Documentation sociale

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Réponses 21 à 30 sur un total de 39

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"Nous sommes un acteur à fort impact social et solidaire"

Article de Bernard Bensaid

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3057, 20 avril 2018, pp. 14-16.

Mots clés : Travail social : Établissements, EHPAD, Établissement social et médicosocial, Management, Économie sociale et solidaire

Discret mais omniprésent. Le groupe DocteGestio fait peu parler de lui mais a une stratégie de croissance forte qui l’amène à contrôler 46 établissements médico-sociaux dont 21 EHPAD. L’originalité de ce groupe atypique est d’être diversifié dans la santé, l’hôtellerie, l’immobilier et l’innovation technologique, de reprendre des établissements en difficulté pour les redresser et de faire cohabiter des structures associatives et des entreprises commerciales. Il fonde sa réussite sur les synergies entre ces différents métiers et sur le numérique. Quelles sont ses recettes, ses objectifs, son modèle économique ? Pour la première fois, le président fondateur du groupe s’explique.

Bien accompagner la nuit : un défi à relever

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 14, mars-avril 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Nuit, Travail de nuit, Établissement social et médicosocial, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Coucher, Sommeil, Trouble du sommeil, Déficience cognitive, Écoute, Équipe soignante, Besoin, Assistant de soins en gérontologie, Rythme, Management, Bientraitance, Activité, Médicament, EHPAD, Maladie d'Alzheimer, Surveillant de nuit

Pendant longtemps, dans les établissements médico-sociaux, les personnes âgées ou en situation de handicap devaient se coucher tôt, même si elles rencontraient des problèmes pour trouver le sommeil ou si elles se réveillaient à 2 heures du matin... Force est de constater que c'est encore une réalité dans de nombreuses structures où les résidents sont couchés à 20 heures... Or, avec l'avancée en âge et l'émergence de nouvelles pathologies, le besoin de sommeil se réduit inexorablement. (...)
Malgré tout, des établissements ont décidé d'apporter des réponses nouvelles, après avoir été confrontés à des problèmes chroniques de déambulation, des troubles du comportement ou du sommeil. L'émergence des troubles cognitifs en maison de retraite n'y est pas étrangère, tout comme le vieillissement des personnes en situation de handicap en FAS ou en FAM. Pour quelles solutions ? Les neuroleptiques, les contentions... certains ne s'y résolvent pas et préfèrent tester des accompagnements spécifiques. Il leur faut alors trouver des partenaires, des financements, des autorisations... Mais au bout de ce chemin semé d'embûches, c'est la qualité de vie et celle du sommeil des résidents qui sont visées. En posant un cadre plus souple, plus à l'écoute des besoins des usagers, les professionnels se sentent mieux, plus valorisés, ayant enfin des outils et des moyens pour exercer dans de meilleures conditions. C'est ainsi l'occasion d'écouter les besoins qui émergent la nuit. A l'heure où les projets personnalisés ont gagné leur place la journée dans les établissements médico-sociaux, leur déclinaison nocturne n'est pas suffisamment prise en compte... C'est aux directions de se saisir de cette problématique en apportant des réponses concrètes...

Participation et droits des usagers : quelle réalité ?

Article de Alexandra Marquet, Philippe Giafferi, Yves Cougoule, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 13, janvier-février 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Accompagnement de la personne et identité, Accompagnement, Droits des usagers, Participation, Projet d'établissement, Établissement social et médicosocial, Vulnérabilité, EHPAD, Usager, Citoyenneté, Dignité, Accueil, Bientraitance, Conseil de la vie sociale, Culture, Livret d'accueil, Règlement intérieur, Inclusion

