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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 3 sur un total de 3

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Pénélope mon amour

Film de Claire Doyon, 2021.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Maladie génétique, Famille, Parents, Diagnostic, Annonce du handicap, Prise en charge, Méthode active

"Depuis 18 ans, je filme Pénélope, jeune adulte porteuse d’autisme. Un jour, j’ai ouvert le placard qui contenait des cassettes DV et des bobines super 8. Ça m’a presque crevé les yeux. Il fallait rassembler toutes ces images... "Pénélope mon amour" trace le parcours d’une mère et de sa fille à travers les années. Il raconte différentes étapes : le choc du diagnostic (la maladie de Rett), la déclaration de guerre, l’abdication des armes, pour finalement accepter et découvrir un mode d’existence autre. Pénélope ne cesse d’acclamer ce qu’elle est, je ne cesse de questionner qui elle est. La réponse à la question est précisément dans cette quête infinie. Tout m’est renvoyé en miroir. Ainsi, n’est-ce pas Pénélope qui par ricochet me dit qui je suis ?”  [Présentation de l’éditeur, © ADAV]
En complément :  "It's raining cats and dogs", court métrage de Claire Doyon (2022, 26 min).

Les enfants de la rose verte

Film de Bernard Richard, 2014.

Mots clés : Enfance-Famille, Jeunesse-Adolescence, Handicap-Situations de handicap, Hôpital de jour, Autisme, Psychothérapie institutionnelle, Thérapie, Diagnostic, Relation, Supervision, Psychiatrie infantile, Soin, Parents

Un document sur le traitement des enfants et des adolescents autistes. Qui soigne-t-on, que soigne-t-on, comment ça soigne ? Comment communique-t-on avec des enfants qui ne parlent pas ou peu, qui semblent indifférents à la relation humaine quelle qu'elle soit ? Comment l’enfant autiste peut-il sortir de sa bulle ? Comment les parents vivent-ils la souffrance de leur enfant et la thérapie au long cours dont il bénéficie ? Dans un hôpital de jour d’un secteur de pédopsychiatrie, nous avons filmé librement les enfants et leurs soignants dans leurs activités thérapeutiques et éducatives, ainsi que des parents. La pédopsychiatrie « à la française », fondée sur une longue pratique clinique, une constante recherche théorique et l’intégration d’approches diversifiées, exige que tout ce qui fait l’humanité du sujet autiste reste au centre de la préoccupation des soignants dans un travail de pensée permanent et que la parole soit au cœur de la dynamique soignante. Qu'est-ce que la psychothérapie institutionnelle ? Comment soigne-t-on en respectant la singularité de chaque enfant qui souffre d’autisme ? Les enfants, des parents et les soignants de la Rose Verte en témoignent. [Présentation de l’éditeur, © Le Carnet Rouge]

Elle s'appelle Sabine

Film de Sandrine BONNAIRE, 2007.

Mots clés : Autisme, Famille, Hôpital psychiatrique, Prise en charge, Soin, Diagnostic, Médicament, Activité, Fatigue, Image de soi, Récit de vie, Foyer de vie, Vie quotidienne

Un portrait sensible de Sabine Bonnaire, autiste de 38 ans, réalisé par sa soeur Sandrine. Récit de son histoire à travers des archives filmiques personnelles, sur une période de 25 ans, et témoignage sur sa vie aujourd'hui dans une structure adaptée en Charente. Le documentaire évoque une personnalité attachante, dont le développement et les capacités d'apprentissage ont été broyés par un système de prise en charge défaillant qui a mis longtemps a établir un diagnostic. Après un passage tragique de cinq années en hôpital psychiatrique, Sabine reprend goût à la vie dans le foyer d'accueil, même si ses capacités restent altérées. Nous la suivons entourée des autres usagers du lieu et des travailleurs sociaux qui les encadrent dans leur quotidien fait de repas, d'activités diverses (sorties, jardinage, soins aux animaux) et de moments intimes. Sandrine Bonnaire, par ce film, a tenu à témoigner de la pénurie de centres spécialisés et des conséquences dramatiques des manquements à la prise en charge.