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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 256

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Etre parent d'un adulte en situation de handicap : grandir ensemble

Livre de Marielle Lachenal, édité par Erès, publié en 2023.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Personne handicapée, Adulte, Parents, Fratrie, Société, Relation enfant-parents, Témoignage, Inclusion, Handicap, Aidant familial, Autonomie, Établissement pour personne handicapée, Représentation sociale, Médecin, Relation famille-institution

Ici, ce ne sont pas des professionnels qui parlent des parents, mais des parents qui parlent d'eux-mêmes, de ce qu'ils vivent au quotidien auprès de leurs enfants adultes ayant un handicap et dont on entend si peu parler. Le livre dit le fil de la vie, la recherche d'une place, les relations avec les indispensables professionnels, avec les médecins. Il dit aussi l'aide des amis et la solitude, la peur, la joie, les changements de regards et les difficultés qu'a le monde pour faire une vraie place pour leurs enfants.
Il pose la question du rôle et des besoins de ces "aidants" et met en évidence les mesures concrètes qu'ils attendent.

Figures de l'Autre : perceptions du migrant en France 1870-2022

Livre de Catherine Wihtol de Wenden, édité par CNRS, publié en 2022.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigré, Altérité, Représentation sociale, Stéréotype, Mémoire collective, Discrimination, Approche historique, Travailleur immigré, Immigration, Racisme, Identité collective, Sécurité, Citoyenneté, Musée

La France, tôt confrontée à l'immigration, et marquée aussi par son passé colonial, a vu monter la prégnance de la figure de l'Autre dans la vie de tous les jours, comme au cœur du discours politique. Qu'il soit issu du regroupement familial, étudiant, travailleur qualifié ou non qualifié, travailleur temporaire, frontalier, réfugié, demandeur d'asile, sans papiers, le migrant incarne souvent une figure menaçante, toujours sujette aux mêmes stéréotypes.
Au fil des diverses vagues d'immigration, les critères de l'altérité demeurent intacts : la religion (des Polonais "bien trop catholiques" dans la France laïque de la Troisième République aux musulmans "islamistes"), la violence (du "couteau facile" des Italiens dans les années 1970 au terrorisme importé de Syrie), la concurrence déloyale sur le marché du travail (du "un million de chômeurs, c'est un million d'immigrés de trop !" des années 1970 au plombier polonais).
En se basant sur les articles de journaux, les proclamations politiques, les ouvrages de sciences sociales, mais aussi les romans et films, Catherine Wihtol de Wenden montre comment la mémoire collective concernant l'image de l'Autre s'est construite de 1870 à nos jours. Et propose quelques pistes pour en finir avec la figure péjorative du migrant : une citoyenneté inclusive, la lutte contre les discriminations, la construction d'une mémoire du vivre ensemble par la mise en musées.

Prostitutions de mineures : trouver la juste distance

Livre de Bénédicte Lavaud Legendre, Gaëlle Encrenaz, Cécile Plessard, Pascal Roman, et al., édité par Chronique Sociale, publié en 2022.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Prostitution, Mineur, Adolescent, Fille, Enquête, Typologie, Réseau, Criminalité, Sanction pénale, Répression, Sexualité, Consentement, Accompagnement, Représentation sociale, Intervention sociale, Média, Travailleur social

La prostitution des mineures, telle qu'elle est observée en ce début de XXIe siècle en France provoque une importante émotion et une mobilisation des services publics. Les professionnels confrontés à ces pratiques font état d'importantes difficultés dans l'accompagnement des mineures impliquées. Elles leur renvoient leur incapacité à comprendre ce qu'elles vivent, l'existence d'un fossé générationnel ou encore leur dramatisation d'une activité qu'elles considèrent comme anodine.
De leur côté, les professionnels disent la difficulté qui est la leur à prendre de la distance avec des pratiques qui peuvent être très violentes, mais également avec la réaction de rejet que peut susciter le discours souvent très cru des mineures, voire leurs multiples provocations et la mise en échec de toute proposition d'accompagnement. Dès lors, nous avons fait le choix d'approcher cette réalité par la voie académique en procédant à son analyse via les différents champs disciplinaires concernés.
Or ceux-ci sont nombreux, que l'on pense au droit, aux politiques publiques, à la psychologique, la sociologie, etc. L'expression "Trouver la juste distance" entend faire état de la difficulté de se situer entre les deux écueils auxquels pousse l'étude de cette activité. Le premier est celui d'une trop grande proximité avec les jeunes concernées, proximité qui peut conduire à un phénomène d'identification, de grande empathie.
L'identification est parfois évoquée par les professionnels qui confessent avoir une fille du même âge que celles qu'ils rencontrent dans leur activité professionnelle et qui ne peuvent s'empêcher de craindre pour cette dernière. En outre, les parcours de vie bien souvent très chaotiques, caractérisés par une succession de ruptures et d'abandon, peuvent également déclencher une profonde empathie et la volonté de réparer les failles auxquelles les intéressées doivent se confronter.
A l'inverse, une trop grande proximité peut générer une réaction de rejet face à celles qui revendiquent parfois s'épanouir dans la vente de leurs charmes et gagner dix fois plus d'argent que le professionnel qui tente laborieusement de créer avec elle une relation de confiance pour l'aider à faire un bout du chemin qui la conduira vers l'âge adulte. L'agressivité lorsqu'elle se retourne vers celui qui propose son aide, peut se traduire en violences, insultes et mise en échec des propositions éducatives.
Pour réagir aux différents écueils possiblement rencontrés par ceux qui sont au contact des mineures prostituées, l'intellectuel peut s'abriter derrière les concepts pour mettre à distance toute la violence renvoyée par de telles situations. Tels sont les différents éléments ayant présidé à l'ambition de cet ouvrage de "Trouver la juste distance". La quête de cette juste distance se fera, on l'a dit, par la mise en œuvre d'une approche pluridisciplinaire, qui tentera de rester toujours vigilante à l'impératif de maintenir ouvert le dialogue entre les approches et les disciplines afin de susciter le passage vers l'interdisciplinarité.

