Documentation sociale

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« Sortir de la logique d’hébergement »

Article de Flora Peille, Denis Piveteau

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3180, 16 octobre 2020, pp. 12-13.

Mots clés : Territoire-Logement, Habitat, Accompagnement, Projet de vie, Décision, Personne handicapée, Personne âgée, Insertion sociale, Économie, Mixité sociale, Financement

« Demain, je pourrai choisir d’habiter avec vous ! », tel est le titre du rapport de Denis Piveteau, président de la 5e chambre de la section du contentieux du Conseil d’Etat, et Jacques Wolfrom, directeur général du Groupe Arcade-VYV, remis au gouvernement le 26 juin dernier. Objectif : favoriser le développement de l’habitat partagé.

Le droit au répit

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Elodie Lanez, et al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 59, août-octobre 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Repos, Fatigue, Besoin, Aidant familial, Personne handicapée, Personne âgée, Dépendance, Accompagnement, Accueil temporaire, Groupe de parole, Association, Financement, Maintien à domicile

Longtemps ignoré et même nié, le besoin de répit des aidants accompagnant des personnes âgées dépendantes ou des personnes en situation de handicap est devenu un droit. Les termes de "répit" et "d'aidant" sont désormais entrés dans le vocabulaire des Français. Dans le même temps, les textes législatifs de sont multipliés au cours des dernières années. Les professionnels du domicile proposent aujourd'hui une offre diversifiée et structurée, avec l'accompagnement des auxiliaires de vie, des ateliers thématisés, des groupes de parole, des séjours répit, et depuis peu avec l'expérimentation du relayage sur le modèle du baluchonnage québécois. Les services d'aide et d'accompagnement à domicile, les plateformes d'accompagnement et de répit, les accueils temporaires, le tissu associatif donnent la possibilité aux aidants de reprendre des forces, de se reposer quelques minutes, quelques heures voire quelques jours pendant que leurs proches sont accompagnés en toute sécurité. Toutefois, ces associations demandent plus, notamment autour de la question centrale du financement. Et pour cause, l'enjeu est que les aidants puissent "souffler" quand ils en ont besoin et pas seulement quand l'état de leurs finances le leur permet. A l'heure où l'écrasante majorité des Français souhaite rester à domicile jusqu'où bout, loin des institutions, encore faut-il le pouvoir. Les situations sont forcément complexes et différentes, mais elles demandent toutes une réponse individualisée et surtout un accompagnant expérimenté et formé. Des éléments qui devront être pris en compte dans la future loi Grand âge et autonomie, mais aussi dans le financement du 5e risque tant attendus.

Surveiller, veiller, accompagner : rupture ou continuité ?

Article de Laurence Hardy

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 29, septembre-octobre 2020, pp. 10-11.

Mots clés : Travail social : Métiers, Surveillant de nuit, Nuit, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Conditions de travail, Pratique professionnelle, Profession

Le terme accompagnement fait désormais partie intégrante du langage des aidants professionnels au point d'être quelque peu galvaudé. Pourtant, l'esprit de l'accompagnement est de cheminer auprès de la personne vulnérable afin d'être au plus près de ses besoins et de ses attentes. D'abord pensé pour la journée, il s'est très lentement étendu à la nuit au point de faire émerger en 2002 un nouveau métier : surveillant de nuit qualifié (SNQ). Reste que l'accompagnement de nuit doit assurer une reconnaissance de la personne dans ses particularités et sa globalité.

Préserver les capacités restantes

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 38, juillet-septembre 2020, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Accompagnement, Adaptation, Pratique professionnelle, Auxiliaire de vie sociale, Projet individualisé, Observation, EHPAD, Stimulation, Autonomie

Les déficits, les pertes et les incapacités sont toujours répertoriés et connus des équipes à l'ère de la prise en charge de la dépendance. Or, depuis quelques années, certains professionnels ont décidé de changer de regard sur les personnes fragilisées par la maladie d'Alzheimer. Et pourquoi ne pas, au contraire, mettre en avant les capacités préservées ? Car malgré les atteintes cognitives, les personnes sont encore capables de réaliser des actes de la vie quotidienne. Encore faut-il que les professionnels procèdent à une évaluation efficace des capacités restantes et soient en possession des bonnes clefs. Et c'est là que le bât blesse. Les grilles habituellement utilisées comme AGGIR, pour ne citer qu'elle, révèlent justement les incapacités. Dépendance versus autonomie ? Pour sortir de ce cercle vicieux, les soignants doivent se tourner vers d'autres outils pour ensuite adopter la bonne attitude. C'est en observant qu'ils peuvent mieux connaître la personne et savoir exactement ce dont elle est encore capable de faire. C'est en détectant les capacités préservées que l'accompagnement peut s'adapter. Il ne s'agira alors plus de prendre en charge mais de guider. C'est un réel changement de pratique et de culture professionnelle que de plus en plus de professionnels adoptent. Certains depuis longtemps, que ce soit les disciples de l'Humanitude, de la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées ou encore Carpe Diem et Ama Diem. Cette révolution des pratiques ne se décrète toutefois pas. Les professionnels de terrain doivent être accompagnés, sensibilisés et dotés d'outils pragmatiques. En établissement mais aussi à domicile. C'est d'ailleurs un autre défi pour les auxiliaires de vie sociale qui doivent promouvoir l'autonomie des personnes aidées. Ce n'est pas qu'une question de temps ou de moyens financiers mais bien de regard et d'accompagnement différenciés.

