Livre de Karen Sadlier, Edouard Durand, Ernestine Ronai, Karen Sadlier, et al., édité par Dunod, publié en 2020.
Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Parentalité, Violence, Couple, Enfant, Interaction, Psychologie du développement, Attachement, Émotion, Besoin, Parole, Société
Notre société a pris conscience des effets délétères des violences conjugales sur l'enfant. Elle a plus de difficulté à admettre les perturbations induites par ces violences dans l'exercice de la parentalité. L'idée assez répandue qu' "un mari violent peut être un bon père" est une construction sociale mise à mal par toutes les études. Qui plus est, la violence conjugale affecte également la capacité parentale de la victime.
Cet ouvrage propose d'explorer la parentalité face à la violence conjugale sur les axes psychologiques, sociaux, politiques et judiciaires, autant dans le couple parental que dans la relation parento-infantile. Il propose tous les éléments nécessaires à mise en oeuvre de bonnes pratiques par les professionnels de la protection l'enfance.
Accès à la version en ligne
Livre de Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2018.
Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Traumatisme, Violence conjugale, Maltraitance, Émotion, Échec scolaire, Jeu, Neurosciences, Incivilité, Sadisme, Trouble du comportement, Interdit, Sanction, Personne issue de l'immigration, Quartier, Parents
Notre société compte de plus en plus d’enfants, d’adolescents, et
d’adultes capables des pires violences. Enseignants, éducateurs,
policiers, le disent avec inquiétude : les comportements violents
sont plus fréquents, plus graves et plus précoces qu’autrefois – que
ce soit en crèche, en maternelle, au collège, au lycée ou dans la rue.
De fait, le passage à l’acte, de l’incivilité à la « radicalisation »,
trouve le plus souvent son origine dans la petite enfance. Comment
comprendre la violence, et répondre aux légitimes questions
que, victimes du « politiquement correct », nous osons à peine nous
poser ? Démarche d’autant plus urgente, qu’il ne s’agit plus désormais
d’excuser qui que ce soit, mais bien de prévenir la survenue
d’une situation sociale incontrôlable.
Maurice Berger, spécialiste internationalement reconnu dans ce
domaine, expose ici d’une manière accessible à tous, l’état des
connaissances sur ce sujet. Il propose des actions précises de prévention
de la violence, ainsi qu’une prise en charge spécifique des
sujets qui présentent ce comportement.
Livre de Karen Sadlier, Edouard Durand, Ernestine Ronai, Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2017.
Mots clés : Violence conjugale, Parentalité, Violence, Conflit, Sécurité, Enfant, Psychologie du développement, Attachement, Âge, Maltraitance psychologique, Dépistage, Mère, Droit, Autorité parentale, Assistance éducative, Droit pénal, Étude de cas, Coparentalité
"Notre société a pris conscience des effets délétères des violences conjugales sur lenfant. Elle a plus de difficulté à admettre les perturbations induites par ces violences dans lexercice de la parentalité. Lidée assez répandue qu« un mari violent peut être un bon père » est une construction sociale mise à mal par toutes les études.
La violence dans le couple rend dangereux l'exercice de la coparentalité, ainsi que toute intervention mettant la victime en présence de l'auteur.
Cet ouvrage explore la parentalité face à la violence conjugale d'un point de vue psychologique, politique et judiciaire, autant dans le couple parental que dans la relation parento-infantile. Il propose tous les éléments nécessaires à mise en uvre de bonnes pratiques par les professionnels de la protection lenfance."
Livre de Hélène Romano, Eugénie Izard, Maurice Berger, et al., édité par Dunod, publié en 2016.
Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Enfant maltraité, Écoute, Victime, Violence, Travail social, Responsabilité, Protection de l'enfance, Maltraitance, Pratique professionnelle, Déni, Perversion, Violence conjugale, Violence institutionnelle, Relation enfant-parents, Aliénation parentale, Outreau
La protection de lenfance, en ce début de xxie siècle, est marquée par une régression majeure. Lévaluation du témoignage des enfants victimes de maltraitance conclut de plus en plus souvent au déni de la réalité de ces violences. Après la mode de laliénation parentale et des enfants menteurs, cest désormais le règne des « faux souvenirs ». Les parents protecteurs se trouvent demblée suspectés dinstrumentaliser leurs enfants, et les professionnels, qui soutiennent lenfant, dêtre partisans ou partiaux ; pendant que les auteurs sérigent en victimes.
Ces dérives, qui ont évolué pendant des années de façon insidieuse, simposent désormais au grand jour. Sur le terrain, dénis, instrumentalisations perverses des situations, des procédures, et référentiels professionnels biaisés, entravent considérablement la protection des enfants et le travail des intervenants. Cest de ce constat, et de lurgence den comprendre les mécanismes et les enjeux, que résulte ce livre dalerte, co-écrit par des professionnels engagés dans le respect de lintégrité et de la responsabilité : pour que la protection de lenfance devienne, enfin, une réalité, et que la vie de ces enfants ne soit plus davantage fracassée. [présentation de l'éditeur]
Livre de Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2016.
Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Concept, Typologie, Violence conjugale, Traumatisme, Carence familiale, Maltraitance, Émotion, Empathie, Pulsion, Environnement social, Sadisme, Parentalité, Perversion, Responsabilité, Jeu, Prévention, Attachement, Sécurité, Affectivité, Justice, Sévice corporel, Éducation, Intégrisme, Immigration, Quartier, Banlieue, Groupe d'appartenance, Identité, Religion, Radicalisation, Terrorisme, Écoute, Relation, Protection de l'enfance, École, Famille, Société
Notre société compte de plus en plus d'enfants, d'adolescents, et d'adultes capables des pires violences. Enseignants, éducateurs, policiers, le disent avec inquiétude : les comportements violents sont plus fréquents, plus graves et plus précoces qu'autrefois, que ce soit en crèche, en maternelle, au collège, au lycée ou dans la rue. De fait, le passage à l'acte, de l'incivilité à la « radicalisation », trouve le plus souvent son origine dans la petite enfance. Comment comprendre la violence, et répondre aux légitimes questions que, victimes du « politiquement correct », nous osons à peine nous poser ? Démarche d'autant plus urgente, qu'il ne s'agit plus désormais d'excuser qui que ce soit, mais bien de prévenir la survenue d'une situation sociale incontrôlable.