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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Salomé, patiente du docteur Chaperot, entre autres choses

Article de Christophe Chaperot

Paru dans la revue Empan, n° 110, juin 2018, pp. 18-21.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Écriture, Relation soignant-soigné, Psychothérapie, Psychose, Schizophrénie, Livre

Dans cet article, Salomé a essayé de dire et de décrire à travers l’image du chewing-gum ce qu’était pour elle l’écriture à ce moment-là et de partager sa vision du travail en thérapie, du lien. Vision aussi de l’expérience d’écriture du livre Salomé et son psychiatre avec Christophe Chaperot. Le psychiatre de Salomé donne ici sa propre version de cette étrange expérience d’écriture à deux, avec sa patiente et durant la thérapie. Il y témoigne de son désarroi, mais aussi de l’intensité dangereuse de ce mode de dualisation, que l’on retrouve dans toutes les formes de thérapie peu ou non codifiées.

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Schizophrénie : habiter un logement ?

Article de Fabien Agneray, Martine Barrès, Jeanne Marie Richard, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 228, mai 2018, pp. 27-87.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Schizophrénie, Psychiatrie, Logement, Habitat, Accompagnement social, Équipe soignante, Soins à domicile, Sectorisation psychiatrique, Handicap psychique, Prestation sociale, Autonomie, Évaluation, Méthode, Cognition, Psychose, Insertion sociale, Équipe pluridisciplinaire, Logement social, SAMSAH, Relation soignant-soigné, Prise en charge, Approche clinique, Remediation cognitive

Dans les schizophrénies, habiter ne va pas de soi. L'accompagnement au logement est donc déterminant pour le maintien des patients dans la communauté. Cet accompagnement parfois difficile et infructueux doit être considéré à la lumière d'une clinique de l'habiter, pour penser l'inscription dans un "chez soi". Par ailleurs, face aux retentissements de la maladie sur le fonctionnement quotidien, les soignants peuvent s'appuyer sur les outils de la réhabilitation psychosociale, en particulier ceux de la remédiation cognitive.

L'entrée dans la schizophrénie

Article de Laurent Lecardeur, Sophie Meunier Cussac, Sonia Dollfus, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 209, juin 2016, pp. 23-87.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Schizophrénie, Psychose, Prise en charge, Adolescent, Méthode, Diagnostic, Symptôme, Évolution, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Médicament, Témoignage, Famille, Demande, Relation soignant-soigné, Infirmier psychiatrique, Dépistage, Prévention, Évaluation, Âge, Approche clinique

L'émergence de la la schizophrénie marque un bouleversement pour le jeune patient et son entourage. La recherche montre que la longue phase prodromique ouvre la possibilité d'actions préventives pour limiter et retarder l'évolution des troubles. Dans ce champ de l'intervention précoce, il s'agit de soigner sans diagnostic certain... mais pas sans évaluation. Concrètement, il faut dès que possible instaurer une prise en charge multidisciplinaire adaptée au stade évolutif de la maladie, ce qui pose entre autres la question de l'accès aux soins des adolescents.

L'humour dans les soins

Article de Christophe Panichelli, Olivier Douville, Jean Paul Lanquetin, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 206, mars 2016, pp. 27-79.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Humour, Rire, Souffrance psychique, Psychiatrie, Psychanalyse, Relation soignant-soigné, Art-thérapie, Atelier, Créativité, Schizophrénie, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Groupe, Psychose

Dans une situation de souffrance psychique, le soignant peut-il se risquer à l'humour sans mettre en péril l'alliance thérapeutique ? Quelles fonctions cette "forme d'esprit" joue-t-elle dans l’interaction avec le patient ? Si l'humour comporte des risques, il permet aussi de détendre l'atmosphère, de surprendre, de réinterpréter, de désamorcer des tensions et peut se révéler un précieux médiateur thérapeutique.

Troubles du sommeil en psychiatrie

Article de Agnès Brion, Thierry Faivre, Roger Godbout, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 205, février 2016, pp. 22-83.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Trouble du sommeil, Psychopathologie, Psychiatrie, Sommeil, Schizophrénie, Rêve, Psychose, État dépressif, Médicament, Prise en charge, Psychologie clinique, Suicide, Risque, Relation soignant-soigné, THERAPIE COMPORTEMENTALE

En psychiatrie, les troubles du sommeil s'accompagnent souvent d'une aggravation des symptômes de la maladie mentale. Compte tenu des enjeux pronostiques, ces troubles sont à rechercher systématiquement. Aujourd'hui, des prises en charge adaptées, en particulier non médicamenteuses, peuvent avoir des effets positifs sur le cours de la maladie. État des lieux des connaissances.