Documentation sociale

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Je ne vais pas vous laisser !

Article de Christine Roy

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 60-64.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Parents, Parentalité, Mère, Burn out, Accueil, Étude de cas, Relation enfant-mère, Souffrance psychique, Écoute, Pratique professionnelle, Maison verte

A l'écoute des parents épuisés

Article de Valérie Lejart

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 54-59.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Parents, Parentalité, Souffrance psychique, Burn out, Émotion, Pratique professionnelle, Projection, Représentation sociale, Fonction contenante, Ecole des parents et des éducateurs

Etre parent, un métier impossible ...

Article de Daniel Coum

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 40-45.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Accompagnement, Éducation, Souffrance psychique, Parents, Parentalité, Représentation sociale, Responsabilité, Influence sociale, Burn out

De la parentalité fragilisée ...

Article de Gérard Neyrand

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 34-39.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Éducation, Enfant, Souffrance psychique, Évolution, Parents, Parentalité, Représentation sociale, Rôle, Burn out

Burn-out parental : quelles conséquences ?

Article de Laurie Loop, Isabelle Roskam, Moïra Mikolajczak

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 28-32.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Émotion, Burn out, Parentalité, Parents, Souffrance psychique, Relation femme-homme, Relation enfant-parents, Symptôme, Trouble du comportement, Recherche

Burn-out parental : de quoi parle-t-on ?

Article de Elsa Guillier

Paru dans la revue Santé mentale, n° 263, décembre 2021, pp. 22-27.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Parentalité, Prévention, Prise en charge, Psychisme, Symptôme, Diagnostic, Souffrance psychique, Parents, Burn out

Adolescence recluse et refus de l’altérité : le phénomène Hikikomori

Article de Nicolas Sajus

Paru dans la revue Empan, n° 124, décembre 2021, pp. 117-124.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Altérité, Famille, Isolement, Psychopathologie, Adolescent, Souffrance psychique, Lien social, Trouble du comportement, Prise en charge, Symptôme, Japon

L'hikikomori définit un syndrome de claustration volontaire chez certains adolescents. Il est décrit pour la première fois au Japon. L'approche sociale (syndrome primaire) est très contingente à une dialectique psychopathologique (syndrome secondaire). Il serait un nouvel idiome sociétal traduisant une souffrance eu égard au passage du monde de l'enfance vers celui de l'adulte. L'enjeu thérapeutique sera de restaurer un lien à l'altérité tant au plan familial qu'environnemental.

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Les pistes pour préserver la santé mentale de ses agents

Article de Solange de Fréminville

Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 37/2583, Semaine du 27 septembre au 3 octobre 2021, pp. 24-26.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Usure professionnelle, Burn out, Souffrance psychique, Fonction publique, Collectivité territoriale, Management, Ressources humaines

Intégrée au plan de santé au travail 2021-2022 dans la fonction publique au vu des effets de la crise sanitaire, la prise en compte de la santé mentale est désormais incontournable.

Le suicide des jeunes : penser l'impansable

Article de Xavier Pommereau, François Ladame, Nathalie de Kernier, et al.

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 391, octobre 2021, pp. 12-61.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Santé mentale-Souffrance psychique, Suicide, Adolescent, Jeune, Risque, Approche clinique, Mort, Symptôme, Santé mentale, Souffrance psychique

Les conduites suicidaires sont « inexplicables » au sens réducteur de causalité simple et univoque. Chaque histoire demeure singulière. Les réactions au suicide sont aussi multiples.

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Les réponses aux urgences et aux situations de crise psychiatriques

Article de Laure Zeltner, Laurent Defromont, Simon Vigne, et al.

