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Artistes étrangers à Paris (1945-1972)

Type de document
Article de périodique
Support du document
Document imprimé, Document en ligne
Auteurs
Serge Guilbaut, Maureen Murphy, Nicolas Treiber, et al.
Titre de la revue
Hommes et migrations
Titre du dossier
Artistes étrangers à Paris (1945-1972)
numéro
1338
Mentions d'édition
juillet-septembre 2022
Dates
2022
Pages début-fin
pp. 3-173
Domaines Prisme
Immigration-Interculturalité
Mots-clés Prisme
Artiste, Art, Culture, Immigration, Immigré, Approche historique, Théâtre, Musique, Littérature, Cinéma, Musée
Présentation de l'éditeur

Ce dossier accompagne l’exposition Paris et nulle part ailleurs. Artistes étrangers à Paris, 1945-1972. L’ampleur du sujet rendait illusoire une volonté de couvrir toutes les dimensions, aussi bien artistiques que thématiques. Le catalogue de l’exposition réunit des textes, sous la direction du commissaire de l’exposition Jean-Paul Ameline, sur la venue d’étrangers à Paris, les circulations internationales, les lieux de sociabilité, et présente les principaux éléments du parcours (textes de salle, chronologie, biographies). En écho, ce dossier d’Hommes & Migrations ouvre sur des domaines et des pistes complémentaires. Il aborde la catégorie socioprofessionnelle d’« artiste » immigré, plus que l’expression artistique. La recherche en histoire de l’art s’intéresse depuis longtemps aux liens entre migration et création, le cosmopolitisme parisien est un thème d’exposition devenu classique. Le Centre Pompidou a établi sa réputation sur la série d’expositions Paris-New York, Paris-Berlin, Paris-Moscou. Aujourd’hui encore, la fondation Giacometti accompagne des recherches sur ce thème à travers L’École des modernités, l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) a comme domaine de recherche « histoire de l’art mondialisée », et un programme « Collectionneurs, collecteurs et marchands d’art asiatique en France 1700-1939 ». D’autres arts comme le jazz, la littérature, le cinéma, le théâtre et la danse sont ici étudiés, histoires souvent similaires d’une forme de création à l’autre. Enfin, sur un même sujet, l’exposition de Serge Guilbaut Paris pese a todos choisit un autre axe, chronologique.

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