Ombline, condamnée à trois ans de prison pour agression, donne naissance à un petit garçon. La loi lui permettant de l'élever les 18 premiers mois, elle va se battre pour le garder auprès d'elle et convaincre le juge qu'elle peut en assumer la garde à sa sortie de prison.
Dans cet univers sombre, le combat d'une femme qui va se reconstruire en se battant pour son enfant… Un premier film sur un sujet fort pour ce portrait de femme en plein révolution… (Source : présentation éditeur)

"Une liberté sous contrôle" nous plonge au cœur du Service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) de Dijon. Il dévoile le quotidien de trois conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation (CPIP). Leur travail consiste à faire respecter un suivi d’obligations judiciaires décidé par un magistrat à des condamnés ayant à effectuer leur peine avec mise à l’épreuve. L’enjeu majeur des CPIP est d’accompagner la réflexion du condamné autour du passage à l’acte pour en comprendre les moteurs.Entre succès et échecs, prise de conscience et dénis, colère et joie, le sentiment d’être allé au bout de leurs limites humaine et professionnelle apparaît. Au-delà du cadre de cette mission, le film interroge la responsabilité laisse entrevoir la puissance et la fragilité du lien créé pour adoucir l’avenir de tous.

Yassine a 10 ans lorsque le Maroc émerge à peine des années de plomb. Sa mère, Yemma, dirige comme elle peut toute la famille. Un père dépressif, un frère à l'armée, un autre presque autiste et un troisième, Hamid, petit caïd du quartier et protecteur de Yachine. Quand Hamid est emprisonné, Yachine enchaîne les petits boulots. Pour les sortir de ce marasme où règnent violence, misère et drogue, Hamid, une fois libéré et devenu islamiste radical pendant son incarcération, persuade Yachine et ses copains de rejoindre leurs "frères". L'Imam Abou Zoubeir, chef spirituel, entame alors avec eux une longue préparation physique et mentale. Un jour, il leur annonce qu'ils ont été choisis pour devenir des martyrs...

Tensions, menaces, insultes ou mépris, la violence verbale se ressent trop souvent : dans la rue, au travail, dans le cadre scolaire, en famille, dans les lieux publics ou institutionnels, elle malmène et fragilise les relations. Ce double DVD permet d’analyser, à travers seize saynètes inspirées du quotidien et les propos croisés de nombreux experts, ses déclencheurs, ses différentes étapes et ses caractéristiques linguistiques, sociologiques et psychologiques (DVD 1 Comprendre). Il présente aussi des actions de prévention, de formation et de médiation pour la prévenir et la déjouer (DVD 2 Agir). Utile aux professionnels de l’éducation et de la formation, aux responsables institutionnels, l'ensemble est constitué d'une centaine de modules exploitables directement pour la formation et la documentation personnelle.

Le CGLPL (Contrôle Général des Lieux de Privation de Liberté) a accepté qu’une équipe de tournage le suive dans son travail essentiel de contrôle des droits fondamentaux dans les prisons, hôpitaux psychiatriques, commissariats…La réalisatrice a suivi une quinzaine de contrôleurs. Leurs lieux de mission : la maison d’arrêt de femmes de Versailles, l’hôpital psychiatrique d’Évreux, la centrale de l’Île de Ré, et enfin la toute nouvelle prison de Bourg-en-Bresse. Pendant ces quelques semaines d’immersion à leurs côtés au cœur des quartiers disciplinaires, dans les cours de promenade des prisons ou dans le secret des chambres d’isolement, un voile se lève sur l’enfermement et la réalité des droits fondamentaux en ces lieux. En compléments : "Avec mon p'tit bouquet" court-métrage, Entretien de Stéphane Mercurio par Laurent Jacqua, Stéphane Mercurio et jean-marie Delarue dans "L'humeur vagabonde" sur France Inter.

Sortir de prison, être libre, enfin ! Un soulagement, mais surtout, une angoisse énorme. Pour préparer leur réinsertion, des détenus en fin de peine sont accueillis au sein de familles bénévoles pendant leurs permissions. Des foyers comme tous les autres, qui font le choix d'ouvrir leur porte à des prisonniers. Une démarche unique en France. Les histoires de Bernard, Michel et Albert, leurs difficultés à sortir de ces murs, et surtout l'espoir d'une réinsertion épaulée par des familles et des éducateurs, qui ne les jugent pas.

Moscou, de nos jours. 12 hommes que tout sépare doivent décider unanimement du destin d'un jeune tchétchène accusé du meurtre de son père adoptif, un officier russe. Tour à tour, chacun des jurés prend la parole pour s'imposer, peser les faits, et finalement se révéler tandis que l'accusé attend son verdict en retraçant son parcours durant la guerre.
En transposant l'intrigue du classique 12 hommes en colère dans le cadre russe, le réalisateur de Soleil trompeur et du Barbier de Sibérie démontre l'universalité des thèmes de la justice et du destin, et nous offre une fresque haletante. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

En complément : rencontre avec Nikita Mikhalkov au Forum des images dans le cadre du festival Un état du monde et du cinéma (19'), bande-annonce du film.

Dans la petite maison de l'association Ti-Tomm, accolée au mur de la prison des hommes à Rennes, des femmes, des familles attendent l'heure du parloir où en reviennent. Les familles arrivent à l'avance, majoritairement des femmes, échangent entre elles et se confient en attendant l'heure. On suit l'épreuve des proches qui subissent l'incarcération au quotidien, de leur côté. Elles confient leur vécu, leurs histoires d'emprisonnement, les incompréhensions et leur souffrance face aux questions et aux décisions administratives. En bonus, un film documentaire "Envie de justice" : une avocate donne des consultations juridiques gratuites à la mairie de Bondy.

6 mois d'enquête, 2 ans de tournage, quatre films réalisés dans l'Oise, sur le bassin creillois, où tous les indicateurs de la violence clignotent. 2 DVD qui comprennent 4 films documentaires : "Enfants en déroute", "Le Business des chéquiers volés", "Au tribunal pour enfants", "Les mauvais garçons". L'essentiel de l'émission "mots croisés" : violences ordinaires, comment lutter ?

L'histoire de Marguerite, pupille de l'Education surveillée, à Cadillac, en Gironde… En 1945, intervient une réforme concernant l'enfermement des mineurs. En 1950, Marguerite se suicide… Cet événement provoque la fermeture de la dernière maison de correction pour filles…