Documentation sociale

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Maladie d'Alzheimer, prise en charge non médicamenteuse

Article de Tristan Cudennec, Jan Chrusciel, Jean Luc Sudres, Emilie Tromeur Navaresiet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Art-thérapie, Démence sénile, EHPAD, Équipe pluridisciplinaire, Maladie d'Alzheimer, Étude de cas, Évaluation, Musicothérapie, Personne âgée, Projet thérapeutique, Prise en charge, Thérapie, Vieillissement, Zoothérapie

Liberté et sécurité : concilier l’inconciliable

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation

Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)

Des diplômes à adapter ?

Article de Alexandra Marquet, Sarah Bos, Sylvie Schrepel, Sylvie Guillemotet al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 52, novembre 2018-janvier 2019, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Formation, Grand âge-Vieillissement, Diplôme, Accompagnant éducatif et social, DEAES, Réforme, Adaptation, Formation, Professionnalisation, Aide à domicile, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement

(...) Si la proportion de salariés non diplômés recule depuis dix ans dans le secteur de l'aide à domicile, selon une étude de la DARES publiée en août dernier, ils étaient toujours 42,8 % à ne pas avoir de diplôme, contre 16,6 % pour l'ensemble des salariés. C'est dire la marge de manœuvre. Face aux problématiques rencontrées à domicile par des salariés isolés, les spécialités au sein des diplômes se multiplient, que ce soit l'accompagnement de la fin de vie, la gestion des troubles cognitifs..., mais faut-il encore pouvoir y accéder. Si finalement les diplômes se sont progressivement adaptés, la création en 2016 du diplôme d'Etat d'accompagnement éducatif et social (DEAES) illustre une réalité : le domicile est boudé par les candidats contrairement à l'accompagnement en établissement. Preuve d'un désamour ? Avant tout d'un manque de connaissance illustrant un manque d'attractivité certain de ce secteur qui peine à recruter et qui parfois doit refuser l'accompagnement d'usagers, faute de salariés. Ce manque de reconnaissance s'explique par une méconnaissance de ces métiers tant de fois redéfinis. Et pourtant à l'heure où usagers, aidants, gestionnaires, associations ou Fédérations, politiques sont conscients des efforts à faire pour créer les conditions d'une société inclusive, l'accompagnement à domicile devrait être en plein boom et pas en berne.

Qualité et quantité de vie

Article de Pierre Henry Frangne, Amélie Aregui, Rémy Billon, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Bioéthique, Cancer, Care, Communication, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Personne âgée, Philosophie, Pluridisciplinarité, Maladie, Morbidité, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

Soins en gériatrie, que doit-on privilégier ? Page :11
Approche philosophique de la qualité de vie. Page :12-18
La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie. Page :19-21
Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie? Page :22-24
Qualité de vie en soins palliatifs. Page :25-27

Qualité de vie en soins palliatifs

Article de Rodolphe Daire, Héléna Donabédian, Valérie Tambouras, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 25-27.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, Communication, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Pluridisciplinarité, Maladie, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement

Les soins palliatifs visent à améliorer la qualité de vie des patients atteints de maladies évolutives graves ou mortelles, au moyen d’une prise en charge globale et pluridisciplinaire. La notion de qualité de vie est multidimensionnelle et propre à chaque patient, faisant de lui l’acteur majeur de ses soins. La prise en compte des différentes dimensions de la qualité de vie d’un patient est nécessaire afin de proposer un projet de soins personnalisé et pertinent.

Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie

Article de Rémy Billlon, Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, EHPAD, Espérance de vie, Gériatrie, Maladie, Morbidité, Personne âgée, Qualité de la vie, Soin, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

La polymorbidité est fréquente chez les sujets très âgés, particulièrement dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes avec, souvent, un état de grande fragilité. Ils sont particulièrement à risque de polypharmacie et d’effets iatrogènes, ce qui peut amener à aggraver la qualité de fin de vie de ces patients. Une nouvelle manière de faire est à trouver en s’appuyant sur une approche centrée sur le patient, et pas sur la maladie.

