Article de Myriam Léon, Magali Nonjon
Paru dans la revue Lien social, n° 1271, 14 au 27 avril 2020, pp. 18-24.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Participation, Empowerment, Droits des usagers, Relation travailleur social-usager, Jeune, Insertion sociale, Parole, Démocratie participative, Provence Alpes Côte d'Azur
Malgré la loi 2002-2, la collaboration avec les personnes concernées ne va toujours pas de soi. Alors, quand en 2018, le Président de la République, dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, appelle à « un choc de participation » faut-il saluer un coup de turbo… ou pas ?
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Article de Marion Maurel
Paru dans la revue Empan, n° 117, mars 2020, pp. 94-97.
Mots clés : GEM, Handicap psychique, Accueil collectif de mineurs, Approche historique, Projet individualisé, Inclusion, Provence Alpes Côte d'Azur
C’est à partir d’échanges avec Françoise Galinon, psychiatre psychanalyste, fondatrice de l’association « Bon Pied Bon Œil » que j’ai pu écrire cet article qui retrace l’histoire de ce gem afin d’éclairer ce que je peux y proposer en tant que vacataire. J’interviens une fois par mois sur l’atelier « aide aux projets ». Cet atelier est ouvert à tout membre qui souhaite envisager un projet d’insertion (le projet doit être entendu comme toute proposition dans le champ social).
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Article de Laurie Centelles
Paru dans la revue Empan, n° 117, mars 2020, pp. 87-93.
Mots clés : Enfant handicapé, Loisir, Accueil de loisirs, Accueil collectif de mineurs, Égalité des chances, Projet de vie, Inclusion, Provence Alpes Côte d'Azur
L’accès aux loisirs en France est une réalité pour seulement 0,28 % des enfants en situation de handicap. Pourtant, jouer apporte à l’enfant tant en qualité de vie, en autonomie qu’en émulation entre pairs et ce, réciproquement. L’objet de notre témoignage est d’abord d’interroger le bien-fondé de tiers-lieux comme celui du Kaléidoscope, structure de loisirs atypique, pour des enfants « exclus » de loisirs traditionnels et ensuite d’étudier les ressources, les formations et les partenariats qui aideraient à construire collectivement des passerelles vers des accueils collectifs de mineurs. Si des initiatives existent, elles restent parfois anecdotiques, bricolées et pour le moins peu pérennes. Nous défendons ainsi que le projet de vie d’un enfant vivant une situation de handicap s’inscrit avant tout dans des volontés politiques suivies de décloisonnements budgétaires « santé-éducation-inclusion ».
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