Documentation sociale

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Chacun sa route, chacun son chemin...

Article de Florence Braud

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 23, octobre-décembre 2016, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Rythme, Équipe soignante, Relation soignant-soigné, Besoin, Projet individualisé, Soin, Vulnérabilité

En Ehpad, comme dans tous les établissements, l'organisation rythme l'accompagnement des résidents. Mais ces plans de soins sont-ils au service des résidents ? Des soignants ? L'efficience est évidemment recherchée, mais dans la pratique les besoins des personnes vulnérables sont-ils suffisamment pris en compte et entendus ? A l'heure où tous les professionnels parlent de la prise en charge individualisée, est-ce vraiment une réalité sur le terrain ?

Des activités variées et adaptées à domicile ou en institution

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 23, octobre-décembre 2016, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Animation, Animation sociale, Activité, Adaptation, Jardinage, Danse, Musique, Photographie, Lecture, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Mémoire, Stimulation, Cognition, Besoin

Pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de troubles apparentés, les activités physiques, manuelles et cérébrales sont essentielles et doivent être pratiquées régulièrement pour être efficaces. Valorisants et apaisants, ces rendez-vous leur permettent d'améliorer leurs capacités cognitives et peuvent ralentir l'avancée de la pathologie. Proposées par un intervenant à domicile ou en institution, elles sont un moyen efficace et complémentaire des aides et des soins à apporter. C'est également un levier vers l'autonomie, l'accueil de jour et ses animations collectives... bref, vers l'institutionnalisation.

Le goût... de vivre ?

Article de Cécile Bacchini

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 10-11.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Maladie d'Alzheimer, Cuisine, Atelier, Animation sociale, Stimulation, Mémoire

Dans la terminologie soignante, le repas est dit "thérapeutique" s'il a pour objectifs de répondre aux besoins nutritionnels de la personne, de favoriser son appétit et de mettre en place les conditions humaines, matérielles et techniques optimisant son autonomie. Au sein de l'accueil de jour pour personnes malades d'Alzheimer où j'exerce, le repas met l'accent sur le partage d'un temps entre les personnes accueillies et les soignants se restaurant eux-mêmes tout en accompagnant. L'alimentation s'inscrit ici à la base et aux fondements de tout acte d'accompagnement.

L'alimentation au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet, Cécile Bacchini, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 9-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Cuisine, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, Plaisir, Aidant familial, Équipe soignante, Autonomie, EHPAD, Goût

Aujourd'hui dans les institutions, le plaisir de manger doit être une priorité pour tous. La loi de 2002 mais aussi le Conseil national de l'alimentation rappellent que l'alimentation doit être compatible avec les attentes des personnes qui y vivent, ce qui signifie que le projet de restauration doit comporter deux éléments essentiels : le désir et le plaisir. Ce plaisir de manger, que ce soit à domicile ou en établissement, doit être au cœur de l'accompagnement. C'est d'ailleurs l'enjeu face à des personnes vieillissantes, sujettes aux troubles de déglutition, aux modifications du comportement à table, aux déambulations, à une satiété rapide et durable, à une anorexie ou à des usures qui conduisent à un risque élevé de dénutrition et au syndrome de glissement.
Pour justement redonner l'envie aux personnes âgées, les aidants qu'ils soient professionnels ou familiaux ont un rôle important à jouer. Les repas ne doivent pas se limiter à des aliments, sans goût, ni texture. L'enjeu est de redonner sa place à la personne, son rôle en l'associant et en favorisant son autonomie... C'est aussi pour ces raisons que de plus en plus d'établissements misent sur des ateliers culinaires et sur des repas thérapeutiques avec la volonté de créer une ambiance chaleureuse porteuse d'échanges... Face aux situations multiples, les professionnels doivent toujours observer pour identifier le problème, trouver la solution adaptée et ensuite personnaliser l'accompagnement et donc le repas.

