PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Mots clés : Territoire-Logement, Lien social-Précarité, DSL, Milieu urbain, Association, Bénévolat, Implication personnelle, Communauté, Partenariat, Solidarité, Travail social de communauté, Lien social, Quartier, Démocratie participative, Réseau, Travailleur social, Politique de la ville, Femme, Théâtre, Immigré, Atelier, Langue vivante, Féminisme, Accueil enfant-parents, Soutien scolaire, Assistant de service social, Militantisme, Personne âgée, Jardinage, Italie
Parme, ville de la région Emilie-Romagne en Italie, n'est pas seulement riche de son patrimoine culturelle. Acteurs sociaux, communautaires et citoyens s'engagent pour faire communauté et pour favoriser l'implication de chacun dans des projets communautaires. Des laboratoires familiaux et des points de communauté fleurissent dans les quartiers de la ville. Diverses actions et activités sont proposés aux habitants de tous âges ainsi qu'aux nouveaux arrivants. De jour comme de nuit, Parme est une ville de liens.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Enfant handicapé, Adolescent, Éducateur spécialisé, Prise en charge, Milieu urbain, Jeune, Banlieue, Hôpital de jour, Organisation du travail, Association, Formation professionnelle, Insertion professionnelle
Mots clés : Territoire-Logement, Lien social-Précarité, DSL, Milieu urbain, Association, Bénévolat, Implication personnelle, Communauté, Partenariat, Solidarité, Travail social de communauté, Quartier, Démocratie participative, Réseau, Travailleur social, Politique de la ville, Italie
A Parme, ville de la région Emilie-Romagne en Italie, des acteurs sociaux s'engagent auprès et avec les citoyens pour favoriser leur implication dans des projets communautaires. Des laboratoires familiaux et des points de communauté fleurissent dans les quartiers de la ville. Que sont-ils ? De quelles dynamiques sont-ils le fruit ? Ce film documentaire rend compte de ces actions.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychopathologie, Handicap psychique, Personne handicapée, Santé mentale, Recherche-action, Parole, Citoyenneté, Insertion sociale, Institution, Politique sanitaire, Usager, Droits des usagers, Empowerment, Participation, GEM, Soin, Hospitalisation, Médicament, Accès aux droits, Logement, Travail, Association, Réunion, Sociologue, Autonomie, Milieu ordinaire, Caen
Ce film raconte une recherche-action initiée par l'association Advocacy-France, menée pendant trois ans, sur le thème suivant : la prise en compte de la parole des personnes dites handicapées psychiques par les décideurs publics.
Pour davantage d'informations sur les différentes productions issues de cette recherche-action, voir sur le site de la FIRAH : http://www.firah.org/centre-ressources/prise-de-parole-en-sante-mentale.html (Description éditeur)
Mots clés : Immigration-Interculturalité, Étranger, Clandestinité, Réfugié, Aide juridictionnelle, Assistance, Association, Solidarité, Intégration, Travail, Immigration, Témoignage, Droit d'asile, Titre de séjour, CIMADE, Paris
Suivant le quotidien d'une permanence de la Cimade (à l'origine acronyme pour Comité inter-mouvements auprès des évacués), Olivier Cousin filme sans artifice et capte au plus près les émotions des personnes étrangères sans papiers souhaitant une assistance juridique afin de régulariser leur situation. Face aux difficultés (précarité extrême, vie dans l'illégalité, déclassement, exploitation par des employeurs peu scrupuleux), le lieu se révèle un espace chaleureux de solidarité où les langues se délient. Là, toutes et tous aspirent, à travers l'obtention de titres de séjour, à accéder à un semblant de vie normale pour pouvoir, enfin, vivre dans la dignité.
Durant deux ans, Olivier Cousin a installé sa caméra dans les locaux de la permanence RCI/Cimade (Réseau Chrétiens-Immigrés) de Paris-Belleville, où lui-même a œuvré un temps comme bénévole. Dans cet espace clos, salariés et bénévoles écoutent, orientent, réconfortent, cherchant les meilleures stratégies pour que les demandes de celles et ceux qui sont parfois depuis de nombreuses années en France aboutissent. En révélant l'hypocrisie d'un système exploitant cette clandestinité, Murs de papiers rappelle que l'immigration, à travers la main d'œuvre bon marché qu'elle génère, n'est pas un coût mais un bénéfice, pour l’État comme pour les entreprises, "générant une contribution budgétaire nette positive de plusieurs milliards d'euros par an". Le durcissement des régularisations est d'autant plus absurde que, comme l'explique l'une des femmes œuvrant à la permanence, non seulement les migrations ne s'arrêteront pas, mais elles ne feront qu'augmenter. Cependant elle ajoute : "On n'est pas envahi et on ne le sera jamais !" (Caroline Châtelet). (Description éditeur)
Le programme « Un chez-soi d'abord » piloté par la Dihal et déployé entre 2011 et 2016 sur quatre villes françaises, Paris, Toulouse, Marseille, Lille, vise à répondre à la question des personnes sans-abri les plus vulnérables qui présentent des pathologies mentales sévères. Il change radicalement la prise en charge en proposant un accès dans un logement ordinaire directement depuis la rue, moyennant un accompagnement soutenu et pluridisciplinaire au domicile. Une étude scientifique indépendante pilotée par la Direction générale de la santé a confirmé en 2016 que le programme a un réel bénéfice pour les personnes accompagnées tout en permettant une utilisation rationnelle des finances publiques. Il a donc été décidé sa pérennisation et son déploiement futur sur une vingtaine de villes ouvrant là un nouveau champ de l'action publique au bénéfice d'un public échappant jusque-là à la plupart des dispositifs classiques d'accompagnement. Ce film a été réalisé à l'occasion de la journée de présentation des résultats de l'expérimentation "Un chez-soi d'abord" 2011-2017, organisée par la Dihal au ministère de la Santé, le 6 avril 2017. Il présente des témoignages de personnes bénéficiant du dispositif. (Description éditeur)