Documentation sociale

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Les fêtes calendaires : quelle importance dans l'accompagnement ?

Article de Charline Vinet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 25, avril-juin 2017, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Fête, Accompagnement, Personne âgée, Vieillissement, Lien social, Temps, Rythme, Projet d'établissement, Animation, Équipe pluridisciplinaire, Famille, Convivialité, Bénévolat, Pratique professionnelle, ANESM (Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux)

Les recommandations des bonnes pratiques professionnelles de l'Anesm (volet 3) identifient les fêtes calendaires et traditionnelles comme des supports indispensables à la vie sociale du résident en lui offrant ainsi la possibilité de maintenir ou de renouer ses relations sociales antérieures et d'en créer d'autres, tant au sein de l'établissement qu'à l'extérieur. L'organisation de ces temps forts repose sur un choix de critères précis, résultant des besoins des résidents, sachant que 80 % d'entre eux souffrent désormais de troubles cognitifs en Ehpad.

La maladie, de la méthode

Article de Philippe Giafferi

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 25, avril-juin 2017, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Formation, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Maladie, Méthode, Accompagnement, Soin, Accueil, Formation, Aidant familial, Équipe soignante, EHPAD, Maintien à domicile

Dans le cadre de l'accompagnement des maladies dégénérescentes, en particulier celle de la maladie d'Alzheimer, une lecture spécifique est quasi indispensable, car il faut avoir une vision plus large, qui englobe, au-delà des soins classiques, d'une part, la perte d'autonomie, les symptômes, comportements, troubles et attitudes qu'elle engendre et, d'autre part, la place de l'aidant. Parce que le soignant doit comprendre et reconnaître celui qui est en face de lui, en amont de toute prestation, qu'elle ait lieu au domicile ou en Ehpad.

Toucher autrement pour mieux accompagner

Article de Alexandra Marquet, Capucine Ludwig, Aude Dagonneau, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 25, avril-juin 2017, pp. 11-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Métiers, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Toucher, Accompagnement, Équipe soignante, Pratique professionnelle, Consentement, Soin, Soins corporels, Corps, Respect, Psychomotricité, Relation, Déficience cognitive, Art-thérapie, Vulnérabilité, Dépendance

Le toucher fait partie du quotidien des soignants et des personnes souffrant de troubles cognitifs : dès le matin lors de la toilette, puis lorsqu'il s'agit de les accompagner d'une pièce à l'autre ou encore de les aider au cours des repas. Pendant longtemps, ce toucher enseigné était avant tout technique. Mais le changement des cultures et des pratiques professionnelles a permis de voir émerger un toucher relationnel. L'objectif est de rassurer les personnes vulnérables en établissant un contact avec la volonté d'atténuer les troubles du comportement. Que ce soit à domicile ou en institution, la règle est la même : observer la personne avant de poser ses mains sur son corps, associer le regard au toucher mais toujours, au préalable, décrypter les codes pour savoir si consentement il y a.

Comment soutenir les aidants familiaux

Article de Judith Mollard Palacios, Lucie Bordeau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 24, janvier-mars 2017, pp. 9-10.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Personne âgée, Aidant familial, Accompagnement, Soutien psychologique, Isolement, Culpabilité, Fatigue, Repos, Santé, France Alzheimer et maladies apparentées

Dans l'accompagnement des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée, les aidants familiaux ont un rôle primordial qui commence à être reconnu. Leur travail, complémentaire à celui des professionnels, engendre des satisfactions dans la relation proche avec l'aidé, mais peut également avoir des effets délétères sur leur santé physique et psychique. Outre la prévention de l'épuisement, les interventions de soutien aux aidants doivent aussi leur permettre de valoriser leurs compétences et de répondre à leurs besoins (écoute, échanges, information, répit, lien social...).

Entre Cure et Care, nouvelles approches pour des postures professionnelles adaptées

Article de Frédérique Lucet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 23, octobre-décembre 2016, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Pratique professionnelle, Écoute, Accompagnement, Dépendance, Éthique, Relation soignant-soigné, Relation d'aide, Personne âgée, Soin, Care, Posture professionnelle, Vulnérabilité

De nouvelles approches, émergentes et complémentaires, redessinent nos posture professionnelles dans le sens de relations moins asymétriques, d'une plus grande écoute des personnes accompagnées et de leur point de vue. En portant attention à leur expérience, elles soulignent l'importance et la valeur du travail de Care, complémentaire du Cure, ainsi que l'engagement et les compétences de ceux qui l'exercent : une portée éthique et politique.

