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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Demandeurs d’asile, quels droits ?

Article de Aurélie Entresangle Delgado

Paru dans la revue Empan, n° 116, décembre 2019, pp. 50-54.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Droit des étrangers, Migration, Protection sociale, Accès aux soins, PUMA, CAF, Preuve, OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides)

Si, aujourd’hui, les migrations internationales ont une forte résonance médiatique, il semble important de mieux connaître qui sont les migrants et sous quelles étiquettes ils peuvent être présentés. Quels sont leurs droits sur le sol français, et notamment leurs droits en matière de protection sociale ? Quels sont les obstacles à l’exercice de ces droits ? Par quelle procédure doit passer un migrant pour espérer obtenir une protection internationale en France et y (re)construire sa vie ?

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Protection subsidiaire : entretien

Article de Bruno Ranchin

Paru dans la revue Empan, n° 116, décembre 2019, pp. 44-49.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Accueil, Droit des étrangers, Guerre, Classe sociale, Hébergement, Politique, Réfugié, Témoignage, Souffrance psychique, Mutilation sexuelle, Centre d'accueil pour demandeurs d'asile, OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides)

Fati est arrivée en France en 2008. « Tout simplement la guerre. » Elle est venue pour protéger ses enfants. Elle attendra pas moins de cinq ans pour obtenir… une protection subsidiaire. Une décision temporaire. Après un CADA, elle a connu les centres d’accueil d’urgence, les centres d’hébergement, puis les logements hlm. Fati était sage-femme dans son pays africain. Ici, elle n’est rien. Alors elle se bat pour que ses enfants puissent faire des études et elle aimerait créer une association qui viendrait en aide, sur le plan sanitaire, aux personnes de son pays. Fati parle à la France. Pour qu’elle se décide enfin à adopter une vraie politique d’accueil.

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