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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Nouvelles routes de la soie et migrations

Article de Claudia Astarita, Isabella Damiani, Mustafa Poyraz, et al.

Paru dans la revue Hommes et migrations, n° 1343, octobre-décembre 2023, pp. 3-139.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigration, Évolution, Commerce, Approche historique, Communauté, Culture, Identité culturelle, Asie, Chine, Russie, Kazakhstan, Iran, Turquie, Afrique

Dix ans après le discours de Xi Jinping en septembre 2013 à Astana, qui a officialisé le projet géopolitique et géoéconomique chinois des Nouvelles routes de la soie, ce dossier de la revue Hommes & Migrations confronte ce projet aux migrations chinoises. Après « Chinois de France » paru en 2005 et « Migrations chinoises et générations » en 2016, les articles de ce numéro abordent sous différents angles le « tournant chinois » du siècle. En effet, dans un contexte mondial qui peine à se définir à la sortie de la guerre froide, le projet chinois, dont on ne mesure pas encore les conséquences, alimente les débats.

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La culture constitue un élément fondamental dans le parcours d’intégration

Article de Jacques Barou, Ousmane Bocar Diagana

Paru dans la revue Hommes et migrations, n° 1332, janvier-mars 2021, pp. 230-238.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigration, Culture, Transmission, Intégration, Musique, Langue maternelle, Tradition, Engagement, Afrique

Dans cette publication, les diasporas africaines sont abordées sous l’angle de leur créativité. Les diasporas africaines ont construit des passerelles culturelles entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques malgré les violences destructrices de la traite esclavagiste et de la colonisation, qui sont réactivées par les circulations migratoires dans le sillage de la décolonisation. Jacques Barou et Jean-Baptiste Meyer, en guise d’introduction du dossier scientifique, démontrent comment le transnationalisme des diasporas est un facteur déterminant de création culturelle, d’engagement politique et d’innovation. La créativité résulte des efforts de décentrement et d’adaptation aux nouveaux contextes de vie. Les carrières des intellectuels et des artistes, plus visibles que celles des travailleurs immigrés, s’enrichissent de leurs déplacements, souvent à la marge des institutions, et de la confrontation avec l’altérité. Les talents se bonifient à l’extérieur du continent en inventant les contours d’une africanité, faite d’hybridation et de syncrétisme, qui s’inscrit en terre étrangère dans la modernité culturelle. Les liens diasporiques tissés avec le continent africain – symbole du foyer original des diasporas et espaces de ressources plurielles – favorisent aussi les volontés d’y entreprendre à rebours des projets économiques ou culturels.

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Ce qui s’oublie et ce qui reste : Diasporas africaines et créativité

Article de Sébastien Gökalp, Meriem Berrada, Isabelle Renard, et al.

Paru dans la revue Hommes et migrations, n° 1332, janvier-mars 2021, pp. 3-213.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigration, Créativité, Culture, Musée, Identité culturelle, Mémoire collective, Approche systémique, Littérature, Écriture, Cinéma, Artiste, Transmission, Engagement, Afrique

Dans cette publication, les diasporas africaines sont abordées sous l’angle de leur créativité. Les diasporas africaines ont construit des passerelles culturelles entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques malgré les violences destructrices de la traite esclavagiste et de la colonisation, qui sont réactivées par les circulations migratoires dans le sillage de la décolonisation. Jacques Barou et Jean-Baptiste Meyer, en guise d’introduction du dossier scientifique, démontrent comment le transnationalisme des diasporas est un facteur déterminant de création culturelle, d’engagement politique et d’innovation. La créativité résulte des efforts de décentrement et d’adaptation aux nouveaux contextes de vie. Les carrières des intellectuels et des artistes, plus visibles que celles des travailleurs immigrés, s’enrichissent de leurs déplacements, souvent à la marge des institutions, et de la confrontation avec l’altérité. Les talents se bonifient à l’extérieur du continent en inventant les contours d’une africanité, faite d’hybridation et de syncrétisme, qui s’inscrit en terre étrangère dans la modernité culturelle. Les liens diasporiques tissés avec le continent africain – symbole du foyer original des diasporas et espaces de ressources plurielles – favorisent aussi les volontés d’y entreprendre à rebours des projets économiques ou culturels.

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