Article de Serge Garcia
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 68-73.
Mots clés : Travail social : Métiers, Formation professionnelle, Éducateur de jeunes enfants, Niveau de qualification, Qualification professionnelle, Identité professionnelle, Travail social, Jeune enfant, Professionnalisation
Dans le contexte d’une évolution de l’architecture des formations en travail social, le métier d’éducateur de jeunes enfants va connaître des transformations liées à sa reconnaissance de niveau II. Il existe un véritable danger d’édulcoration et de perte des identités professionnelles pour tous les métiers éducatifs et sociaux (EJE, ES, ETS, ASS, CESF). Une question se pose pour la petite enfance : sera-t-elle soluble dans un travail social généraliste, rationnel, techniciste, déniant la dimension clinique et la place centrale de la relation au quotidien avec l’enfant et sa famille ?
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Article de Marie Laure Derrien
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 61-67.
Mots clés : Travail social : Métiers, Professionnalisation, CAFERUIS, Management, Cadre, Institution, Compétence professionnelle, Parcours professionnel, Formation professionnelle, Qualification professionnelle
Cet article analyse le désir d’évoluer et de se professionnaliser vers un CAFERUIS autour d’une question fondamentale : pourquoi et jusqu’où suis-je prêt à aller pour exercer mon métier de cadre intermédiaire ? C’est dans le cadre de la formation que le futur cadre va pouvoir s’affirmer, se positionner, muer pour changer de posture, et trouver sa propre trajectoire. Contribuer à la fabrique de cadres, c’est être en phase avec trois logiques : le cadre formatif lié au référentiel professionnel, l’organisation qualifiante comme organisation apprenante lors du stage, le soutien du futur cadre dans son insertion professionnelle.
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Article de Michel Chauvière
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 12-17.
Mots clés : Travail social : Métiers, Travail social, Professionnalisation, Management, Qualification professionnelle, Hiérarchie
Quand le principe de professionnalité recule, la professionnalisation se différencie entre celles des cadres pour des fonctions de gestion, de direction, de formation, des métiers historiques pour des actions plus ou moins cliniques et de gestion, et des bas niveaux de qualification pour l’exécution. Cette division du travail rompt avec la période antérieure dont les métiers de niveau III étaient la poutre maîtresse. Situés à bac + 2, capables d’action de terrain et de responsabilités institutionnelles, ils bénéficiaient d’une relative autonomie de jugement et de décision qui disparaît.
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