Le film présente les résultats essentiels du projet européen Socrates-Coménius « Projet personnel de l'élève et politique éducative d'établissement » sur le rôle que l'équipe pédagogique et éducative de l'établissement peut jouer pour accompagner l'élève dans la construction de son projet personnel.

Huit collègues exerçant des fonctions différentes au sein d'établissements agricoles anglais, français, hollandais, irlandais et italiens témoignent de leurs pratiques d'accompagnement, qu'ils ont analysées et mutualisées durant plusieurs années. Leurs propos sont illustrés par des images d'élèves en situation.

Le livret d'accompagnement précise les notions d'accompagnement et de projet personnel, scolaire et professionnel de l'apprenant. Le film et le livret permettent d'animer des séquences de formation initiale ou continue, ou des groupes de réflexion, avec tous les acteurs, personnels et apprenants, sur la politique éducative de l'établissement, notamment dans le cadre de la mission d'insertion définie par la loi de juillet 1999. (Source : 4ème de couverture)

Cette mallette vidéo comprend 10 DVD issus d'un séminaire (2006-2007) sur la famille. Cette synthèse retrace les ateliers de professionnels et les conférences de : Maurice Godelier, anthropologue ; René Roussillon, psychanalyste ; Françoise Hurstel, psychanalyste ; Gérard Neyrand, sociologue ; Christine Barras, psychopédagogue.

Près de six heures de témoignages de parents, de commentaires de professionnels (psychologues, gynécologues, médecins, psychiatre, pédiatre), d'interviews des pionniers d'une annonce du handicap plus humaine. Ce sont des histoires de vie de parents ayant vécu le handicap de leur enfant et en premier lieu l'annonce du handicap avec ce qu'elle comporte de souffrances, d'acceptation, de deuil et parfois de rejets. Le film insiste sur l'accompagnement pédagogique nécessaire pour annoncer le handicap et pointe les difficultés tant du côté des parents que des médecins pour dire ou entendre l'annonce. Le film va au coeur des pratiques professionnelles des soignants. Des extraits de films précédents complètent les témoignages.
DVD 1 : I Prologue : C'était hier. II : 1. Le temps de la découverte 90'. - Période anténatale avec l'échographie et les examens. - Période périnatale avec la découverte de ce qui a échappée aux examens. - Période postnatale avec la découverte de troubles du comportement.
DVD 2 : -2. Annoncer, c'est déjà accompagner 101'. - Les médecins sont confrontés au handicap. - L'impréparation psychique. - Témoignages - Annonce faites à l'enfant. - Parents de Victor. - Annoncer, mode d'emploi. - Les effets de la génétique dans l'annonce.

DVD 3 : Annoncer ou prédire ? le test pré-symptomatique. 42'.
DVD 4 : Après l'annonce, l'accompagnement : les Camsp. 122'. Près de six heures de témoignages de parents, de commentaires de professionnels, d'interviews des pionniers d'une annonce plus humaine, nous tiennent en haleine sur un sujet qui constitue l'un des éléments ayant justifié la création des CAMSP et constituant la charte de l'ANECAMSP. Le dernier chapitre, de deux heures, est consacré à une série de témoignages sur les missions et le fonctionnement des CAMSP qui constituent à la fois une bibliothèque d'avis autorisés sur les diverses manières d'accueillir le public, d'approcher les enfants, d'écouter les parents et complètent parfaitement la problématique du processus d'annonce, en fait jamais terminé.

Quatre Conseillers en Economie Sociale et Familiale décrivent leur travail au quotidien. On y découvre différentes situations professionnelles rencontrées ainsi que les évolutions possible du métier.