La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie

Article de Rachida Qabbal, Amélie Aregui, Stéphane Culine, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 19-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Cancer, Care, Communication, Diagnostic, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Famille, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Traitement médical, Vieillissement

Associer qualité et quantité de vie est l’un des défis de l’oncogériatrie. Il repose sur un diagnostic le plus précoce possible et une évaluation complète du patient dans sa dimension médicale, psychologique et sociale. Cette évaluation a pour but de prendre en charge le patient dans sa globalité, de recueillir son opinion et de définir un traitement adapté. Une fois ce dernier établi, la mise en place d’un suivi pour la prise en charge des comorbidités et des symptômes, ainsi que l’instauration d’aides si nécessaire permettent d’améliorer la qualité de vie.

Approche philosophique de la qualité de vie

Article de Pierre Henry Frangne

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 12-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Bioéthique, Espérance de vie, Maladie, Personne âgée, Philosophie, Qualité de la vie, Santé, Soin, Souffrance, Traitement médical, Vieillissement

Le souci de la qualité de vie est né des bouleversements contemporains des soins médicaux et des nouvelles manières d’envisager la maladie et le malade Il s’enracine pourtant dans une très ancienne réflexion philosophique sur le sens de l’existence humaine et sur celui de la vie bonne Il montre que la difficulté d’une définition précise de la qualité de vie n’empêche pas l’impérieuse nécessité de sa considération par les équipes soignantes comme par les patients eux-mêmes.

La prévention au cœur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet, Maïa Courtois, Laurence Hardy, et al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 55, août-octobre 2019, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Prévention, Accompagnement, Maintien à domicile, Vieillissement, Personne âgée, Personne handicapée, Aide à domicile, Travail d'équipe, Coopération, Pratique professionnelle, Formation, Conditions de travail, Dépendance, Accompagnant éducatif et social, SAAD, PAERPA (Parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d'autonomie)

A l'heure où le domicile est plébiscité par les Français qui veulent rester le plus longtemps possible chez eux, la prévention est au cœur de l'accompagnement des aînés, mais aussi des personnes en situation de handicap. C'est en tout cas une mission de plus sur les épaules, déjà bien chargées, des professionnels du domicile. Prévention face à la dégradation progressive des capacités, face à la vulnérabilité, face à la perte d'autonomie et son lot de chutes, à la dénutrition qui guette, mais pas que. Prévenir la maltraitance, les abus de faiblesses... La liste est longue et vient s'ajouter aux missions quotidiennes déjà nombreuses pour lesquelles les professionnels de terrain sont en poste, à savoir : l'aide aux repas, à la toilette, à l'habillage, aux courses... Les acteurs du domicile, quels que soient leur formation et leur domaine d'intervention, doivent veiller, anticiper, détecter puis savoir en parler et remonter les précieuses informations collectées. Et c'est là normalement tout un travail d'équipe qui doit avoir été mis en place en amont pour éviter l'isolement, la solitude, l'embarras des auxiliaires de vie et autres aides à domicile. Si la proximité et la connaissance des bénéficiaires jouent en leur faveur, le manque de temps lors des interventions, la perte d'attention à force de courir entre deux bénéficiaires, la fatigue, la lassitude pèsent évidemment dans la balance... et pas du bon côté. Seul, le professionnel de terrain ne peut pas tout voir, tout maîtriser. Mais aidé d'une procédure, secondé par une direction, sensibilisé grâce aux réunions, aux échanges de bonnes pratiques, aux formations, il peut alors faire sereinement son travail. (...) La prévention nécessite un engagement collectif et passe par un décloisonnement qui doit permettre de faire progresser la coopération. C'est d'ailleurs tout l'enjeu des PAERPA lancé en 2014 autour des parcours de santé des aînés...

Mieux appréhender les troubles du comportement

Article de Maïa Courtois

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 34, juillet-septembre 2019, pp. 11-12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Trouble du comportement, Maladie évolutive, Accompagnement, Personne âgée, Vieillissement, Aidant familial, Équipe soignante, Démence sénile

Les maladies neurodégénératives, de type Alzheimer ou apparentées, sont corrélées à des modifications du comportement, avec lesquelles les soignants et proches aidants doivent composer. Ces troubles posent parfois des questions morales insolubles, entraînent une mise en échec de la personne ou un discrédit de sa parole. Certaines approches, intégrant les interactions sociales ou l'état de santé général de la personne, visent à en améliorer la compréhension et l'accompagnement.