Les nouvelles beautés fatales : les troubles des conduites alimentaires comme pathologies de l'image

Livre de Vannina Micheli Rechtman, Georges Vigarello, édité par Erès, publié en 2022.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Trouble du comportement alimentaire, Corps, Femme, Approche historique, Photographie, Image, Mode, Anorexie, Représentation sociale, Norme sociale, Psychanalyse

A partir de son expérience clinique, l'auteure analyse les liens entre les troubles des conduites alimentaires et les représentations du corps des femmes. La prolifération spectaculaire des images, jusqu'aux images de soi produites par soi, via les réseaux sociaux, et leurs simulacres que sont les images retouchées déterminent une relation pathologique entre la femme et son propre corps. Ainsi les troubles des conduites alimentaires permettent de mieux saisir notre époque où l'image, le corps, la mode, la beauté et le paraître constituent les termes de l'inscription postmoderne des sujets : comment les femmes se situent-elles par rapport à un corps pris dans les attentes sociales ? Comment s'en accommodent-elles ? Comment certaines, en parodiant jusqu'à la caricature cette idéalisation extérieure à leur propre chair, en font-elles le sacrifice ? Car tel est aussi le destin des troubles alimentaires comme pathologies de l'image : commettre le sacrifice du corps afin d'atteindre l'idéal éphémère d'une beauté contemporaine.

La haine de soi et de l'autre : psychanalyse de la stigmatisation

Livre de Alberto Eiguer, édité par Dunod, publié en 2022.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Stigmatisation, Haine, Concept, Psychanalyse, Psychosociologie, Philosophie, Subjectivité, Image de soi, Identité, Représentation sociale, Comportement social, Relation, Groupe, Exclusion sociale, Automutilation, Intergénérationnel, Norme, Famille, Maltraitance, Violence conjugale, Abus sexuel, Service social, Prise en charge

Hier comme aujourd'hui les humains manifestent du mépris de l'autre, inconnu ou différent. Ils peuvent le dévaluer, discriminer, négliger, haïr. Le sujet haï peut s'identifier à celui qui le rejette en attaquant son moi. Alors, son amour pour soi, sa croyance en soi et son narcissisme déclinent. Mais pourquoi le regard d'autrui devient-il aussi vital au point que l'identité de la personne en est tributaire ? Et pourquoi le sujet ne réussit-il pas à développer un regard intérieur autonome ? Les liens premiers seraient-ils à l'ordre du jour, et la haine de soi, l'écueil majeur ? Alberto Eiguer met en lumière les ressorts de la haine de soi et de l'autre, ses conséquences psychiques et psychosociales, autour de 4 axes : - Haine par l'autre : l'identité de celui qui opère la haine peut beaucoup nous affecter, par son degré d'amitié ou sa place d'autorité, tutélaire.
La haine est sans nuances, sans appel. - Haine de l'autre : elle est moins personnalisée que la haine par l'autre ; c'est la haine qui fait mal, pas autant l'acteur. - Haine par soi : il s'agit là d'une prise en compte intime d'être dans l'erreur, d'avoir commis une offense, d'avoir une prédisposition mauvaise et, de ce fait, d'être " nocif " envers le monde ou soi-même. - Haine de (pour) soi : elle est alimentée par la haine d'autrui.
Le sujet ne parvenant pas à exprimer son hostilité envers l'autre, il la détournerait sur soi. Ce live décortique les méandres complexes de la haine de l'autre et de soi, et propose une analyse éclairée et accessible à la fois avec un abondant matériel clinique. Les cliniciens y trouveront des éléments pour affûter leur diagnostic et leur prise en charge pour faire évoluer le regard du stigmatisé sur lui-même : du sentiment de honte à la pudeur ; de la culpabilité à la responsabilité ; du narcissisme blessé au narcissisme trophique ; du souhait de vengeance à la revanche.

