Documentation sociale

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Du bon usage des dys

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 71, 2016, pp. 4-149.

Mots clés : Enfance-Famille, Ecole-Enseignement, Dyslexie, Dysorthographie, Symptôme, Dyspraxie, Trouble du langage, Approche cognitive, Psychiatrie infantile, Psychomotricité, Mathématiques, Dyscalculie, Scolarité, SESSAD, Dysphasie, Prise en charge, Lecture, Difficulté scolaire, Biographie, Parents

Alors qu’ils sont déjà remplacés par la dénomination « troubles spécifiques des apprentissages », ces dernières années les dys ont fait florès : dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie, etc. Quelles réalités cliniques, quelles conceptions théoriques se cachent derrière ces vocables qui donnent lieu à une inflation des demandes, à des parcours de soins compliqués et à une lecture souvent réductrice des difficultés constatées ? Tandis que les recherches cognitivistes se développent, peut-on considérer que les approches plus traditionnelles comme la psychanalyse sont obsolètes? Comment pouvons-nous intégrer les apports de la biologie du cerveau et des sciences cognitives sans renier la dimension historique et environnementale, dont nous avons appris à quel point elle était importante dans le développement et le déterminisme ou le renforcement des troubles chez l’enfant ? Allons-nous vers de nouvelles conceptualisations et de nouvelles pratiques ? Ce numéro rend compte de prises en charges diverses : du côté du soin, de la pédagogie, de l’accompagnement des parents et par les parents. Et des découvertes scientifiques et humaines, que permet la rencontre avec un enfant entravé dans ses apprentissages.

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Même pas peur ? Les phobies de l'enfant et de l'adolescent

Article de Jean-Pierre Benoit, Annie Birraux, Ana Moscoso, Hélène Denis

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 65, janvier-mars 2015, pp. 5-134.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Enfance-Famille, Petite enfance-Périnatalité, Phobie, Enfant, Adolescent, Peur, Émotion, Image mentale, Anxiété, Scolarité, Prise en charge, Périnatalité, Trouble du comportement, Femme

Peur du noir, des fantômes et autres monstres qui peuplent la nuit, peur de se faire mordre par le chien ou piquer par l’abeille, ou encore peur du cheval qui tombe, comme le petit Hans le plus célèbre phobique… Autant de peurs nécessaires, passagères, qui émaillent et soutiennent la vie de l’enfant et sa construction psychique. Mais lorsque la phobie se constitue en symptôme, elle est le signe d’une souffrance psychique qui freine le sujet dans sa vie relationnelle et sociale et doit être prise au sérieux. Que recouvre finalement le symptôme phobique, univoque dans sa forme, mais sous-tendu par de multiples causes ? Quelles en sont les prémisses ? Comment le traiter ? Ce numéro permettra d’affiner le concept et d’en mesurer les causes et les conséquences pour une meilleure prise en charge, du bébé à l’adolescent.

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Même pas peur ? Les phobies de l'enfant et de l'adolescent

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 65, janvier 2015, pp. 4-134.

Mots clés : Phobie, Adolescent, Enfant, École, Collège, Séparation, Anxiété, Jeune enfant, Émotion, Peur, Famille, Affectivité, Réel, Jeu vidéo, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Thérapie, Approche cognitive, Prise en charge, Psychothérapie, Périnatalité, Mère, Manie

Peur du noir, des fantômes et autres monstres qui peuplent la nuit, peur de se faire mordre par le chien ou piquer par l'abeille, ou encore peur du cheval qui tombe, comme le petit Hans le plus célèbre phobique_ Autant de peurs nécessaires, passagères, qui émaillent et soutiennent la vie de l'enfant et sa construction psychique. Mais lorsque la phobie se constitue en symptôme, elle est le signe d'une souffrance psychique qui freine le sujet dans sa vie relationnelle et sociale et doit être prise au sérieux. Que recouvre finalement le symptôme phobique, univoque dans sa forme, mais sous-tendu par de multiples causes ? Quelles en sont les prémisses ? Comment le traiter ? Ce numéro permettra d'affiner le concept et d'en mesurer les causes et les conséquences pour une meilleure prise en charge, du bébé à l'adolescent.

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Le syndrome de Hikikomori des jeunes japonais : syndrome - posture ou imposture ?

Article de Jean Pierre Benoit

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 65, janvier 2015, pp. 74-84.

Mots clés : Phobie, Peur, Internet, Prise en charge, Adolescent, École, JAPON

Une forme de retrait social sévère des adolescents et des jeunes adultes a récemment été décrite au Japon et qualifiée de syndrome de Hikikomori. Le diagnostic et les déterminants socioculturels ont été discutés, entre syndrome psychiatrique et posture sociale, au point de penser qu'il pourrait s'agir d'un syndrome culturellement conforme. Néanmoins, il pourrait être considéré comme une étape développementale. Le retrait social semble de plus en plus fréquent en clinique et les équipes mobiles de psychiatrie pourraient avoir un rôle à jouer pour évaluer les difficultés des adolescents cloîtrés à leur domicile.

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"MP3" : un exemple de prise en charge psychologique en groupe à médiation d'adolescents atteints de drépanocytose hospitalisés en centre de soins-études - La Fondation et le CMPA (Centre médical et pédagogique pour adolescents)

Article de Graziella Gilormini, Marine Cormont

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 65, janvier 2015, pp. 135-144.

Mots clés : Prise en charge, Adolescent, Maladie, Groupe, Hospitalisation

Les établissements soins-études permettent à des jeunes malades de bénéficier de soins médicaux tout en leur donnant la possibilité de poursuivre efficacement leur scolarité. Le service de Médecine de l'Adolescent du cmpa de Neufmoutiers-en-Brie accueille des adolescents atteints de pathologies chroniques dont l'adressage est réalisé par les centres hospitaliers qui les prennent en charge depuis la découverte de la maladie. L'indication est le plus souvent motivée par la non-compliance du patient au traitement mais recouvre généralement des difficultés psychologiques, sociales, familiales complexes. Quelle prise en charge psychologique en centre de soins-études pour ces adolescents ? Les entretiens individuels menés avec ces patients ont montré leurs limites et nous ont amené à penser une prise en charge en groupe avec médiation

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