PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 9-10.
Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Personne âgée, Bien-être, Équipe soignante, Maladie d'Alzheimer, Motricité, Thérapie
Les limites de la prise en charge médicamenteuse ont ouvert la voie à différentes formes de soutien thérapeutique et d'activités procurant bien-être et bien-vivre aux personnes âgées. Nous avons à portée de main une ressource universelle, millénaire et incroyablement bénéfique : le jeu. Cette activité répond à merveille aux attentes des aidés et des aidants ainsi qu'aux spécificités de ce public. Elle s'insère aisément dans leur quotidien, elle s'inscrit dans leur temps libre, pour que celui-ci ne soit pas un temps vide, douloureux et isolé.
Article de Alexandra Marquet, Caroline Cattanéo, Cécile Bacchini, et al.
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 11-22.
Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Activité, Personne âgée, Dépendance, Déficience cognitive, Bien-être, Jouet, Animation, Atelier, Maladie d'Alzheimer
Jouer de 7 à 77 ans ? Contrairement aux préjugés, les jeux ne sont pas uniquement réservés aux enfants. En tant qu'adulte, on joue d'ailleurs entre amis... Alors pourquoi faudrait-il cesser de jouer quand la dépendance s'installe ? Les jeux sont connus des professionnels pour être un bon médiateur à condition toutefois de respecter certaines règles : trouver un environnement calme et isolé, adapter le jeu tout en adoptant une attitude bienveillante et non infantilisante. Loin du soin, le jeu a pris une place centrale avec en ligne de mire le bien-être des personnes souffrant de troubles cognitifs.
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 24, janvier-mars 2017, pp. 25-26.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Sport, Activité physique, EHPAD, Personne âgée, Réadaptation, Rééducation fonctionnelle, Autonomie, Thérapie, Animation sociale, Maladie d'Alzheimer, Image de soi, Motricité
Les études le prouvent : l'activité physique a des effets positifs en terme d'amélioration de la qualité de vie des personnes âgées, plus précisément celles atteintes par la maladie d'Alzheimer : amélioration des capacités motrices et de l'humeur, diminution de l'agitation et de l'agressivité, stimulation des fonctions cognitives...
Pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de troubles apparentés, les activités physiques, manuelles et cérébrales sont essentielles et doivent être pratiquées régulièrement pour être efficaces. Valorisants et apaisants, ces rendez-vous leur permettent d'améliorer leurs capacités cognitives et peuvent ralentir l'avancée de la pathologie. Proposées par un intervenant à domicile ou en institution, elles sont un moyen efficace et complémentaire des aides et des soins à apporter. C'est également un levier vers l'autonomie, l'accueil de jour et ses animations collectives... bref, vers l'institutionnalisation.
Article de Virginie Babin, Julie Cazalas, Méline Noireaut
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 31-32.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Activité physique, Sport adapté, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Aidant familial, Loisir, Bien-être, Santé, APA-S (Activités physiques adaptées-santé)
La maladie d'Alzheimer affecte de manière significative la vie de la personne mais également celle de son entourage familial. Les proches endossent le rôle d'aidant et, avec la progression de la maladie, l'aide apportée devient une activité à temps plein. Afin d'éviter que l'aidant se retrouve dans cette situation, la pratique d'une activité physique adaptée de manière régulière est une solution. Les activités physiques adaptées (APA) s'appuient sur des pratiques physiques dans un but de loisirs et de bien-être afin de préserver l'état de santé.