Identifier les besoins pour une meilleure adaptabilité

Article de Cécile Aguesse, Magaly Hilaire

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 23, octobre-décembre 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Besoin, Grille d'analyse, Qualité, Évaluation, Accompagnement, Henderson (Virginia)

Dans le domaine de la prise en soins, l'identification des besoins de la personne est l'essence même de l'adaptabilité, ce, afin de promouvoir un accompagnement de qualité. Afin d'atteindre cet objectif qualitatif, Virginia Henderson a conçu un outil de travail destiné aux professionnels de l'accompagnement, qu'ils exercent au domicile ou bien en institution. Cette grille, constituée de différents items, permet à l'accompagnant de répertorier les besoins non encore satisfaits après les avoir identifiés pour bâtir conjointement un véritable projet d'accompagnement individualisé.

Le goût... de vivre ?

Article de Cécile Bacchini

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 10-11.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Maladie d'Alzheimer, Cuisine, Atelier, Animation sociale, Stimulation, Mémoire

Dans la terminologie soignante, le repas est dit "thérapeutique" s'il a pour objectifs de répondre aux besoins nutritionnels de la personne, de favoriser son appétit et de mettre en place les conditions humaines, matérielles et techniques optimisant son autonomie. Au sein de l'accueil de jour pour personnes malades d'Alzheimer où j'exerce, le repas met l'accent sur le partage d'un temps entre les personnes accueillies et les soignants se restaurant eux-mêmes tout en accompagnant. L'alimentation s'inscrit ici à la base et aux fondements de tout acte d'accompagnement.

L'alimentation au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet, Cécile Bacchini, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 9-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Cuisine, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, Plaisir, Aidant familial, Équipe soignante, Autonomie, EHPAD, Goût

Aujourd'hui dans les institutions, le plaisir de manger doit être une priorité pour tous. La loi de 2002 mais aussi le Conseil national de l'alimentation rappellent que l'alimentation doit être compatible avec les attentes des personnes qui y vivent, ce qui signifie que le projet de restauration doit comporter deux éléments essentiels : le désir et le plaisir. Ce plaisir de manger, que ce soit à domicile ou en établissement, doit être au cœur de l'accompagnement. C'est d'ailleurs l'enjeu face à des personnes vieillissantes, sujettes aux troubles de déglutition, aux modifications du comportement à table, aux déambulations, à une satiété rapide et durable, à une anorexie ou à des usures qui conduisent à un risque élevé de dénutrition et au syndrome de glissement.
Pour justement redonner l'envie aux personnes âgées, les aidants qu'ils soient professionnels ou familiaux ont un rôle important à jouer. Les repas ne doivent pas se limiter à des aliments, sans goût, ni texture. L'enjeu est de redonner sa place à la personne, son rôle en l'associant et en favorisant son autonomie... C'est aussi pour ces raisons que de plus en plus d'établissements misent sur des ateliers culinaires et sur des repas thérapeutiques avec la volonté de créer une ambiance chaleureuse porteuse d'échanges... Face aux situations multiples, les professionnels doivent toujours observer pour identifier le problème, trouver la solution adaptée et ensuite personnaliser l'accompagnement et donc le repas.

Dénutrition et syndrome de glissement

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 12-13.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Trouble du comportement alimentaire, Fin de vie, Symptôme, Prévention

La prise en soins d'une personne âgée présentant un syndrome de glissement relève autant d'une réflexion éthique que d'une stratégie de lutte contre la dénutrition. La mise en place d'un projet d'accompagnement personnalisé est un outil de prévention de l'apparition de ce syndrome. Il convient néanmoins de pouvoir réfléchir sur la façon dont nous acceptons que les personnes que nous accompagnons s'approprient leur fin de vie. Le refus alimentaire est souvent une façon de nous signifier que la personne souhaite se retirer de ce monde.

Les fausses routes : que faire avant, pendant et après ?

Article de Maylis Baylé

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Accompagnement, Équipe soignante, Soin, Prévention, Risque, Symptôme, Trouble du comportement alimentaire

La prise en charge des fausses routes auprès de la population gériatrique est un besoin récurrent en raison de leur sensibilité à ce problème. En tant que soignant, nous nous devons d'être attentifs car notre rôle est prédominant. La prévention ne doit pas être négligée. En adoptant les bons gestes et en prenant en compte l'environnement, les risques peuvent être clairement diminués. Reste à sensibiliser l'ensemble des équipes car une fausse route ne se manifeste pas uniquement par une toux. D'où l'intérêt de connaître les différents symptômes.