Article de Manuel BOUCHER
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 30-31, octobre 2012, pp. 235-242.
Mots clés : Organisme de formation, Université, Partenariat, Formation supérieure, Travail social, Formation, Travailleur social
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Article de Ana Paula LEVIVIER, Catherine TOURRILHES
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 30-31, octobre 2012, pp. 243-253.
Mots clés : Recherche-action, Pédagogie, Expérimentation, Formation, Travailleur social
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Article de Kristel DRIESSENS
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 25, pp. 91-105.
Mots clés : Pauvreté, Usager, Travailleur social, Relation travailleur social-usager, Rôle, Biographie, Perception, Dépendance
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Article de Guido CUYVERS
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 25, pp. 107-121.
Mots clés : Développement, Partenariat, Recherche sociale, Formation, Travailleur social, TRAVAIL DE TERRAIN
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Article de Thierry MICHALOT
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 1, pp. 109-122.
Mots clés : Alcoolisme, CHRS, Addiction, Usager, Sélection, Entretien, Admission, Travailleur social, Représentation sociale, SENTENSE, STEREOTYPE, RHONE ALPES
Face à un nombre important de demandes d'hébergement en C.H.R.S, les travailleurs sociaux se voient dans l'obligation de sélectionner le public. Cette recherche se fonde sur la théorie fonctionnelle de la cognition initiée par Anderson (1981, 1996). Elle a été menée dans la région Rhône-Alpes auprès de quarante travailleurs sociaux qui réalisent des entretiens en vue d'une admission en C.H.R.S. Les résultats montrent qu'une alcoolisation apparente le jour de l'entretien réduit considérablement les chances d'être admis en C.H.R.S. d'insertion. De fait, ils suggèrent que, face à une mise en concurrence des demandeurs, les travailleurs sociaux tendent à réaliser leurs jugements sur la base des stéréotypes du « bon pauvre » et du « mauvais pauvre » comme l'avait mis en relief Geremek (1987).
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Article de José PINILLA
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 19, pp. 105-112.
Mots clés : Travail social, Travailleur social, Temps, Innovation, Influence sociale, Système, Enfermement, Action collective
Au fil de mes vingt-cinq ans de vie professionnelle dans le travail social, à la fois dans le milieu associatif et le secteur public, j'ai observé certaines dérives dans les pratiques et les comportements de certains professionnels. Une manière de s'installer dans une certaine forme de routine peu compatible avec la souplesse relationnelle et cognitive nécessaire dans cette profession de l'humain. Une de mes étudiantes écrivait dans son mémoire : « A force de remplir les papiers on "fonctionne" et on a tendance à oublier le côté humain du travail social. » Sur base d'une approche empirique, j'ai été amené à déterminer trois formes spécifiques de syndrome : le glandeur, le technocrate, et le couillon. Sans oublier de situer l'acteur dans le système auquel il participe.