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Adolescentes radicalisées : de la réactualisation du ravage mère-fille à la recherche d’un symptôme

Article de Alexandre Ledrait, Cindy Duhamel

Paru dans la revue Dialogue, n° 221, septembre 2018, pp. 13-26.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Radicalisation, Adolescent, Souffrance psychique, Relation enfant-mère, Fille, Traumatisme, Identité, Délinquance juvénile, Violence, Motivation, Propagande, Islam, Complexe d'Œdipe, Psychologie, Symptôme

À partir de leur expérience de psychologues dans le champ de la prévention de la radicalité, les auteurs formulent des hypothèses concernant les fonctions psychiques de la radicalisation pour des adolescentes en grande souffrance psychique ayant subi des traumatismes intra et intergénérationnels. Les auteurs évoquent tout particulièrement les cas de jeunes filles pour qui la radicalisation serait une tentative de résolution identitaire en lien avec des traumatismes touchant les liens mère/fille. Ces hypothèses théorico-cliniques et l’analyse des souffrances psychiques et des troubles manifestés conduisent les auteurs à ouvrir sur des préconisations en matière d’aide à apporter.

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Qui pleure mes morts avec moi ? Les reliques et les affres de l’histoire coloniale

Article de Malika Mansouri

Paru dans la revue Dialogue, n° 221, septembre 2018, pp. 27-36.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Radicalisation, Violence, Vulnérabilité, Adolescent, Approche historique, Intégrisme, Guerre, Identification, Exclusion sociale, Banlieue, Traumatisme, Algérie

Une clinique des radicalités dans le champ de la prévention et du traitement des extrémismes violents amène l’auteur de cet article à rencontrer de nombreux adolescents et jeunes adultes vulnérables. Ils établissent des liens entre violences et souffrances, historiques et actuelles, non prises en compte par le collectif. Les violences subies par les générations précédentes, notamment lors de la guerre d’Algérie, à défaut d’être clairement reconnues, subsistent de nos jours dans un sentiment d’abandon, voire une détresse psychique, qui amène les adolescents à s’identifier aux jeunes de leur quartier de banlieue victimes de violences contemporaines, notamment lors d’affrontements avec la police. Au risque de la mort, la rupture radicale semble émerger, pour ces adolescents, comme seul remède au sentiment de désubjectivation contemporaine, en miroir avec les expériences passées de domination et d’exclusion.

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Cliniques I - Au fil de rencontres singulières

Article de Anna Angelopoulos, Elisabeth Forveille, Laure Spatz, et al.et al.

Paru dans la revue Le Coq-héron, n° 234, septembre 2018, pp. 11-100.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychanalyse, Approche clinique, Cure analytique, Conte, Psychothérapie, Psychose infantile, Traumatisme, Exil, Voile religieux, Transfert, Deuil, Prostitution, Forclusion, Inceste, Complexe d'Œdipe, Adolescent

Il est d'usage au comité de rédaction du Coq Héron de consacrer périodiquement un numéro à la clinique, fidèle ainsi à l'idée-clé de la revue pour laquelle toutes pensées et expériences ayant comme horizon la psychanalyse, doivent pouvoir s'exprimer d'où qu'elles viennent et quelle que soit l'école à laquelle appartiennent ou se réfèrent leurs auteurs. Ce numéro accueille cette fois encore, des réflexions diverses témoignant de l'extrême diversité, de la créativité et de la richesse de la psychanalyse d'aujourd'hui et de ceux qui la font vivre, en matière de prise en charge des patients qu'ils rencontrent et à qui ils ont affaire. En outre, à l'heure où l'on constate une crise du livre et une désaffection de la lecture dans beaucoup de milieux, nous avons aussi voulu mettre l'accent, plus encore que de coutume, sur des ouvrages liés à la psychanalyse qui exposent des points de vue originaux sur les pratiques actuelles. Ce numéro se donne donc à lire comme une sorte d'arrêt sur images permettant de se faire une idée de la dynamique de la psychanalyse, toujours vivante, toujours en mouvement.

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Drame collectif : le traumatisme chez l'enfant et l'adolescent

Article de Isabelle Gravillon, Florence Askenazy, Hélène Romano, Geneviève Avenardet al.