Le déni où la fabrique de l'aveuglement

Livre de Serge Tisseron, édité par A. Michel, publié en 2022.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Déni, Raisonnement, Représentation sociale, Crise, Adaptation, Refus, Affirmation de soi, Victime, Théorie, Mort, Influence sociale, Rumeur, Empathie

Le Covid a révélé un syndrome épidémique : le syndrome de l'autruche. Déni de la gravité de la pandémie, déni de l'utilité de la vaccination, déni d'humanité à l'égard des personnes âgées interdites de visite dans les Ehpad... Si la liste est longue, l'origine de la situation est la même : une réalité à laquelle il nous semble impossible, au moins provisoirement, de faire face, parce qu'elle est trop différente de ce que nous désirons, ou parce qu'elle remet en cause notre représentation de nous-mêmes, des autres et du monde.
Alors, comment un déni s'installe-t-il ? Quelles en sont les particularités ? Peut-on être dans le déni d'une partie de soi ? Et surtout, comment en sortir ? Dans cet essai passionnant, Serge Tisseron décrypte la fabrique contemporaine de l'aveuglement, qui empêche les sociétés et les individus d'agir face aux crises. Il donne ainsi les clés pour comprendre cet enfermement qui peut amener au complotisme et s'en libérer afin de démêler, ensemble, les situations " incroyables " auxquelles nous sommes de plus en plus souvent confrontés.

Choisir son genre ? Identités sexuées et identités sexuelles à l'adolescence

Livre de Alban Goguel d'Allondans, Jonathan Nicolas, David Le Breton, édité par Chronique sociale, publié en 2022.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Genre, Adolescent, Identité sexuelle, Théorie, Conduite à risque, Représentation sociale, Stéréotype, Psychanalyse, Communauté, Corps, Pornographie, Puberté, Honte, Identité, Psychopathologie, Parentalité, Transidentité

Coordonné par Thierry Goguel d'Allondans et Jonathan Nicolas, cet ouvrage offre une série de variations sur la notion de "genre", une notion qui traduit aujourd'hui à la fois la conscience approfondie de ce que lien social est toujours au fondement de nos représentations, et le fait que ses objectivations soient révocables si l'on ne s'y reconnaît pas. Longtemps décrit comme "naturel", le genre est désormais perçu comme une décision propre, un choix.
L'individualisation du lien social ne cesse d'élargir la marge de liberté des acteurs. Le concept de genre en sciences sociales vise à définir les représentations, les valeurs, les rôles, les attitudes, associés au masculin et au féminin en tant qu'ils relèvent d'une construction sociale et culturelle. Les représentations de genre sont des scripts à la disposition des acteurs. Les notions d'"homme" ou de "femme" ne sont pas des essences, elles se dissolvent sous les fictions plus ou moins partagées qui les mettent en scène au sein du lien social.
L'individu construit l'évidence de ses comportements comme homme ou femme, sans en avoir toujours conscience, car il en a acquis le principe au cours de son enfance par la socialisation, et leur confirmation relève du jeu ordinaire de l'existence, de ce qui est tenu pour acquis. Thierry Goguel d'Allondans et Jonathan Nicolas soulèvent une question polémique majeure : "Peut-on encore s'interroger sur ce que serait, pour chacune et chacun, être un homme ou le devenir, être une femme ou le devenir, ce qui relèverait de la masculinité ou de la féminité ? Ou faut-il – comme l'espèrent certains – en finir définitivement avec le genre ? Abandonner toute classification qui serait potentiellement stigmatisante ?"

Espaces genrés des drogues : parcours dans l'intimité, la fête et la réduction des risques

Livre de Anne Coppel, Florent Schmitt, Maïa Neff, Mélina Germes, et al., édité par le Bord de l'eau, publié en 2022.

