Moscou, de nos jours. 12 hommes que tout sépare doivent décider unanimement du destin d'un jeune tchétchène accusé du meurtre de son père adoptif, un officier russe. Tour à tour, chacun des jurés prend la parole pour s'imposer, peser les faits, et finalement se révéler tandis que l'accusé attend son verdict en retraçant son parcours durant la guerre.
En transposant l'intrigue du classique 12 hommes en colère dans le cadre russe, le réalisateur de Soleil trompeur et du Barbier de Sibérie démontre l'universalité des thèmes de la justice et du destin, et nous offre une fresque haletante. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

En complément : rencontre avec Nikita Mikhalkov au Forum des images dans le cadre du festival Un état du monde et du cinéma (19'), bande-annonce du film.

Dans la petite maison de l'association Ti-Tomm, accolée au mur de la prison des hommes à Rennes, des femmes, des familles attendent l'heure du parloir où en reviennent. Les familles arrivent à l'avance, majoritairement des femmes, échangent entre elles et se confient en attendant l'heure. On suit l'épreuve des proches qui subissent l'incarcération au quotidien, de leur côté. Elles confient leur vécu, leurs histoires d'emprisonnement, les incompréhensions et leur souffrance face aux questions et aux décisions administratives. En bonus, un film documentaire "Envie de justice" : une avocate donne des consultations juridiques gratuites à la mairie de Bondy.

L'histoire de Marguerite, pupille de l'Education surveillée, à Cadillac, en Gironde… En 1945, intervient une réforme concernant l'enfermement des mineurs. En 1950, Marguerite se suicide… Cet événement provoque la fermeture de la dernière maison de correction pour filles…