Le manger-main pour un retour de l'autonomie

Article de Rachel Le Méhauté

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 16-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Stimulation, Main, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, EHPAD, Autonomie, Plaisir, Maladie d'Alzheimer

Le "manger-main", également appelé "finger-food", désigne un repas cuisiné de telle façon qu'on puisse le déguster sans utiliser de couverts. L'utilisation de mets à picorer avec les doigts en EHPAD n'est pas nouvelle, puisque les premiers essais "officiels" datent des années 2000. Mais force est de constater que son recours se développe dans un nombre croissant d'établissements. Divers essais sont testés par les équipes, des formations sont proposées aux professionnels, des publications apparaissent. Effet de mode ou adaptation des pratiques ?

Repas thérapeutique adapté

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Repas, Thérapie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Équipe soignante, Maladie, Médicament, Relation soignant-soigné

Les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée présentent un risque important de dénutrition. La perte de poids survient dans plus de 40 % des cas dès le début de la maladie. D'où l'importance d'un accompagnement durant la prise des repas, qui doit être un moment de détente. Toutefois, les aidants rencontrent souvent des difficultés compte tenu de l'attitude de l'aidé, qui ne voudra pas nécessairement manger ou encore n'arrivera pas à se servir de ses couverts.

Du fruit à la préparation de compote

Article de Richard Mesplède

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Lien social, Animation, Repas, Cuisine, Atelier, Activité, Stimulation, Démence sénile, Maladie d'Alzheimer, Mémoire, Personne âgée, Alimentation, Goût

Le maintien du lien social est primordial. Les activités liées aux loisirs anciens visent à stimuler les échanges et à préserver l'identité, contribuant à ralentir l'évolution de la démence sénile. En ce sens, la constitution d'un groupe résultant d'une réflexion collégiale de la part de l'équipe est un point important. En se concentrant sur les différents aspects de la personnalité de chacun et en favorisant les échanges entre les personnes, de nombreuses animations peuvent être proposées. Parmi celles-ci, la préparation d'une compote, facile à mettre en place, porte rapidement ses fruits.

Les bienfaits de l'activité physique adaptée

Article de Virginie Babin, Julie Cazalas, Méline Noireaut

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 31-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Activité physique, Sport adapté, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Aidant familial, Loisir, Bien-être, Santé, APA-S (Activités physiques adaptées-santé)

La maladie d'Alzheimer affecte de manière significative la vie de la personne mais également celle de son entourage familial. Les proches endossent le rôle d'aidant et, avec la progression de la maladie, l'aide apportée devient une activité à temps plein. Afin d'éviter que l'aidant se retrouve dans cette situation, la pratique d'une activité physique adaptée de manière régulière est une solution. Les activités physiques adaptées (APA) s'appuient sur des pratiques physiques dans un but de loisirs et de bien-être afin de préserver l'état de santé.

La mobilité au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 33-34.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accueil de jour, Vieillissement, Personne âgée, Expérimentation, Maintien à domicile, Accompagnement, Aidant familial, Équipe soignante, Maine et Loire

Depuis 2012, un accueil de jour itinérant a vu le jour dans le Maine et Loire. Créé par Marina Baconnais, aide médico-psychologique, et Lydie Picard, aide-soignante, ce dispositif expérimental accompagne des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de troubles apparentés dans des lieux neutres, à l'image d'un club. En imaginant cette structure atypique, l'objectif était aussi de lever les freins liés à l'absence de mobilité des personnes âgées mais aussi de favoriser le maintien à domicile dans de bonnes conditions.

Les animaux en institution

Article de Alexandra Marquet, Anne Chervet, Stefane Hedont Hartmann, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 9-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, État dépressif, Thérapie, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Lien social, Zoothérapie

Depuis quelques années, certains établissements autorisent les résidents à conserver leur animal de compagnie lors de leur entrée dans l'institution ; d'autres privilégient un animal de mascotte et des structures font appel ponctuellement à des animaux venant de l'extérieur pour des activités conduites par des experts en lien avec les animateurs. L'EHPAD, qui souhaite mettre en place ce type de thérapie, doit bien réfléchir en équipe à ce projet qui est un véritable engagement, car l'animal est un être vivant dont il faudra toujours s'occuper. Du côté des bienfaits, ils ne sont plus à démontrer tant aux niveaux social, affectif que cognitif. L'animal familier est un facilitateur de lien social pour des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer. Il favorise le souvenir d'expériences passées, souvent liées d'ailleurs aux animaux. On parle alors de réminiscence.