Mots clés : Toxicomanie-Addictions, Drogue, Toxicomanie, Femme, Genre, Représentation sociale, Espace, Intimité, Fête, Réduction des risques, Stigmatisation, Mère, Prostitution, CSAPA, Couple, Séparation, Alcool, Quartier, LGBT, CAARUD, Angleterre, Bordeaux, Allemagne

Les perceptions des drogues et des problèmes qui y sont associés sont biaisées en faveur d’une représentation androcentrée et cis-hétéronomée. Dans l’imaginaire et les discours publics, les femmes, personnes queers et trans sont considéré·e·s comme des exceptions – soit implicitement abstinent·e·s, soit avec des conduites à haut risque comme les travailleuses du sexe, les mères toxicomanes, les femmes agressées dans les fêtes ou les chemsexeurs gays. Ces représentations sont partagées et parfois amplifiées par les politiques publiques de lutte contre les stupéfiants, les pratiques ordinaires de la police ou encore les professionnel·le·s en charge de la prévention et de la réduction des risques.
En questionnant les constructions de genre autour de la consommation de drogue et d’alcool, cet ouvrage vise aussi à sortir de l’implicite neutralité des dispositifs institutionnels, à se détacher de la dichotomie simplificatrice entre espaces publics et privés pour privilégier des analyses fines des espaces, spatialités et enjeux spatiaux.
Les contributions de cet ouvrage dévoilent ces biais de perception et dessinent une nouvelle géographie des drogues en montrant l’ancienneté et la variété des consommations féminines et LGBTIQ de drogue et d’alcool. Traversant plusieurs contextes sociaux, une diversité de lieux et de villes, il contribue à rendre visibles les pratiques, leurs significations ainsi que les luttes et rapports sociaux de pouvoir qui les accompagnent.
Avec les contributions de Anne Coppel, Florent Schmitt, Maïa Neff, Sarah Perrin, Emily Nicholls, Roxane Scavo, Mélina Germes, Jenny Künkel et Soel Real Molina.

Les représentations en médiation interculturelle : cas des travailleurs sociaux français et québécois

Livre de Evelyne Elsa Chenaud, édité par l'Harmattan, publié en 2022.

Mots clés : Enfance-Famille, Médiation familiale, Couple mixte, Interculturel, Représentation sociale, Médiateur familial, Immigration, Anthropologie, Travail social, France, Québec (Province du)

Ce livre présente la démarche et les résultats d'une étude sur les représentations des médiateurs familiaux français et québécois intervenant en conflits de couples mixtes. Relevant à la fois du travail social et de l'anthropologie, la recherche interroge une quarantaine d'intervenants du travail social. Au bout, l'irruption et les caractéristiques des représentations des médiateurs interculturels sont contextualisées et analysées, ainsi que les enjeux de l'immigration et de la judiciarisation des pratiques d'intervention.
Enfin, et en dépit de son influence en travail social, la thèse de la psychologie sociale, qui considère les représentations comme des mécanismes de défense, a été reconsidérée par l'approche anthropologique, qui en fait plutôt un instrument de domination. Approche qualitative des ressources théoriques, documentaires et empiriques, cette étude fait des représentations un biais à juguler en travail social.

La précarité pour tout bagage : un autre regard sur les Roms

Livre de Nicolas Clément, Bruno Tardieu, édité par Ed. de l'Atelier, publié en 2022.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Gens du voyage, Représentation sociale, Rejet, Opinion publique, Témoignage, Stéréotype, Recherche d'emploi, Scolarisation, Expulsion, Voisinage, Mendicité, Rencontre, Droits de l'homme, Conditions de vie, Rom, Samu social

Sur les Roms, il existe de nombreux témoignages, et beaucoup d'essais. Cet ouvrage a le mérite de combiner les deux approches pour affiner l'éclairage de cette population si mal connue. Bénévole au Secours Catholique, Nicolas Clément accompagne, depuis plus de dix ans, des familles roms qui vivent en région parisienne. Cet accompagnement quotidien d'une centaine de familles fait de lui un témoin privilégié pour raconter ces vies en montagnes russes, faites d'angoisses et d'espoirs, mais surtout de pauvreté et de fragilité.
Les Roms, est-ce utile de le dire, font l'objet de nombreuses idées reçues et d'un rejet très fort. Or cette population est surtout très mal connue : dès lors, les préjugés sont tenaces. Nicolas Clément, aussi bien par sa grande connaissance de la population rom que par son expérience de terrain, nous en offre une image tout autre. Dans des récits sensibles et incarnés, soutenus par des informations et données précises, l'auteur raconte les expulsions au petit matin, la détresse des parents à qui sont enlevés leurs enfants, la mendicité, les nuits passées à récupérer des vêtements pour les vendre aux puces de Montreuil, les appels passés au Samu social, les actes de rejet du voisinage, mais aussi la joie de vivre et l'accueil chaleureux qu'il trouve auprès de ces familles au gré de ses visites, la fierté des enfants qui avancent dans leurs apprentissages, la solidarité de parents d'élève, la générosité de voisins qui prennent le temps d'un échange...
Battant en brèche tous les préjugés dont les Roms payent lourdement le prix, ce livre est une invitation à oser la rencontre.