION
22 Agir aujourd’hui, pour demain : la prévention s’expose
DROITS DE L’ENFANT
24 A quel respect de leur vie privée ont droit les enfants ?
26 Les Défenseurs de l’enfance de retour pour célébrer les droits de l’enfant

Isolement à domicile : détecter et prévenir la fin de vie sociale

Article de Alexandra Marquet, Michel Billé, Joran Le Gall, et al.

Paru dans la revue ASH Domicile, hors-série n° 24, décembre 2022, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Accompagnant éducatif et social, Auxiliaire de vie sociale, Aide à domicile, Personne âgée, Personne handicapée, Aidant familial, Maintien à domicile, Isolement, Lien social, Inclusion, Souffrance psychique, Épidémie, Ennui, Médiation, Prévention, Vulnérabilité, Territoire, CCAS, Citoyenneté, Accompagnement, Bénévolat

Quand silence rime avec souffrance.
LIEN SOCIAL FRAGILISÉ PUIS ROMPU.
Grands-parents, enfants, petits-enfants : trois générations vivant ensemble sous le même toit. Cette image familiale a pour ainsi dire totalement disparu du paysage français. Place à l’individualisme et au chacun "chez soi", chacun sa vie, dans son havre de paix. A quel moment cette solitude, parfois ardemment souhaitée, se transforme-t-elle en une souffrance ? Tout commence quand la vulnérabilité s’invite à domicile : le lien se fragilise alors. Grand âge, veuvage, maladies chroniques, handicaps sont autant de facteurs qui favorisent l’isolement. L’association Petits Frères des pauvres parle d’une "triple peine" quand la solitude tutoie la pauvreté et la perte d’autonomie. Tous les voyants sont dès lors réunis, que ce soit dans un département rural ou en plein cœur d’une grande métropole : aucun territoire n’est épargné. Au cours des deux dernières années, la crise de la Covid a fortement participé à isoler les plus fragiles. Près de 530 000 personnes ont été traversées par cette "mort sociale" qui se traduit par une absence de contacts avec des conséquences parfois fatales : dépression, suicide, syndrome de glissement… Et dans ces situations de quasi-assignation à résidence où l’environnement extérieur est pour ainsi dire inexistant, règne une zone de non-droit avec des difficultés pour accéder à des services accompagnées d’une perte de chances, d’une accélération de la dépendance.
UN PEU DE CHALEUR…
Parfois, la venue de l’aide à domicile est le seul contact avec ce "dehors". La seule conversation échangée. Une charge bien lourde pour les épaules frêles de ces professionnels souvent mal préparés à "gérer" ou même à "accompagner" le manque d’interactions sociales. Et pourtant, "repérer et prévenir le risque d’isolement" fait partie du référentiel des accompagnants éducatifs et sociaux. Mais pour quels objectifs ? Avec quels moyens ? Et surtout avec quels outils ? Les réponses restent à construire. Seuls sur le terrain, les auxiliaires de vie enchaînent les rencontres mais se sentent, eux aussi, désespérément isolés. C’est tout le paradoxe du métier. Et quand deux solitudes se rencontrent, l’échange n’est pas forcément au rendez-vous, faute d’envie ou de disponibilité.
Dans ce désert relationnel, comment trouver un peu de chaleur ? Les bénévoles peuvent être un soutien indéfectible. Même si les experts constatent un désengagement des plus âgés sur le terrain, avec le réflexe d’un autoconfinement, d’une protection face aux virus qui peuvent tuer. Les équipes citoyennes sont une (autre) réponse, mais encore faut-il que leur déploiement soit synonyme de proximité. Le secteur du domicile n’est pas en reste. Citons le service Voisinage du côté d’Alençon, une expérimentation conduite par La Croix-Rouge avec la volonté de ne plus se cantonner aux soins mais de soutenir les liens sociaux, ou encore cette soignante qui est désormais engagée dans le Care. Tous ont la (même) volonté de repousser la perte d’autonomie, d’apporter un peu de chaleur. Conscient de la gravité de la situation, le Gouvernement a proposé l’instauration de deux heures hebdomadaires de convivialité pour les bénéficiaires de l’APA. A compter de 2024. Urgence relative. Et pour tous les autres ? Les jeunes ? Les personnes handicapées ? Les moins de 60 ans ? A l’heure où l’isolement peut tuer, les insuffisances des politiques publiques sont pointées du doigt. Si certains centres communaux d’actions sociales misent sur la prévention, l’enjeu est plus que jamais de sortir d’une vision médico-sociale pour inscrire ces publics dits "fragiles" dans la citoyenneté et la prise en compte de l’expertise d’usage.