Paru dans la revue L'Ecole des parents, n° 627, avril-juin 2018, pp. 31-60.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Traumatisme, Terrorisme, Adolescent, Enfant, Guerre, Anxiété, Média, Psychiatrie, Écoute, Mineur non accompagné, Approche systémique

Les attentats terroristes de ces dernières années posent de manière cruciale la question des psychotraumatismes induits par les drames collectifs : guerres, catastrophes naturelles ou industrielles, accidents de car, etc. Leur impact est souvent sous-évalué chez l’enfant et l’adolescent, en raison de la discrétion de leurs symptômes. Comment ces traumatismes se manifestent-t-ils, à court terme et dans la durée, et comment les soigner, à l’échelle individuelle ou familiale ? Comment faire en sorte que l’enfant exprime ses angoisses, sa souffrance, et parvienne à « vivre avec » ? Car l’enfant n’oublie jamais les violences vues ou subies, surtout si elles sont associées à la mort d’un proche. Ce dossier de L’école des parents, réalisé à l’aide de nombreux spécialistes du trauma (psychologues, psychiatres, thérapeutes, chercheurs) analyse cette thématique, hélas d’actualité, et propose des pistes de prise en charge thérapeutiques.

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Taire, se taire, faire taire : usages et mésusage du silence

Article de Martine Lani Bayle, Marielle Aithamon, Anthony Brault, et al.et al.

Paru dans la revue Connexions, vol. 1, n° 109, janvier-juin 2018, pp. 7-164.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Silence, Mutisme, Bruit, Psychanalyse, Musicothérapie, Ethnopsychiatrie, Interculturel, Transmission, Intergénérationnel, Famille, Migration, Adolescent, Enfant, Déni, Grossesse, Traumatisme

Dans un monde où le bruit est devenu une nuisance et une drogue, le silence apparaît autant comme un désir que comme une crainte. Il se décline d’ailleurs en de multiples versions, silence de vie et silence de mort, chez l’analysant et chez l’analyste, dans l’intériorité de la méditation et des initiations, dans les secrets de famille et les passés sous silence institutionnels… Polymorphe et polytopique, le silence laisse souvent entendre ce qui ne peut se dire ; il ouvre à la parole l’espace de l’écoute et offre à la musique la plénitude de son vide. C’est à explorer cette complexe et paradoxale multidimensionnalité du silence entre taire, se taire et faire taire que s’attachera ce numéro de Connexions.

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Féminin et délinquance

Article de Jean Yves Chagnon, Jacques Dayan, Luc Henry Choquet, et al.

Paru dans la revue Adolescence, tome 36, vol. 1, n° 101, janvier-mars 2018, pp. 9-191.

Mots clés : Justice-Délinquance, Délinquance, Femme, Adolescent, Fille, Prévention de la délinquance, Violence, Détention, Prison, Enfermement, Intégration, Exclusion sociale, Identité, Boulimie, Délit, Abus sexuel, Traumatisme, Homicide, Criminalité, Agressivité

La délinquance, on le sait, n’est pas un concept psychopathologique mais socio-judiciaire qui désigne à la fois une conduite caractérisée par la commission d’un délit ou d’un crime et l’ensemble des délits et crimes commis dans une communauté sociale (Chagnon, 2010 ; Dayan, 2012).

Du point de vue de la psycho(patho)logie clinique, il est ainsi vain aujourd’hui de postuler l’existence d’une personnalité dite délinquante, même si de nombreux psychanalystes – spécialistes de l’adolescence dans le sillage de A. Aichhorn ou A. Freud –ont écrit tout à la fois sur les fonctionnements intrapsychique et intersubjectif du délinquant et sur les modalités d’une prise en charge psychanalytique nécessairement ajustée de ces sujets. F. Marty et coll. (2002) avaient commenté certains de ces textes, qu’ils avaient publiés dans la première partie du XXe siècle. Certains sont néanmoins restés inédits. Ils en avaient souligné la « modernité » et le pouvoir génératif pour l’école française de psychanalyse de l’adolescent à venir.

Aujourd’hui, le curseur s’est donc déplacé sur l’acte violent, éventuellement délinquant, sa place et sa fonction dans l’économie psychique du sujet adolescent, en cours de subjectivation. L’acte de délinquance isolé peut être commis par n’importe quel individu si certaines circonstances narcissiquement douloureuses, auxquelles sont très sensibles les adolescents, se produisent, qui plus est dans un groupe à risque sur le plan psychosocial. Il peut alors prendre une valeur symbolisante, identifiante et subjectivante inattendue, ce qui a amené un renouvellement contemporain des théories sur le langage de l’acte. À l’extrême du spectre psychopathologique, les conduites psychopathiques (15-20% des faits de délinquance) continuent de "défier" les approches éducatives et soignantes. Ces conduites de délinquance s’articulent davantage, à l’heure des nouvelles TIC, aux mutations des métacadres sociaux et institutionnels, pour le meilleur comme pour le pire ; elles interrogent donc les valeurs « civilisationnelles », comme l’actualité de ces dernières années nous l’a montré.

