Documentation sociale

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Réponses 31 à 40 sur un total de 126

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Le télésuivi infirmier, une innovation en gériatrie

Article de Caroline Berbon, Maria Soto, Véronique Bezombes, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 20-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Aide technique, Dépendance, Évolution, Gériatrie, Infirmier, Innovation, Médecin, OMS, Outil, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Prise en charge, Santé, Soin, Suivi médical, Technologie numérique, Télé-alarme, Télémédecine, Vieillissement, Dispositif

Le programme de l’Organisation mondiale de la santé Integrated care for older people implique le suivi au long cours des nombreux seniors inscrits. Cela est rendu possible par le télésuivi infirmier, mais nécessite l’appropriation de nouvelles compétences par les infirmiers qui le mettent en œuvre.

Le dépistage step 1 : expérimentation en Occitanie avec les infirmiers et les pharmaciens

Article de Céline Mathieu, Cécile McCambridge, Dominique Jakovenko, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 16-19.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Adaptation, Aide technique, Autonomie, Bien-être, Dépendance, Dépistage, Étude de cas, Expérience, Expérimentation, Gériatrie, Infirmier, OMS, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Prise en charge, Sens, Soin, Suivi médical, Technologie numérique, Télémédecine, Vieillissement, Vulnérabilité, Occitanie

Le dépistage (step 1) est le mode d’entrée dans le programme Icope. Cette étape préliminaire est principalement une initiative des professionnels de santé du premier recours, présents quotidiennement auprès des seniors. En Occitanie, dans le cadre du déploiement du programme Icope, infirmiers et pharmaciens d’officine, acteurs de santé de proximité, ont été invités à inclure le step 1 dans leurs pratiques. Ils ont pu bénéficier, s‘ils le souhaitaient, d’une formation gratuite en webinaire.

Icope : pour aider les professionnels de santé à prévenir la dépendance chez les séniors

Article de Christine Lafont, Néda Tavassoli

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 12-15.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aide technique, Aptitude, Autonomie, Bien-être, Dépendance, Dépistage, Diagnostic, Évaluation, Expérimentation, Gériatrie, OMS, Outil, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Projet thérapeutique, Santé, Sens, Soin, Technologie numérique, Télémédecine, Test d'aptitude, Vieillissement, Dispositif

Le programme Icope proposé par l’Organisation mondiale de la santé pour diminuer le nombre de sujets dépendants se décline en cinq étapes réalisables dans la filière des soins primaires : dépistage, évaluation intégrée, plan de soins personnalisé, suivi du plan de soins, implication des collectivités et aide aux aidants. La population cible est celle des seniors autonomes de 60 ans et plus. Des outils numériques ont été développés pour faciliter l’évaluation et le suivi des sujets intégrés dans ce projet de soins.

Prévention de la dépendance

Article de Bruno Vellas, Christine Lafont, Caroline Berbon, Catherine Takedaet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 11-29.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aidant familial, Aide technique, Dépendance, Diagnostic, Expérimentation, Gériatrie, Infirmier, OMS, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Prise en charge, Recherche, Suivi médical, Technologie numérique, Vieillissement, Dispositif

Organisation et filières gériatriques en réponse aux besoins des SAU

Article de Cécile Torres, Mélanie Langlois, Emmanuelle Magny, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 151, septembre-octobre 2021, pp. 10-13.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Accueil d'urgence, Admission, Équipe soignante, Expertise, Gériatrie, Hospitalisation, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Santé, Suivi médical, Soin, Urgence médicale, Vieillissement

Le service d’accueil des urgences reste le mode d’accès principal des personnes âgées à l’hospitalisation. La prise en charge des aînés aux urgences est un sujet complexe. Les particularités de celle-ci et les spécificités de l’évaluation de l’état de santé des plus âgés participent aux difficultés rencontrées par les équipes soignantes. Pour la personne âgée, un passage par les urgences reste un événement médical marquant dans le parcours de soins, pouvant avoir des répercussions sur son déclin fonctionnel. La promotion de la culture gériatrique dans les services d’urgence est essentielle et peut se faire sous différentes formes, mais la collaboration entre urgentistes et gériatres reste indispensable à une prise en charge réussie et adaptée aux spécificités des patients âgés.

La médecine d'urgence de la personne âgée

Article de Tristan Cudennec, Cécile Torres, Marc Verny, Aurélie Ray Avondoet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 151, septembre-octobre 2021, pp. 9-33.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Diagnostic, Équipe soignante, Gériatrie, Hospitalisation, Infirmier, Médecine, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Santé, Soin, Traitement médical, Urgence médicale, Vieillissement

Le modèle luxembourgeois du maintien à domicile des personnes dépendantes

Article de Nicole Kerschen

Paru dans la revue Gérontologie et société, tome 2, vol. 43, n° 165, septembre 2021, pp. 245-261.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Maintien à domicile, Assurance, Sécurité sociale, Politique sociale, Autonomie, Dépendance, Vie quotidienne, Aidant familial, Reconnaissance, Soins à domicile, Pratique professionnelle, Rénovation de l'habitat, Luxembourg