Citoyenneté : quand la vulnérabilité fragilise les droits

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Clémence Lacour, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 19, juillet 2022, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Citoyenneté, Accès aux droits, Personne âgée, Personne handicapée, Décision, Dignité, Droit de vote, EHPAD, Établissement social et médicosocial, Reconnaissance, Usager, Vulnérabilité, Inclusion

ETRE PRIS EN COMPTE.
Symbole par excellence de la citoyenneté, le droit de vote a été élargi en 2019 par la réforme du Code électoral pour que les personnes protégées – notamment celles porteuses d’un handicap mental – puissent avoir le droit de déposer leur bulletin dans l’urne. Cette avancée attendue et saluée par tous ne doit toutefois pas occulter les freins nombreux d’une citoyenneté souvent empêchée. N’est-il pas paradoxal que les usagers puissent s’exprimer sur des décisions locales ou nationales au cours des différents scrutins sans avoir la possibilité de faire valoir leur point de vue au quotidien ? Les personnes en grande vulnérabilité vivant en établissements sociaux ou médico-sociaux seraient-elles des citoyens de seconde zone ? Si la question interpelle, leurs (faibles) pouvoirs décisionnels ne peuvent qu’interroger. Ne pas avoir le choix, subir le quotidien et les décisions d’autres… Mais pour de bonnes raisons, diront certains, évoquant le sacrosaint : "C’est pour leur bien."
ALLER VERS L'AUTODÉTERMINATION.
"On ne naît pas citoyen, on le devient." C’est en tout cas la vision de certains, qui regrettent que ce sujet soit méconnu et n’intéresse ni les principaux intéressés, ni les professionnels. L’éducation est-elle le parent pauvre du secteur ? La grande oubliée des projets personnalisés ? Et si la citoyenneté s’apprenait pas à pas ? C’est en lisant, en observant, en s’ouvrant aux autres, que l’esprit critique se développe. Or, force est de constater que la priorité en établissement ne se trouve pas (encore) dans la reconnaissance de l’autodétermination. Devenu à la mode, ce concept est encore insuffisamment relayé. Quand une personne âgée vulnérable entre en établissement, la direction met à l’abri ses papiers et son argent liquide ; pour la protéger. Mais alors, comment peut-elle ensuite consommer et se déplacer en toute liberté ? Quand la surprotection et l’infantilisation ne font reconnaître que les incapacités, la citoyenneté recule. Mais avant de prôner un changement de pratiques, un changement de vocabulaire semble devoir être un premier pas pour des personnes vues comme des patients, des résidents ou, au mieux, des usagers. Sans sentiment de chez-soi et sans maîtrise de son environnement, comment peut-on se positionner comme citoyen ? C’est tout l’enjeu du cadre domiciliaire qui doit se développer pour que la qualité de vie et la rupture de l’isolement social soient les deux piliers des établissements sociaux et médico-sociaux.
FACILITER LE "FAIRE ENSEMBLE".
Prendre en considération l’avis des usagers et les impliquer ; autant de défis qu’il faudra relever pour que les pratiques changent et, avec elles, le regard porté sur le secteur. Certains ont d’ores et déjà fait le choix de la reconnaissance en expérimentant des comités de réflexion éthique participative ou en portant des actions coconstruites où le "faire ensemble" est la règle. Cela est donc possible, à condition d’outiller les professionnels à grand renfort de Facile à lire et à comprendre (Falc) et autres pictogrammes. Reste à généraliser leurs utilisations pour rendre le pouvoir aux personnes vulnérables. Finalement, que l’on soit très âgé, adulte en situation de handicap ou encore jeune avec des difficultés sociales, le besoin de reconnaissance est indispensable pour que la citoyenneté ou encore la République ne soient pas vécues comme des lieux communs lointains. L’enjeu est de renouer avec la confiance. Quand les personnes sont reconnues dans leurs capacités, leurs droits et leurs devoirs, alors elles peuvent (re)devenir actrices de leur vie.