Temps et qualité incompatibles ?

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Marcel Nuss, et al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 58, mai-juillet 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Temps, Qualité, Rythme, Aide à domicile, Maintien à domicile, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Dépendance, Autonomie, Handicap, Vieillissement, Soin

Surveiller sa montre et accélérer la cadence. C'est malheureusement le quotidien des aides à domiciles, que ce soit en zone rurale ou au cœur des grandes métropoles... Quand le temps file et les interventions s'enchaînent, difficile de proposer un accompagnement qualitatif. Difficile certes, mais pas impossible. Les professionnels de terrain savent pertinemment que leur posture, attitude, écoute, observation peuvent faire la différence pour mieux comprendre la requête d'une personne qui ne peut plus s'exprimer, savoir exactement quel geste nécessitera plus ou moins d'efforts. La connaissance de l'usager, les formations, le savoir-être et le savoir-faire sont heureusement autant d'outils dont disposent les aides à domicile... Car force est de constater que le système mis en place ne joue pas en leur faveur. A l'heure où le minutage de chaque soin est une réalité, où la morcellisation des actes s'est démocratisée, les accompagnements nécessitent paradoxalement de plus en plus de temps avec une population en perte d'autonomie qui vieillit à domicile et des personnes en situation de handicap qui choisissent de rester chez elles pour ne pas être institutionnalisées. La logique du financement ou de l'accompagnement ? C'est une question qui va se poser. La prochaine loi Grand Age et Autonomie permettra-t-elle de passer de la gestion de la dépendance au soutien à l'autonomie ? C'est en tout cas la volonté des professionnels et des personnes accompagnées qui souhaitent rester le plus longtemps actrices de leur quotidien. Encore faut-il le pouvoir, pouvoir avoir le temps de se lever, de se laver, de s'habiller, de manger ou encore d'échanger... sans subir une course contre la montre perpétuelle.

Grand-âge : une maltraitance qui s’est aggravée pendant la crise

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3166, 26 juin 2020, p. 19.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Maltraitance, Violence, Violence institutionnelle, Abus sexuel, OMS, Réforme, Autonomie, Établissement social et médicosocial, Accompagnement

Si la pandémie de coronavirus a touché de manière disproportionnée les pays européens, il est une constante : les personnes âgées en ont été les principales victimes. Particulièrement vulnérables, elles ont aussi subi la maltraitance des institutions et des pouvoirs publics.

Décrypter les réflexes de protection

Article de Aude Dagonneau

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 27, mai-juin 2020, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Stress, Psychomotricité, Équipe soignante, Accompagnement

Le stress ressenti par les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer peut provoquer des réactions inattendues et déstabiliser les soignants. D'où l'importance de les traiter et de les accompagner. La psychomotricité le permet. Cette discipline s'appuie sur l'observation séparée et conjointe des dimensions affectives et relationnelles, psychiques, cognitives et motrices de chaque personne. En étant sensibilisé aux réflexes archaïques, le soignant sera davantage armé.

Retour d'expérience des rééducateurs d'une unité cognitivo-comportementale

Article de Laëtitia Buisson, Véronique Mangin D'ouince, Camille Tedo, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 143, mai-juin 2020, pp. 19-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Adaptation, Atelier, Déficience cognitive, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Ergothérapeute, Hospitalisation, Kinésithérapie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Psychomotricien, Rééducation, Robot, Soin, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement, Ile de France

Les thérapies non médicamenteuses font partie intégrante de la prise en soins des patients hospitalisés au sein des unités cognitivo-comportementales. À ce titre, les rééducateurs intervenant dans l’unité de l’hôpital Corentin-Celton (AP-HP, 92) participent au projet de soins individualisé de réadaptation et de rééducation du patient en réalisant de nombreux ateliers individuels et collectifs en cothérapie.

Se réinventer pendant la crise sanitaire

Article de Sophie Massieu

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3161, 22 mai 2020, pp. 6-7.

Mots clés : Travail social : Métiers, Aide à domicile, Crise, Épidémie, Organisation du travail, Prévention sanitaire, Personne âgée, Violence conjugale, Victime, Accompagnement

"Un élan de solidarité extraordinaire"

Article de Brigitte Bègue, Maïa Courtois, Maxime Ricard, Al

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3160, 15 mai 2020, pp. 6-20.

Mots clés : Travail social : Métiers, Travailleur social, Épidémie, Protection de l'enfance, Handicap, Adulte en difficulté, Personne âgée, Mineur isolé, Santé, Accompagnement, Conditions de travail, Fatigue, Lien social, Organisation du travail, Organisation administrative, Adaptation

Dossier composé de 17 articles :
"Un élan de solidarité extraordinaire"
"Est- ce que les jeunes m'ont oublié?"
"J'ai eu peur d'attraper le Covid-19"....

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