La participation est au coeur de l'accompagnement. Tout est d'ailleurs fait pour que la participation et les droits des usagers soient mis en oeuvre au travers du projet d'établissement, du livret d'accueil, du règlement intérieur, du projet d'accueil personnalisé, du conseil de vie sociale. Les personnes vivant en établissements médico-sociaux, qu'elles soient âgées ou en situation de handicap, sont des citoyens à part entière. L'unanimité est de mise... Qui pourrait penser ou dire le contraire ? Or, force est de constater que, sur le terrain, cette participation se heurte à de nombreux freins. Ce qui n'est pas toujours facile quand les personnes ne parlent pas ou quand elles souffrent de troubles cognitifs. Le décryptage, l'écoute, l'observation, les échanges sont alors nécessaires pour justement favoriser un accompagnement basé sur la participation des personnes vulnérables. Si le secteur du handicap est depuis longtemps engagé dans cette voie, poussé par l'investissement des familles, les EHPAD accueillent de plus en plus de seniors très âgés, en perte d'autonomie, qui souffrent de poly-pathologies. Dans ces cas, la participation constitue un vrai défi... qui est toutefois surmontable comme le prouvent les initiatives menées sur le territoire. Reste que la collectivité si pesante doit et fait désormais place au Je, à l'individualité avec la volonté d'une co-élaboration, d'une coconstruction. C'est au quotidien que la participation et les droits doivent s'affirmer, soutenus par vous, professionnels, pleinement engagés dans cette politique coopérative.

Devoirs des soignants versus droits des résidents

Article de Florence Braud

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 13, janvier-février 2018, pp. 29-30.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Droits des usagers, Établissement social et médicosocial, Personne âgée, Dépendance, Foyer logement, EHPAD, Code de l'action sociale et des familles, Accompagnement, Bientraitance, Équipe soignante, Respect, Vie privée, Intimité, Projet individualisé

Le respect des droits et libertés des personnes âgées dépendantes concerne tous les lieux de vie : foyers-logements, EHPAD, Unités de soins de longue durée... Il existe sept droits fondamentaux des résidents (article L.311-3 du Code de l'action sociale et des familles) qu'il est bon de rappeler. Derrière ces droits se cache la question centrale de l'accompagnement bientraitant des soignants. Parce que c'est pour son bien... voilà un argument qu'il faut arrêter de mettre en avant. La réflexion et la prise de recul devraient être plutôt privilégiées.

Absentéisme : mieux vaut prévenir

Article de Catherine Sanson Stern

Paru dans la revue Direction(s), n° 161, février 2018, pp. 22-29.

Mots clés : Travail social : Établissements, Absentéisme professionnel, Prévention, Risques psychosociaux, Conditions de travail, Management, Santé mentale, Établissement social et médicosocial, Cadre, Reconnaissance, Autonomie, Risque professionnel, Organisation du travail, Aide à domicile, EHPAD, Durée du travail, Équipe

Indicateur de dégradation des conditions de travail et de l'état de santé des équipes, l'absentéisme est un véritable enjeu de performance des établissements et services sociaux et médico-sociaux. Un dossier dont les employeurs ont tout intérêt à se saisir résolument. D'autant que, même s'il n'existe pas de solution clé en main, les résultats sont au rendez-vous. A condition d'y associer les principaux concernés.

Au coeur du management : gestion de crise la guerre est déclarée

Article de Philippe Rollandin

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3041-3042, 12 janvier 2018, pp. 24-26.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, EHPAD, Management, Crise, Prévention, Communication, Média, Risque, Réduction des risques, SYNERPA (Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnnes âgées)

Le nombre et la nature des crises – sanitaires, systémiques, épidémiologiques, climatiques et violentes – que les établissements sont appelés à affronter vont augmenter sous le double effet de l’aggravation de l’état physique et psychique des personnes qu’ils accueillent et de la baisse de l’acceptabilité des risques dans une société en quête de sécurité totale. La préparation à la gestion de crise doit devenir la priorité n° 1 des établissements. Explications.

Evénements indésirables : instaurer une culture du signalement

Article de Nadia Graradji

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3033, 10 novembre 2017, pp. 32-33.

Mots clés : Travail social : Établissements, Démarche qualité, Signalement, Risque, Législation, Établissement social et médicosocial, EHPAD, CESAP (Comité d'études d'éducation et de soins auprès des personnes polyhandicapées)

La gestion des risques est devenue une préoccupation majeure des ESSMS. Le signalement des événements indésirables y contribue à part entière. Mais la sous-déclaration est une réalité à laquelle se heurtent encore les établissements.