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 3, septembre 2021, pp. 1-89.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Hôpital psychiatrique, Adolescent, Souffrance psychique, Urgence, Témoignage

Structurer une bonne organisation des urgences et des réponses à la crise en psychiatrie, c’est savoir mobiliser tous les segments de l’offre de soins favorisant une évaluation pertinente des situations, dispensant avec diligence les premiers soins intensifs adaptés puis développant les bonnes orientations et accompagnements d’aval, consolidant la sortie de crise et enclenchant le processus de rétablissement…
L’hospitalisation est souvent pertinente, mais ce n’est pas le seul segment à mobiliser pour répondre aux situations de crise et de détresse aiguë :
La création d’équipes mobiles, le plus souvent intersectorielles, permet « l’aller vers » le malade « in situ doloris », à l’image de la démarche de Lille-Métropole ou des équipes rapides d’intervention de crise (ERIC) organisées dans les Yvelines. Ces deux démarches sont détaillées dans ce numéro.
Il est par ailleurs opportun de poursuivre l’essaimage dans le milieu ouvert de deux types de structures définies dès 1986 par arrêté ministériel :
Les centres d’accueil permanents qui sont des CMP « habilités à répondre à l’urgence psychiatrique, ouverts vingt-quatre heures sur vingt-quatre, disposant notamment d’une permanence téléphonique reliée avec les organismes d’aide médicale urgente et organisant l’accueil, l’orientation et, le cas échéant, les soins d’urgence ambulatoires et à domicile nécessaires ».
Des centres de crise « qui sont des centres d’accueil permanent disposant de quelques lits permettant des prises en charge intensives et de courte durée pour répondre aux situations d’urgence et de détresse aiguës », permettent d’éviter ou de limiter des décompensations sévères et durables.
La description dans ce numéro de l’activité du centre d’accueil de la rue Garancière à Paris, tourné vers l’extérieur, répond parfaitement à la mise en œuvre in situ ces deux définitions.
On notera que ces deux formes d’accueil de la crise sont quelque peu oubliées dans la circulaire de juillet 1992 relative à la prise en charge des urgences psychiatriques.
S’agissant des situations d’urgence en direction des adolescents et jeunes adultes, nous manquons particulièrement de structures de soins intensifs et de thérapie brève qui leur soient dédiées. On trouvera ci-après comment sont accueillis les adolescents à l’hôpital Robert Ballanger en ce temps d’épidémies COVID.
Un autre segment essentiel de réponse à la crise correspond à l’implémentation de la dimension psychiatrique au sein des services polyvalents des urgences : les urgences psychiatriques représentent au moins 10% des admissions d’urgence générale des hôpitaux.
Il reste que cette proportion recouvre des situations très différentes : angoisse ou souffrance psychique intense, réaction émotionnelle et/ou agressive décuplée, agitation, évocation suicidaire, problème médical suite à l’ingestion d’alcool et/ou de drogues, état de confusion, crise de panique, délire… le traitement avec efficience de ces divers cas est exposé dans deux contributions : les interventions de psychiatrie dans un hôpital général en Ile de France, la création d’une unité de psychiatrie et de liaison (UPLI) adossée aux urgences générales d’un centre hospitalier sud francilien.
De nombreux Programmes territoriaux en santé mentale (PTSM), validés en région, intègrent dans leurs priorités une meilleure structuration des urgences en psychiatrie et la coordination des structures d’accueil d’amont et d’aval : formulons le vœu que les nouvelles contractualisations qui doivent en découler avec les acteurs concernés, débouchent sur des réalisations concrètes, accompagnées des financements adaptés.
Par ailleurs, en début de chaîne, la formation de « secouristes » en milieu ordinaire aux premiers secours en santé mentale (PSSM) nécessite une généralisation, déjà bien enclenchée avec l’appui et l’intervention de Santé Mentale Franc
Enfin, notre revue n’aurait pas été complète sans la transcription de deux témoignages bien réels d’une situation d’urgence et sans l’appréciation des associations des familles (UNAFAM) et de leur vécu en situation de crise : ces témoignages montrent parfaitement le chemin qui reste à accomplir pour améliorer l’accès à des soins diligents, articulés à des dispositifs d’aval propre à sortir de la crise.

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