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Article de Jan Chrusciel, Aude Letty, Stéphane Sanchez, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 12-14.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Animal, Autonomie, Bien-être, Démence sénile, Dépendance, EHPAD, Étude de cas, Isolement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Prise en charge, Psychothérapie, Qualité de la vie, Robot, Vieillissement, Zoothérapie
Les interventions assistées par l’animal ont pour finalité le bien-être des personnes. L’objectif est de faire le point sur les études concernant cette pratique dans la population des anciens vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La thérapie assistée par l’animal, utilisable par un personnel préalablement formé, pourrait être un outil adapté à la personne âgée institutionnalisée souffrant de solitude.
Le vécu psychique de la maladie et de l’hospitalisation chez des enfants originaires de l’étranger est exploré au travers de deux vignettes cliniques, celles de jeunes patients souffrant de pathologies chroniques graves et contraints de quitter leur pays pour être soignés en France. Certains impacts psychiques spécifiques de cette expérience sont illustrés par leur histoire. Ils permettent d’ouvrir des pistes pour adapter la prise en charge hospitalière afin de limiter la double répercussion traumatique de leur pathologie et de la séparation.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3100, 1er mars 2019, pp. 28-32.
Mots clés : Lien social-Précarité, Milieu rural, Action sociale, Adulte en difficulté, Isolement, Logement, Accompagnement, Prise en charge, Besoin
Depuis l’été 2017, un camping-car vient à la rescousse des personnes en difficulté dans les zones rurales. Trois travailleurs sociaux les écoutent, les orientent et les accompagnent, si nécessaire, dans leurs démarches. Une béquille indispensable dans une région où la pauvreté augmente.
Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 246, décembre 2018, pp. 15-31.
Mots clés : Santé-Santé publique, Détention, Détenu, Dignité, Éducation à la santé, Hospitalisation, Isolement, Prévention, Prison, Risque, Soin, Suicide, Vieillissement, Prise en charge, Besoin, Infirmier, Rôle
Réponses sanitaires proposées aux personnes incarcérées. L'infirmière, en première ligne
de la demande de soins en milieu carcéral. Les détenus âgés et pathologiques : un nouvel enjeu sanitaire et pénitentiaire. Les UHSI dans le dispositif de soins somatiques aux détenus. Quel parcours de soins pour un patient détenu en chirurgie ambulatoire ? Prendre en charge et prévenir le risque suicidaire du patient détenu. La supervision, un atout pour nourrir la fonction soignante en univers carcéral.
Agir contre les violences faites aux femmes : une politique publique récente. Une approche interprofessionnelle pour aider les femmes victimes de violences. Parcours d'une femme victime de violences en unité médico-judiciaire. Le harcèlement , un risque pour les professionnelles de santé. Prévenir la récidive chez les auteurs de violence. Repérer les violences conjugales à l’hôpital
Article de Corinne Gueugnon, Anne Lise Poulat, Dorothée Ville, et al.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 319, août-septembre 2018, pp. 11-28.
Mots clés : Santé-Santé publique, Petite enfance-Périnatalité, Épilepsie, Enfant malade, Maladie chronique, Neurologie, Isolement, Éducation à la santé, Prévention, Prise en charge, Traitement médical, Sieste, Diagnostic, Famille, Fratrie, Crèche, Projet individualisé, Accompagnement
L'épilepsie est la deuxième pathologie neurologique en France, après la migraine. Cette maladie chronique reste cependant méconnue car elle prend de nombreuses formes. L'épilepsie vient perturber l'organisation familiale avec des crises souvent imprévisibles. Il est difficile pour les parents de confier leur enfant, ce qui entraîne un isolement social. L'éducation thérapeutique les aide en permettant à l'enfant et à sa famille de vivre le plus possible "comme tout le monde" en ajustant les contraintes que l'épilepsie impose. Les protocoles d'accueil individualisés doivent être travaillés en amont avec les professionnels qui accompagnent l'enfant afin que sa prise en charge soit la plus sécurisante pour lui et sa famille.
