Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.
Article de Pierre Emmanuel Encinar, Damien Tessier, Rébecca Shankland, et al.et al.
Paru dans la revue Enfance, n° 1, janvier-mars 2017, 149 p..
Mots clés : Enfance-Famille, Enfance en danger-Protection de l’enfance, Qualité de la vie, Enfant, Psychologie du développement, Auto-évaluation, Bien-être, Émotion, Développement cognitif, Réussite scolaire, École, Motivation, Précarité, Enfant placé, Protection de l'enfance
La qualité de vie est un concept nouveau qui donne la part belle au ressenti. Lorsqu'il s'agit d'y associer l'enfant, les justifications ne manquent pas, comme celle d'améliorer les conditions d'existence en partant des points de vue de la personne. Mais des questions se posent aussitôt : comment surmonter les obstacles impressionnistes ? Comment évaluer le ressenti des enfants de façon objective ? Les psychologues ont des éléments de réponse qu'ils livrent dans ce numéro.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Hyperactivité, Enfant, Attention, Scolarité, École, Collège, Lycée, Parents, Témoignage, Enseignant, Psychologue, Professeur des écoles, Estime de soi, Précocité, Motivation, Médicament, Addiction
Un webdocumentaire sur la scolarité des enfants présentant un Trouble Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité TDAH. Pendant 8 semaines les réalisateurs ont suivi des enfants à l'école primaire, au collège et au lycée. Comment s'exprime le TDAH en classe ? Quelles sont les difficultés liées à l'inattention ? Quelles sont les solutions ? (source éditeur).
En complément : une chaîne thématique de formation avec des entretiens d'experts par thématique, le dossier de presse, une version de 50 min. diffusable dans les écoles.
Les enfants sont souvent appréhendés comme un groupe social homogène et leurs conflits ordinaires sont peu étudiés. Une enquête ethnographique menée pendant un an dans une école ariégeoise auprès d’une classe de CM2 permet de porter un regard plus attentif aux conflits entre filles et à leur rôle au sein des pairs, en tenant compte de la structure des relations sociales. Dans ce travail, les modalités de conduite des conflits sont reliées aux modes de socialisation des enfants et à leurs ressources sociales, analysées à partir des pratiques corporelles (activités ludiques et apparence corporelle) développées en cour de récréation. Cette étude met plus particulièrement au jour le rôle des dispositions agonistiques au sein des rapports sociaux enfantins et dans le processus de hiérarchisation des filles.
Paru dans la revue Lien social, n° 1193, 13 au 26 octobre 2016, pp. 24-31.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Centre d'accueil pour demandeurs d'asile, Enfant, Immigré, Exil, CMP, Espace transitionnel, Adolescent, Parents, École, Formation, Intervention sociale, Primo Levi (Centre), Brou sur Chantereine
Victimes de la violence et de la guerre, les enfants qui vivent en centre d’accueil de demandeurs d’asile (Cada) ont besoin d’écoute et de soutien. Les équipes en ont-elles les moyens ?
Enfants en Cada • Un accueil soigné.
Reportage • La vie, un drôle de jeu.
Chaque mercredi, le centre d’accueil de demandeurs d'asile (Cada) Nord -77 à Brou-sur-Chatereine (Seine-et-Marne) propose un espace aux enfants et aux adolescents. Objectif : s'amuser et "déposer" son vécu émotionnel.
Le paradoxe d’un accueil spécifique (entretien avec Olivier Jégou, AS).
Au Centre Primo Lévi, Olivier Jegou co-anime, en duo un psychologue, des formations proposées aux intervenants sociaux qui travaillent auprès des demandeurs d'asile, notamment en Cada.
Une part de vérité habiterait-elle l’ennui, qu’il faille le tromper ? Par une organisation des loisirs et de l’école ou encore une occupation de l’adulte, au-delà de toute mesure. Car l’ennui génère de l’inquiétude : quelque chose ou quelqu’un, qui répondait, ne répond plus. C’est pourquoi, peut-être, l’ennui appelle prioritairement la figure de l’adolescent, aux prises avec un travail de deuil d’abord, puis de réappropriation lente de ses pensées. Imagine-t-on une vie sans l’ennui ? Sous l’étymologie réelle de l’ennui – in odio esse, être dans la haine –, perce une référence à la nuit, à l’insomnie, au désœuvrement, c’est-à-dire au désir d’autre chose. Mais ne peut-on s’ennuyer à mourir ?
D’un ennui dont l’indifférence à tout, le désintérêt, la dépression ou la mélancolie seraient les autres noms ? C’est alors qu’il conviendrait non seulement d’entendre l’ennui dans sa valeur de signe, mais d’en préciser – de l’ennui de l’enfant précoce à celui de l’enfant suicidaire – les caractéristiques annonciatrices au regard du trouble qui le sous-tend.