Discours sur la démence et le déclin au Royaume-Uni

Article de Sébastien Libert, Georgina Charlesworth, Paul Higgs

Paru dans la revue Gérontologie et société, vol. 44, n° 167, mai 2022, pp. 49-66.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Inclusion, Démence sénile, Politique sociale, Autonomie, Entretien, Vie quotidienne, Dépendance, Autogestion, Citoyenneté, Décision, Royaume-Uni

La notion d’indépendance occupe une place prépondérante dans les stratégies actuelles de réponse à l’exclusion sociale des personnes atteintes de démence au Royaume-Uni, s’inscrivant dans un récit plus large de « bien vivre » dans la maladie. Cet article explore les implications pratiques de l’application de cette notion. Il se base sur une étude de six entretiens qualitatifs avec des chercheurs développant une intervention psychosociale dans ce pays. Une analyse de leurs perspectives et expériences présente comment l’application de ce concept vise à promouvoir une agentivité et un mode de vie actif chez la personne vivant un déclin cognitif. Cette intervention traduit ainsi un récit de stabilisation de la démence à l’encontre de sa nature progressive. Deux zones de tension émergent de ce récit dans l’intervention liées 1) à la normativité attachée au principe d’indépendance, et 2) au risque de présenter la dépendance comme un choix. Au vu de ces tensions, cet article argumente que la prédominance de ce principe d’indépendance risque de naturaliser une part de l’exclusion que vivent les personnes ne pouvant prendre part à ce type d’intervention en raison même de l’intensité de leur dépendance. Cet article propose alors le concept de techniques d’omission comme catégorie analytique permettant d’appréhender de manière plus large les interventions, stratégies et récits sociétaux qui omettent la position des personnes en situation de dépendance avancée, incitant ainsi une réflexion sur notre rapport sélectif au déclin cognitif et au vieillissement dans la société

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Envol'Toit, l'habitat inclusif selon l'Esperluette

Article de Camille Lacaze, Emmanuelle Daran, Françoise Lacaze

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 534-535, novembre-décembre 2020, pp. 97-124.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Personne handicapée, Relation équipe éducative-famille, Légitimité, Empowerment, Citoyenneté, Participation, Projet de vie, Projet individualisé, Intégration, Accessibilité, Mixité, SAMSAH, Colocation, Inclusion, Toulouse

Lancé à l'automne 2017, le projet Habitat Inclusif de l'Esperluette a rapidement évolué dans le courant de l'année 2018 grâce à la participation de l'association aux étapes de concertation citoyenne mise en place par Toulouse Métropole et les aménageurs du futur quartier Guillaumet : Altarea Cogedim & Crédit Agricole Immobilier. Au-delà de cette mobilisation, c'est une collaboration privilégiée entre l'Esperluette et Habitat & Humanisme Midi-Pyrénées, alors partenaire du groupement lauréat du concours pour le réaménagement du quartier, qui a encouragé l'aménageur (Cogedim) à soutenir une démarche inclusive par le logement des personnes en situation de handicap.

Vivre ensemble dans le monde d'après

Article de Patrick Ben Soussan, Marion Latuillière, Roland Gori, Fabiola Vincentiet al.

Paru dans la revue Spirale, n° 95, octobre 2020, pp. 15-133.

Mots clés : Épidémie, Société, Art, Santé publique, Soin, Émancipation, Maladie infectieuse, Témoignage, Socialisation, Éducation, Enfant, Transmission, Autonomie, Coéducation, Parentalité, Individu, Communauté, Politesse, Jeu, Créativité, Lecture, Lien social, Livre pour enfant, Relation enfant-parents, Communication, Nourrisson, Tolérance, Changement, Citoyenneté, Empathie, Altérité, Conscience de soi, Participation, Bientraitance, Adaptation, Voix, Musique, Parole, Création, Éveil, Crèche, Poésie, Théâtre, Inclusion, Petite enfance, Sartre (Jean Paul), Tocqueville (Alexis de), Nietzsche (Friedrich Wilhelm)

Vivre ensemble, est-ce un vœu pieux, une injonction, une leçon d’éthique du quotidien, ou le constat d’une impuissance à être, à agir et à penser ? Vivre ensemble, cela se décrète ou cela s’apprend ?
Depuis tout petits, nous enregistrons des connaissances, nous apprenons à faire des choses « utiles ». Les lieux d’accueil de la petite enfance, les salles de classe de la maternelle, les bancs de la fac plus tard, sont faits de chaises individuelles placées toutes dans la même direction, celle de notre avenir personnel, pour permettre à chacun d’entre nous de se faire sa place dans la société, au mieux à côté des autres, au pire contre les autres.
Mais la vie de tous n’est-elle pas avant tout faite de relations humaines – disputes, rivalités, jalousies, mais aussi amour, amitié, complicités... – de liens, de la dynamique des rapports que nous construisons avec ceux qui partagent notre vie quotidienne, dans notre cité planétaire ?
Nous avons souhaité développer cet opus de la revue autour de quelques grandes questions

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