« ...A 20 ans, ces jeunes doivent quitter leur école, un IME, une institution spécialisée où ils ont effectué l'essentiel de leur scolarité. Se pose, alors, la question de leur avenir.
Ce n'est pas toujours facile de grandir, de devenir adulte, avec tout ce que cela implique... ! Ce qui fait la vie de tous les jours qu'ils doivent assumer avec leurs particularités... si quelque part on leur en donne les moyens.
Ils s'en inquiètent :
"Pourquoi on dit , les handicapés, ils peuvent rien faire comme tout le monde ? Pourquoi nous, on ne pourrait pas avoir un travail, un appartement... , vivre comme tout le monde ?"
Pour les structures, IME, CAT ou foyers d'hébergement, il s'agit d'accompagner ces adultes vers plus d'autonomie, de les aider à révéler leurs compétences, à se faire accepter avec leurs différences. Ainsi chacun, à la mesure de ses capacités et de ses difficultés, devrait pouvoir définir son propre projet de vie. »
[Présentation de l'éditeur/ADAV]

« On ne naît pas parent d'enfant handicapé, on le devient, et c'est là que réside toute la difficulté car tout reste à apprendre.
Nous voilà après 9 mois de grossesse plus ou moins faciles, avec un nouveau-né différent, un petit être nouveau "livré sans mode d'emploi", ou contraints de réagir face à un accident, un coup du sort qui vient de changer subitement le cours "normal" de la vie !
Un enfant que tout le monde regarde avec une certaine compassion, des larmes au fond des yeux parfois, et pour nous les parents, les soupirs, les sous-entendus, les "quel courage" et "comme cela doit être difficile", nous mettent rapidement face à la réalité.
On passe vite dans l'antichambre d'un monde à part. »

« Il y a de plus en plus de personnes âgées dans les pays riches et nous savons de moins en moins ce qu'il faut faire pour les accompagner.
Je me suis souvent imaginée à la place des vieux dans les établissements spécialisés. Un peu effrayée à l'idée de devoir vivre dans un lieu clos à l'organisation rigide.
Et puis un jour, j'ai connu la maison Carpe Diem, au Québec, qui accueille des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. J'ai découvert un lieu unique, une approche basée sur l'empathie où la personne ne disparaît pas derrière sa maladie. » (Laurence Sarfaty)

Ce film documentaire décrit le travail réalisé par le psychologue Sylvain Siboni et son équipe au Forum Jean Vignalou (hôpital Charles Foy d'ivry sur Seine). Celui-ci témoigne de sa pratique professionnelle dans un centre de jour.Dans la première partie du film, intitulée "Comprendre", Siboni donne son avis de psychologue sur le vieillissement, la santé, le besoin d'amour. Il s'interroge sur l'arrivée de la maladie. Il aborde ensuite les troubles de la mémoire qu'accompagne des troubles de l'orientation ainsi que des troubles psychiatriques. Selon lui Alzheimer est une maladie de la communication.Dans la seconde partie du film, "Accompagner", nous découvrons les ateliers du Forum : communication corporelle, arts plastiques, communication verbale, vie quotidienne, esthétique, cuisine, danse, poésie. C'est à une thérapie par l'amour, la reconnaissance et le vivre ensemble que nous invite le travail de ces accompagnants.

Pendant une année, nous avons suivi trois familles, trois fratries, dans une maison qui accueille des enfants placés par l'aide sociale à l'enfance. Les enfants arrivent à La Salamandre souvent après un long parcours en maison d'accueil. Ils sont vingt cinq sous la responsabilité d'éducateurs qui jouent un rôle maternant, loin des dimensions et de l'anonymat d'un internat. Les parents de ces enfants ne sont en aucun cas déchus de leur autorité parentale (fait rarissime) et la loi prévoit de préserver au maximum le lien parental, qui est très structurant. Nous avons vécu auprès de ces enfants, nous les avons suivi dans leur famille le week-end, nous avons parlé avec les parents pour comprendre, ou plutôt essayer de comprendre... Parallèlement, nous avons accompagné les travaux pédagogiques mis en place par les psychologues et les éducateurs de la Salamandre, dans le but de reconstruire ces enfants blessés par l'existence, de leur donner une autre image de la vie et d'eux-mêmes. Après tout ce temps passé, aussi bien avec les enfants, les parents, et les équipes éducatives, aucune réponse n'est donnée à notre questionnement. Aucune réponse rationnelle. Mais des réponses émotionnelles sur ces parents maltraitants ou défaillants qui sont sincères dans leur amour, à un moment donné. Sur ces enfants qui pourraient être n'importe lesquels, et les nôtres, pourquoi pas ? Toujours prêts à rebondir...