Ce dossier traite de la délinquance et du féminin, et pas seulement au féminin, sans omettre cet aspect. Du point de vue épidémiologique, les statistiques retenues par l’Observatoire national de la délinquance rapportent que 18-20% des délinquances peuvent être attribuées à des mineurs ; parmi celles-ci, 14% sont attribuées à des filles et seulement 4 % d’entre elles seraient incarcérées. Leur implication croissante dans des actes d’agressions violentes est évoquée et débattue : a-t-on affaire à une réelle augmentation des comportements violents des adolescentes (en termes juridiques : les violences physiques non crapuleuses) ou aux effets d’une politique plus répressive sur ce type de délinquance ? Quoi qu’il en soit, le discours des adolescentes prend des intonations phalliques qui frappent l’imaginaire : il s’agit de « ne pas se laisser faire » ou encore "baiser, avoir des couilles", ce qui sur le plan des comportements peut s’accompagner de l’endossement des emblèmes "virils", voire dériver vers de franches agressions destructrices, valorisant l’exploit phallique en réunion, humiliant, maltraitant le/la faible, comme le démontre la participation de certaines filles aux viols en réunion.

Au-delà de ces aspects peut être encore marginaux, ces conduites adolescentes interrogent le rapport aujourd’hui entretenu par les deux sexes avec le féminin dans ses différentes déclinaisons : féminin maternel, féminin érotique, féminité, plus proche des emblèmes de genre. La grande nouveauté adolescente, Ph. Gutton (1991) nous l’a montré avec force, est la découverte de la complémentarité des sexes et du féminin génital. L’éclosion, sur fond de fragilités narcissiques héritées de l’enfance, des actes de délinquance à l’adolescence, avec la période fragile des 14-16 ans, interroge donc, quel que soit le sexe, ce rapport au féminin.

C. Balier (1988), à partir de son expérience de la grande délinquance ou criminalité suivie en prison, a montré que la question du refus de la passivité et du féminin (même si l’on ne peut rabattre l’une sur l’autre) était centrale chez ces sujets, et s’enracinait dans les ratés de l’adolescence. À un premier niveau, qui sous-tend le narcissisme phallique, il s’agit du roc du féminin, le refus par un homme d’occuper une position féminine passive vis-à-vis d’un autre homme, trop blessant pour l’Idéal du Moi viril ; mais en deçà des vicissitudes du complexe d’Œdipe négatif et de la « gestion » des pulsions homosexuelles à l’égard d’une figure paternelle, c’est bien la difficulté à occuper des positions passives ou mieux réceptives primaires qui semble en jeu : du fait de la massivité des traumatismes primaires, les formes passives (être aimé, choyé, bercé, etc.) sont lourdes d’une menace passivante mortifère (être écrasé, empiété, maltraité), contre lesquelles se mettent en place les défenses narcissiques phalliques, limitant les possibilités d’introjection pulsionnelle et le développement de relations objectales marquées du sceau de la sollicitude. Ces particularités sont remises au travail par le processus adolescent qui confronte à l’appropriation et l’intégration subjective. L’environnement contemporain surexcitant est alors mis en cause dans ces mutations des modes de fonctionnement, des pathologies et des relations humaines, de même que les valeurs groupales, sociétales et culturelles qui sous-tendent les institutions, comme la justice des mineurs (Chagnon, Houssier, 2014).

Ce dossier, composé de contributions pluridisciplinaires, se propose de traiter ces questions sous l’angle théorique, clinique, thérapeutique, à la fois du point de vue de l’épidémiologie, de la sociologie et de la clinique psychanalytique non seulement individuelle, mais également groupale et institutionnelle.

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Expérience de terrain d'une cellule d'urgence médico-psychologique pédopsychiatrique

Article de Florence Askenazy

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 74, 2017, pp. 14-22.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Traumatisme, Terrorisme, Jeune enfant, Adolescent, Urgence

Le 14 juin 2016 à Nice a eu lieu une attaque terroriste de masse très violente qui a touché un grand nombre d’enfants et leurs familles. Une cump (cellule d’urgence médico-psychologique) multidisciplinaire pédopsychiatrique a été ouverte pour la population. Elle a permis, dès la première nuit, de proposer une écoute pédopsychiatrique au sein d’un hôpital pédiatrique. Il s’agit d’une expérience unique où le travail d’urgence a pu s’effectuer en respectant l’intimité des personnes dans un cadre sécurisant tant pour les enfants que pour les soignants fortement sollicités émotionnellement dans ces contextes. De l’autre côté, nous décrivons un travail sur site lors de l’attaque, quelques mois plus tard, dans un lycée de Grasse. Ces deux modalités interrogent sur nos missions et sur la nécessité de l’engagement dans l’organisation cump des personnels des secteurs de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent.

