Article de Muriel Guignard, Kristina Lazic, Melody Monod, et al.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 348, juin-juillet 2021, pp. 31-36.
Mots clés : Immigration-Interculturalité, Santé-Santé publique, Enfant de migrant, Migration, Soin, Droit d'asile, Accès aux soins, Prise en charge, Réfugié, Développement cognitif, Hygiène, Acculturation, Identité culturelle, Bilinguisme, Alimentation, Santé mentale, Culture, Religion, Infirmier, Équipe pluridisciplinaire
Les impacts d’une migration forcée sur un enfant sont loin d’être anodins et nécessitent une prise en soins adaptée, systémique et collaborative, prenant en compte les obstacles pouvant entraver l’accès aux soins de ces jeunes migrants. Différentes pistes sont proposées à la pratique infirmière, afin d’optimiser la prise en charge de cette population spécifique.
Article de Emilie Courtois, Anaïs Larangé, Marie Camille Coste, et al.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 328, juin-juillet 2019, pp. 11-29.
Mots clés : Santé-Santé publique, Petite enfance-Périnatalité, Prématurité, Malformation congénitale, Puéricultrice, Annonce de la maladie, Accompagnement, Allaitement, Infirmier, Toucher, Massage, Relation enfant-parents, Attachement, Orthopédie, Observation, Parentalité, Sevrage, Manque, Toxicomanie, Alcoolisme, Enfant handicapé, Grossesse, Prévention
La représentation de l'enfant à naître imaginée par les parents au cours de la grossesse peut parfois être différente de l'enfant né. Ce décalage bien connu des psychanalystes doit être pris en compte par les puéricultrices. Cela est d'autant plus vrai lorsque l'enfant naît avec une pathologie néonatale. La prématurité, la fente labiopalatine ou la luxation congénitale de hanche, le syndrome d'alcoolisation fœtale ou le syndrome de sevrage néonatal lors d'une présence de toxicomanie chez les parents, sont autant de situations diverses nécessitant une prise en charge particulière, aussi bien de l'enfant que des parents.
Article de Florence Gaudier, Cathie Faussat, Daniel Lévy Bruhl, et al.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 322, décembre 2018, pp. 11-29.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant malade, Jeune enfant, Professionnel de l'enfance, Puéricultrice, Etablissement d'accueil du jeune enfant, PMI, Vaccination, Prévention sanitaire, Épidémiologie, Maladie infantile, Maladie infectieuse, Accès aux soins, Information, Écoute, Partenariat, Infirmier, Maladie contagieuse, Hygiène
Si, chez l'enfant, les maladies éruptives correspondent le plus souvent à des infections virales sans gravité, elles restent pour les professionnels de la petite enfance, notamment les infirmières puéricultrices, une prise en charge complexe. Très souvent saisonnières, ces maladies impactent la prise en charge des enfants dans les établissements d'accueil des moins de 6 ans et inquiètent les parents qui, en consultation dans les services de Protection Maternelle et Infantile, interpellent sur leur gravité. L'actualité nous le rappelle d'ailleurs par la résurgence de certaines maladies comme la rougeole. Santé publique France et les professionnels de santé n'ont de cesse de souligner que la vaccination reste la meilleure des préventions.