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La souffrance psychosociale est devenue une préoccupation publique à partir des années 1980, d’abord définie dans le cadre de l’émergence des problématiques de l’exclusion. Depuis quelques années, la diffusion de la préoccupation pour ce type de souffrance s’est développée sur un ensemble varié de scènes sociales dont celles des politiques de la ville, de la psychiatrie, du travail, de l’école… À partir d’une recherche action basée sur la méthode d’analyse en groupe d’acteurs et d’un diagnostic réalisé pour la mise en œuvre d’un atelier santé ville sur un territoire de relégation sociale de Toulouse, l’article fait un point sur les problèmes rencontrés par les intervenants sociaux pour prendre en charge des souffrances qui relèvent moins de la psychiatrie que de l’articulation des interventions sociales.
Paru dans la revue Dialogue, n° 212, juin 2016, pp. 25-38.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Sadisme, Couple, Interaction, Rapport sexuel, Violence, Souffrance psychique, Névrose, Sexualité, Agressivité
La chambre à coucher des couples ordinaires ne relevant aucunement de la justice est souvent le théâtre d’une cruauté qui peut se manifester de manière subtile ou brutale. Mieux appréhender la violence sexuelle implique d’en approfondir les origines et la fonction. Les exemples cliniques montrent jusqu’où peut aller ce type de violence. Celle-ci demeure souvent cachée mais est source de grande souffrance. L’auteur souligne l’interaction des partenaires dans ces passages à l’acte. Il envisage une typologie des sadismes sexuels névrotiques.
Dans une situation de souffrance psychique, le soignant peut-il se risquer à l'humour sans mettre en péril l'alliance thérapeutique ? Quelles fonctions cette "forme d'esprit" joue-t-elle dans l’interaction avec le patient ? Si l'humour comporte des risques, il permet aussi de détendre l'atmosphère, de surprendre, de réinterpréter, de désamorcer des tensions et peut se révéler un précieux médiateur thérapeutique.
Catastrophes naturelles, attentats, massacres, guerres, violences sexuelles... génèrent un nombre incalculable de psychotraumatismes. Au-delà du contexte actuel, comment penser le traumatisme psychique ? Face au réel de la mort, au sentiment de rupture de continuité d'existence ou d'anéantissement psychique, comment prendre en charge la souffrance de chaque victime dans la spécificité de son histoire ? Retour sur une clinique intemporelle au cœur de la pratique soignante.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires (ASH), n° 2919, 17 juillet 2015, pp. 34-38.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Jeune majeur, Souffrance psychique, Psychiatrie, Hôpital de jour, Atelier, Radio, Socialisation, TOULOUSE
L'association Toulousaine Microsillons permet à des personnes souffrant de troubles psychiques de faire de la radio dans un cadre convivial. Une initiative née en 2000 dans un hôpital de jour pour adolescents et qui attend sa reconnaissance en tant que groupe d'entraide mutuelle.