PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 32, pp. 73-81.
Mots clés : Travailleur social, Assistant de service social, Conditions de travail, Valeur, Idéologie, Gestion, Travail social, Usager, Contrôle, Contrat, BELGIQUE
Article de Brigitte BOUQUET, Jacques RIFFAULT, Paulette BENSADON, Brigitte BOUQUETet al.
Paru dans la revue Vie sociale, n° 2, pp. 1-117.
Mots clés : Humour, Rire, Travail social, Usager, Vie quotidienne, Institution, Parole, Travailleur social, Distance, Relation éducative, PRATIQUE DE TRAVAIL SOCIAL, DEUBORS (GUY DES)
Article de Anita GULCZYNSKA, Mariusz GRANOSIK, Ewa MARYNOWICZ HETKA
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 19, pp. 23-30.
Mots clés : Travail social, Évolution, Culture, Analyse de la pratique, Quartier, Espace, Institution, Symbolique, Innovation sociale, Formation, Travailleur social, PRATIQUE DE TRAVAIL SOCIAL
Dans le projet que nous proposons ici, il s'agit de l'analyse (connaissance et compréhension) du processus de l'évolution des pratiques socio-pédagogiques. Ce processus est appréhendé en tant que création d'une institution symbolique, et au sens axiologique en tant que négociation des moyens d'agir et des normes partagées par une communauté. Notre thèse est que le problème de l'isolement social de voisinage est une situation difficile à laquelle les professions sociales doivent trouver des solutions adaptées. En effet, pour trouver des solutions, les représentants des professions sociales doivent adopter une attitude créative qui se traduit par une approche alternative (innovante) au problème qu'ils rencontrent dans leur pratique. Dans cette perspective, nous rencontrons une position où l'on tend à transformer la réalité plutôt qu'à la reconstruire.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 19, pp. 63-73.
Mots clés : Travail social, Compétence professionnelle, Savoir, Concept, Expérience, Valeur, Cognition, Travailleur social, Pratique professionnelle, Référentiel
A partir de sa thèse, l'auteur présente une définition des « savoirs professionnels » et ses fondements, un dispositif d'énonciation à partir de traces d'activités réelles, puis les rapports entre jugements de compétences et savoirs professionnels. Ces conceptualisations organisatrices de l'activité montrent les articulations entre modes opératoires et références à l'expérience, aux valeurs et aux autres savoirs. L'auteur plaide pour le développement de la recherche scientifique et professionnelle à partir des activités réelles des professionnels.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 19, pp. 105-112.
Mots clés : Travail social, Travailleur social, Temps, Innovation, Influence sociale, Système, Enfermement, Action collective
Au fil de mes vingt-cinq ans de vie professionnelle dans le travail social, à la fois dans le milieu associatif et le secteur public, j'ai observé certaines dérives dans les pratiques et les comportements de certains professionnels. Une manière de s'installer dans une certaine forme de routine peu compatible avec la souplesse relationnelle et cognitive nécessaire dans cette profession de l'humain. Une de mes étudiantes écrivait dans son mémoire : « A force de remplir les papiers on "fonctionne" et on a tendance à oublier le côté humain du travail social. » Sur base d'une approche empirique, j'ai été amené à déterminer trois formes spécifiques de syndrome : le glandeur, le technocrate, et le couillon. Sans oublier de situer l'acteur dans le système auquel il participe.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 18, pp. 103-108.
Mots clés : Travailleur social, Management, Qualification professionnelle, Travail social, Ressources humaines, Professionnalisation, Dispositif d'insertion, Territoire
Pour faire face à l'hétérogénéité des publics et aux différents modes de traitement rapproché, des formes contemporaines de l'organisation des professions sociales s'inscrivent de plus en plus dans un modèle pragmatique managérial. Il en résulte un déplacement progressif du cadre de référence de l'activité des intervenants professionnels et principalement les travailleurs sociaux, qui tend à passer d'une intervention sectorielle-catégorielle à une intervention globale et intersectorielle, d'une programmation pluriannuelle à un projet ciblé et expérimenté, d'un travail à long terme à un résultat immédiat et évaluable. Ceux-ci ont pour objectif, selon les promoteurs de ce modèle managérial, d'améliorer la gestion des ressources locales et de rapprocher les institutions publiques des usagers d'une part, et favoriser l'implication des citoyens à la prise en charge de leurs problèmes, à l'insertion dans le quartier (ou la gestion de la cité) et à renouer des liens sociaux d'autre part.