Il y a plus de 20 ans, le Luxembourg s’est doté d’une assurance-dépendance « à tout âge » dont la priorité est le maintien à domicile. Cet article a pour objectif de reprendre le projet politique initial basé sur les besoins des personnes dépendantes, la professionnalisation des aides et soins et la reconnaissance des aidants. La mise en place d’une instance centralisée d’évaluation, de contrôle et de conseil a permis de garantir une prise en charge de qualité. L’article présente les différentes prestations en nature et en espèces offertes par l’assurance-dépendance, ainsi que le statut reconnu aux aidants. Les chiffres récents montrent que deux tiers des personnes dépendantes vivent à domicile. L’organisation actuelle du système de prise en charge et les caractéristiques des bénéficiaires sont abordées en dernier lieu. L’article conclut sur le système luxembourgeois comme un modèle articulant libre choix des personnes dépendantes et qualité de la prise en charge

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Représentations des médecins généralistes à propos du diagnostic des troubles cognitifs

Article de Claire Sanlaville, Cyrille Colin, Pierre Krolak Salmon, Laurent Letrilliart

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 150, juillet-août 2021, pp. 35-42.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Analyse de la pratique, Décision, Déficience cognitive, Diagnostic, Entretien, Étude de cas, Évaluation, Examen médical, Expérience, Médecine générale, Méthodologie, Personne âgée, Praticien, Pratique professionnelle, Recherche, Relation soignant-soigné, Représentation sociale, Vieillissement

Le diagnostic des troubles cognitifs représente un enjeu médical et éthique. L’objectif d’une étude qualitative par entretiens était d’explorer les représentations des médecins généralistes à propos de ce diagnostic. Les médecins généralistes sont ambivalents sur l’intérêt et la temporalité du diagnostic des troubles cognitifs, ce qui pourrait se résoudre par une décision médicale partagée à chaque étape de la démarche diagnostique.

Fin de vie : réinterroger les pratiques

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 7, juillet 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, Mort, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Personne handicapée, EHPAD, MAS, Foyer d'accueil médicalisé, Pratique professionnelle, Établissement social et médicosocial, Travailleur social, Équipe soignante, Épidémie, Projet de vie

TENIR LA MAIN DU MOURANT. Les débats politiques et de société sont souvent animés dès lors que surgissent les questions de la fin de vie, des soins palliatifs, de l'euthanasie ou du suicide assisté. Quand les résidents aspirent à finir leur existence au sein de leur établissement, pour y mourir dignement. Derrière cette formule pudique, c'est une présence, une écoute et un accompagnement à la hauteur des attentes qui sont demandés. Non un transfert vers l'hôpital. Mourir dans son lit, en conservant ses repères, entouré de ses photos, d'odeurs et de visages familiers (...). Un souhait pas toujours entendu. A l'heure où les établissements médico-sociaux se revendiquent comme des lieux de vie, ils sont nombreux à ne pas assumer qu'on y meurt aussi. Et pourtant, le vieillissement des personnes en situation de handicap ou encore l'intégration en Ehpad d'une population de plus en plus dépendante et souffrant de polypathologies font que la mort s'est invitée dans leur quotidien (...).
A QUAND UN VERITABLE LIEN ENTRE SANITAIRE ET SOCIAL ? Face à cette situation, certaines structures refusent de se saisir de la question et de structurer cet ultime accompagnement. Avec quelles conséquences ? Des résidents perdus transférés dans les tout derniers jours de leur vie, arrivant à l'hôpital pour y rendre leur dernier souffle, sans repère, alors que la Haute autorité de santé et l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux ont tout prévu grâce aux partenariats avec les équipes mobiles de soins palliatifs ou en sollicitant une hospitalisation à domicile...
PRATIQUES REINTERROGEES. Les équipes doivent plus que jamais réinterroger leurs pratiques en intégrant des projets palliatifs aux projets de vie. Malgré le manque de temps évident, des postures, des gestes et un discours tourné vers la "Validation" de Naomi Feil, ont toute leur importance pour apporter du réconfort (...).
EN FINIR AVEC LE DENI. La mort est par essence liée au parcours des résidents. Une réalité révélée par la pandémie Covid-19, période au cours de laquelle les décès se sont multipliés en EHPAD et les hospitalisations ont été plus nombreuses en FAM ou en MAS, marquant ainsi la fin du déni pour ces lieux de vie. Reste à gérer l'accompagnement psychologique des usagers et des professionnels qui n'est pas encore à la hauteur des besoins. Les conséquences de la temporalité (au moment du décès) ne sont pas prises en compte par des structures qui ne doivent pas fonctionner à perte et où une chambre vide doit rapidement trouver preneur.

La hot line gériatrique, enquête auprès des médecins généralistes du bassin stéphanois

Article de Marie Chaussinand, Bienvenu Bongue, Thomas Celarier, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 149, mai-juin 2021, pp. 40-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Analyse de la pratique, ARS, Communication, Enquête, Étude de cas, Gériatrie, Hospitalisation, Médecin, Médecine générale, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Questionnaire, Recherche, Statistiques, Téléphone, Urgence médicale, Vieillissement

Face à une population française vieillissante, la demande de soins non programmés est grandissante. Afin d’éviter d’orienter les sujets âgés vers les services d’urgence, lieux inadaptés à ces derniers, les agences régionales de santé ont créé des lignes téléphoniques, ou hot lines, dédiées à la gériatrie. Elles sont exclusivement accessibles aux médecins généralistes afin d’obtenir un conseil ou une place d’hospitalisation en service de gériatrie. Les médecins généralistes sont rarement questionnés sur l’intérêt de cet outil dans leur pratique.