Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

Au jour le jour, à la nuit la nuit

Film de Anaëlle GODARD, 2015.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychothérapie institutionnelle, Hôpital psychiatrique, Folie, Témoignage, Vie quotidienne, LA BORDE, OURY (JEAN), LOIR ET CHER

« La clinique de La Borde, fondée en 1953 par Jean Oury dans le courant de la "psychothérapie institutionnelle", représente une expérience radicale dans le champ psychiatrique. Lieu de vie et de soin, La Borde reste une référence unique dans la conception et la prise en charge de la folie.
C'est aussi le lieu où j'ai passé mon enfance, à la garderie avec les enfants des soignants. Lorsque je reviens dans ce paysage familier, je reconnais une musique singulière portée par des mots, mélodie d'un dialecte local. De simples mots, mais qui convoquent un monde, disent l'essence de ce lieu. En explorant le "Ritz", "le poulailler", "l'orange-accueil", ce sont les lieux qui se mettent à raconter ce qui ne cesse de s'inventer dans cet espace incroyablement vivant. »

La moindre des choses

Film de Nicolas PHILIBERT, 1996.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Animation socioculturelle, Théâtre, [QUOTIDIEN], Psychothérapie institutionnelle, LA BORDE

Au cours de l'été 1995, fidèles à ce qui est devenu une tradition, pensionnaires et soignants de la clinique psychiatrique de La Borde se rassemblent pour préparer la pièce de théâtre qu'ils joueront. Au fil des répétitions, le film retrace cette aventure. Au delà du théâtre, il raconte aussi la vie à La Borde, celle de tous les jours, les petits riens, la solitude, la fatigue et les moments de joie.
Nicolas Philibert a réalisé un film d'une rare qualité valant autant pour sa mise en scène que pour son point de vue. Il sait capter la beauté des visages changés par la maladie mentale et restituer l'humanité de ces êtres profonds. Un document majeur.