Conclure un CPOM aujourd'hui

Article de Laurent Cocquebert, Karine Le Maguet

Paru dans la revue Direction(s), hors-série n° 18, juillet-août 2017, pp. 7-113.

Mots clés : Travail social : Établissements, Management, Établissement social et médicosocial, Action sociale et médicosociale, EHPAD, ARS, Législation, Partenariat, Budget, Tarification

Au cours des quinze dernières années, les contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens (CPOM) se sont développés, d'abord largement encouragés par l'administration et, depuis peu, imposés à de larges pans du secteur médico-social. Conclus pour une durée maximale de cinq ans, l'objectif de ces contrats est double : favoriser, d'une part, des relations négociées entre les organismes gestionnaires d'établissements et les pouvoirs publics et, d'autre part, responsabiliser les opérateurs. Si les premiers signataires de CPOM ont bénéficié de conditions avantageuses, la donne a changé depuis.

Tant du côté des pouvoirs publics que des organismes gestionnaires, chacun montre moins d'empressement à entamer une démarche qui se révèle souvent lourde d'investissements. Pourtant, ce contrat continue à avoir le vent en poupe, même si le contexte financier est aujourd'hui moins porteur et si sa vocation d'outil de développement de l'offre a été singulièrement amoindrie par la mise en place des procédures d'appel à projet par la loi dite "HPST" (loi portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, du 21 juillet 2009).

Par ailleurs, de nouvelles dispositions législatives font désormais obligation à l'ensemble des gestionnaires d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et petites unités de vie (PUV) ainsi qu'aux gestionnaires d'établissements et services pour personnes handicapées sous compétence exclusive ou conjointe de l'agence régionale de santé (ARS) de conclure un CPOM d'ici cinq ou six ans, le contrat devenant le vecteur d'une procédure de tarification dite "à la ressource".

D'outil de dialogue entre deux partenaires sur un relatif pied d'égalité car sans obligation de conclure, le CPOM devient donc très clairement le vecteur d'une régulation et d'une convergence budgétaire systématiques ne laissant qu'une part très probablement fort congrue au dialogue et à la prise en compte des particularités des établissements et services. Alors que se mettent en place ces réformes capitales, ce hors-série a pour objectif de vous éclairer dans chaque étape de cette négociation, souhaitée ou contrainte. Car si le CPOM présente d'indéniables opportunités, l'aventure comporte des risques qu'il est impératif de connaître et de mesurer avant de se lancer.

A tout âge, écologistes et solidaires !

Article de Rachel Le Méhauté

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 9, mai-juin 2017, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Établissements, Personne âgée, Vieillissement, Animation sociale, EHPAD, Développement durable, Intergénérationnel, Citoyenneté, Pratique professionnelle, Établissement social et médicosocial, Activité

A priori, les personnes très âgées vivant en institution ne semblent guère concernées par le développement durable et déplorent leur impossibilité à agir. Pourtant, les anciens sont sensibles à la pollution ou à l'épuisement des ressources... Face aux multiples alertes médiatiques, ils s'inquiètent du monde qu'ils vont "laisser" aux jeunes générations. Comment alors rendre aux aînés leur place de citoyens actifs ? Quelles actions mener et comment les intégrer aux pratiques de développement durable ?

Penser développement durable à la fin de sa vie ?

Article de Véronique Gerbelot, Yves Cougoule

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 9, mai-juin 2017, 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Établissements, Développement durable, Fin de vie, Personne âgée, EHPAD, Vieillissement, Rôle social, Animation sociale, Établissement social et médicosocial

Les incitations à de nouveaux comportements de consommation sont très présentes dans tous les domaines de la vie quotidienne. Il est donc logique que cette question se pose dans les structures d’hébergement. Mais peut-on aborder la question du développement durable avec les résidents d’un EHPAD ? N’y a-t-il pas un réel paradoxe à envisager la durabilité avec des personnes en fin de vie et qui en sont totalement conscientes ? Evidemment que non puisque tout projet donne espoir et redonne un rôle social aux personnes âgées.