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Traumas sexuels et adolescence. Entre auteurs et victimes ou le bal de dynamiques circulaires

Article de Samuel Lemitre

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 74, 2017, pp. 102-114.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Traumatisme, Abus sexuel, Adolescent

Les deux principaux profils cliniques de mineurs auteurs d’agression sexuelle correspondent à deux modalités d’expression symptomatiques généralement observées dans les traumas complexes. Cela conduit l’auteur à défendre l’idée que la clinique des violences sexuelles est une clinique du trauma qui, sans un accompagnement adéquat, peut conduire au glissement transgénérationnel des matériaux traumatiques et à une répétition des violences sexuelles. Le bouleversement pubertaire remet en effet les enjeux du sexuel au premier plan. Il fait circuler plus d’énergie pulsionnelle au sein du système familial et crée un contexte favorable à la réactivation des traumas sexuels parentaux non résolus. L’enfant peut alors apparaître comme une menace à l’équilibre familial et contribuer à un changement de paradigme relationnel parent/enfant. L’effet déstructurant de ces dynamiques nouvelles est d’autant plus fort lorsqu’un mécanisme d’identification à l’agresseur est à l’oeuvre car celui-ci participe à une véritable « confusion des places » auteur/victime. Dans un tel contexte, le risque d’une réactualisation du script violent est majeur. C’est sur la base de constats cliniques empiriques et de cas illustrés que l’auteur met en lumière ces enjeux psychopathologiques.

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Du bébé à l'adolescent, l'impact du traumatisme

Article de Jean Louis Le Run, Marie Laure Léandri, Marie Pierre Blondel, Myrna Gannagéet al.

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 74, 2017, pp. 6-125.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Traumatisme, Nourrisson, Adolescent, Jeune enfant, Terrorisme, Génocide, Psychisme, Névrose, Contre-transfert, Résilience, Abandon, Parentalité, Cancer, ITEP, Trouble du comportement, Psychologie du développement, Prise en charge, Agression, Abus sexuel, Mineur isolé étranger

Dans le champ de la petite enfance, de l’enfance et de l’adolescence, les circonstances traumatiques ne manquent pas. Les attentats terroristes bien sûr, mais aussi les agressions sexuelles (attentats à la pudeur), la maltraitance, le harcèlement, les séparations et les deuils sont à l’origine de traumatismes qui affectent la vie des enfants et des adolescents. De façon moins bruyante, les interactions précoces, lorsqu’elles sont chaotiques, peuvent aussi générer des microtraumatismes dommageables au développement psychique. Certains enfants ou adolescents cumulent les traumatismes : les mineurs isolés étrangers en sont un exemple édifiant, mais aussi les enfants adoptés marqués par l’abandon, les circonstances du début de leur vie ou leur statut particulier.
Du côté des prises en charge, les réponses se sont diversifiées. L’actualité récente interroge aussi l’organisation logistique des soins qui doivent répondre dans l’urgence alors qu’en temps ordinaire les services sont déjà débordés et affichent des listes d’attente. Pensons l’impensable et interrogeons théorie et pratique pour mieux répondre aux effractions du Réel sur nos patients fragiles, enfants et adolescents.

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Traumatisme et limites. Errances et ressources du corps à l'adolescence

Article de Eric Calamote

Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LX, n° 1, janvier-juin 2017, pp. 101-113.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Traumatisme, Adolescent, Puberté, Corps, Abus sexuel

À partir de deux exemples cliniques recueillis dans des dispositifs différents (cothérapie et psychothérapie individuelle), l’auteur montre comment la dynamique pubertaire peut permettre de qualifier des expériences traumatiques passées, notamment en ce qui concerne les agressions sexuelles. De la même façon, l’adolescent se saisit aussi parfois de ses expériences traumatiques antérieures pour traiter ses éprouvés actuels débordants. Des voies de partage et de symbolisation simultanées de telles expériences, pubertaires et traumatiques, peuvent donc se dégager dans le transfert. Ces voies de qualification de l’expérience se repèrent dans des manifestations corporelles et spatiales paradoxales témoignant du désastre subi comme des ressources du sujet. L’auteur souligne ainsi la complexité du processus pubertaire, à la fois source et traitement d’expériences traumatiques.

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