Article de Gail Heyman
Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance - Recherches, n° 126, décembre 2020-février 2021, pp. 8-11.
Mots clés : Enfance-Famille, Cognition, Comportement, Désir, Développement cognitif, Enfant, Estime de soi, Étude de cas, Identité, Image de soi, Jeune enfant, Personnalité, Raisonnement, Recherche, Regard, Socialisation
Article de Karine Fouchard, Laure Letertre
Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 123, mars-avril-mai 2020, pp. 22-25.
Mots clés : Enfance-Famille, Apprentissage, Compétence, Développement, Étude de cas, Jeune enfant, Lecture, Livre, Livre pour enfant
Le journal des professionnels de l'enfance - Pratiques
Article de Frédérique Hirn, Philippe Dupuy, Flore Chalayer, Laurence Gozet al.
Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 122, janvier-février 2020, pp. 16-47.
Mots clés : Enfance-Famille, Accueil, CAF, Crèche, Crèche collective, Crèche d'entreprise, Collectivité territoriale, Délégation, Économie sociale et solidaire, Étude de cas, Financement, Gestion, Gestion financière, Intégration, Insertion par l'économique, Management, Micro-crèche, Mixité sociale, Organisation du travail, PAJE, Partenariat, Prestation familiale, Prestation sociale, Projet, PSU, Recrutement, Rentabilité, Secteur privé, Service public, Solidarité
Article de Alfred Oberlin
Paru dans la revue EJE Journal, n° 74, décembre 2018-janvier 2019, pp. 44-47.
Mots clés : Enfance-Famille, Réseau, Quartier, ZEP, Étude de cas, Classe passerelle, Enfant en difficulté, Apprentissage, Scolarité
Article de M. Lebrault, G André Trévennec, C. Vidailhet
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 65, n° 7, novembre 2017, pp. 415-428.
Mots clés : Enfance-Famille, Adoption, Adoption internationale, Origine, Étude de cas, Abandon, Nationalité, Prénom, Filiation, Famille, Famille naturelle, Pays d'origine
Si abandonner signifie étymologiquement « laisser à la merci de » (en référence aux bébés laissés dans les tours, à la merci des bêtes sauvages), c’est surtout aujourd’hui rompre les liens de filiation qui assurent à l’enfant stabilité, permanence et lui procurent un sentiment de continuité d’être et de sécurité interne. Ces liens lui permettent de se situer dans une histoire, dans un réseau généalogique. Ils lui assurent un ancrage transgénérationnel entre le passé et le futur, ainsi qu’un sentiment d’appartenance à un corps familial. La filiation se réfère à l’acte de procréation, à un cadre législatif et à un acte psychique qui se construit avec le temps et permet de se considérer « fils ou fille de ». Qu’en est-il de ces liens de filiation quand l’enfant a été adopté, quand son histoire a commencé, loin de son pays d’accueil, par un abandon, souvent dans un contexte à hauts risques ? Quels liens garde-t-il avec son passé et son pays d’origine ? Que représente pour lui d’avoir été adopté ?