Livre de Claire Mestre, Estelle Gioan, Bérénice Quattoni, et al. et al., édité par Erès, publié en 2018.
Mots clés : Immigration-Interculturalité, Petite enfance-Périnatalité, Femme, Exil, Mère, Parentalité, Maternité, Migration, Vulnérabilité, Précarité, Insécurité, Isolement, Traumatisme, Souffrance, Prise en charge, Psychothérapie, Interculturel, Ethnopsychiatrie
Les migrations ont évolué, elles concernent aujourd’hui de nombreuses femmes jeunes qui deviennent mères en exil de façon très périlleuse. Les conditions d’accueil en France s’étant durcies, les vulnérabilités se cumulent et se potentialisent, engendrant la précarité, l’exclusion, voire la violence.
Les femmes exilées n’ont pas de « pathologies » particulières, mais elles expriment leurs souffrances de façon parfois singulière. Le travail psychique de la grossesse et de l’enfantement peut être entravé, bouleversé par la solitude, le traumatisme, et les conditions de vie.
Avec des références ethnopsychiatriques et des concepts pluriels (médicaux, psychologiques, anthropologiques, philosophiques), les auteures rendent compte d’une expérience clinique innovante auprès de femmes qui enfantent en exil. A l’articulation du psychique, du culturel et du politique, elles nous livrent une réflexion profonde et sensible sur les conditions nécessaires pour accueillir et écouter ici les souffrances de ces mères venues d’ailleurs.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3046, 2 février 2018, pp. 24-28.
Mots clés : Lien social-Précarité, Homosexualité, Discrimination, Exclusion sociale, Précarité, Accueil de jour, Hébergement temporaire, Prévention, Isolement, Accompagnement social, Soutien psychologique, Insertion sociale, Contrat, Prise en charge, Autonomie, Association Refuge, Montpellier
Victimes d’homophobie, parfois rejetés par leur famille à cause d’une orientation sexuelle qu’ils n’assument pas toujours eux-mêmes, de nombreux jeunes homosexuels prennent le dangereux chemin de la précarité et de la marginalisation, qui les mène parfois jusqu’à la rue. A Montpellier, depuis 2003, une association les recueille, les aide à se réinsérer et, surtout, à retrouver confiance en eux.
Paru dans la revue Les Cahiers de Rhizome, n° 59, mars 2016, 86 p..
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Adolescent, Prise en charge, Accompagnement, PJJ, Souffrance psychique, Isolement, Mineur isolé, Psychiatrie, Scolarisation
Ce numéro 59 des Cahiers de Rhizome est consacré à la prise en charge des adolescents dits "difficiles". Apparue dans les années 1960 dans le champ de l’aide sociale à l’enfance, cette catégorie s’est élargie sous la plume de psys critiques intervenant dans des institutions du travail social à la fin des années 1970, avant de s’imposer comme problème public dans les années 1980-1990, au croisement de deux préoccupations : une approche sécuritaire centrée sur les comportements transgressifs voir violents, et une perspective de santé mentale attentive aux carences et/ou aux souffrances des jeunes. La prise en charge délicate de ces jeunes en "grande difficulté" est au cœur de nos recherches depuis quelques années. Elle recouvre une grande diversité de situations : "jeunes vulnérables", "en errance", "en danger", "isolés", "précaires", "déviants", "incasables", "mineurs isolés étrangers(MIE)", "jeunes en rupture" et/ou "en souffrance", "en risque de marginalisation", ou plus récemment "radicalisés", etc. Nous n’avons pas à privilégier l’une ou l’autre de ces acceptions, car toutes sont traversées par une même préoccupation: comment prendre en charge des adolescents "sans solution de prise en charge" ? Comment les accompagner dans la durée, alors qu’ils sont "trimballés" entre les institutions scolaires, du travail social, de l’insertion et du médico-social, de la justice pour mineurs ou de la pédopsychiatrie ? Comment s’en préoccuper réellement alors qu’ils peuvent se trouver "bloqués" dans des établissements inadaptés ?