Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

Sans-abrisme : la « patate chaude » des troubles psychiatriques

Article de Laurence Ubrich, Christian Laval

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3279, 21 octobre 2022, pp. 6-13.

Mots clés : Lien social-Précarité, Territoire-Logement, Santé mentale-Souffrance psychique, SDF, Précarité, Psychiatrie, Accueil d'urgence, Psychopathologie, Errance, Un chez soi d'abord, Lyon

Ce dossier est composé de 3 articles :
- Sans-abrisme / La « patate chaude » des troubles psychiatriques
- Les clés du rétablissement
- « On ne soigne personne contre son gré »

Aux frontières de l’humanitaire

Article de Christian Laval, Davide Ziveri, Évelyne Josse, et al.

Paru dans la revue Rhizome, n° 73, pp. 3-19.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Lien social-Précarité, Santé mentale, Action humanitaire, Réfugié, Psychosociologie

Ce numéro nous invite à penser que la santé mentale est une problématique autant personnelle que collective. Nous pouvons agir sur soi, sur la relation à l’autre, sur les structures collectives, mais pas sur l’autre. Ce qui tend à devenir une évidence pour les personnes qui présentent des troubles de santé mentale grâce à des mobilisations et des initiatives de plus en plus nombreuses des personnes concernées le devient aussi dans l’action dite « sociale » ou « humanitaire ». Il faut alors composer avec des groupes sociaux et communautaires hétérogènes. Mais ces communautés existent moins dans la différence entre soi et l’autre que dans l’inscription d’un sujet dans son environnement social ou culturel. Faisons le pari que le fait d’être à l’écoute des revendications communautaires est moins une manière de marquer une frontière entre des communautés, que d’entendre la possibilité pour la personne de s’inscrire, de faire avec, voire de s’émanciper de ses groupes sociaux d’appartenance. Et si le soutien psychosocial n’était pas une version euphémisée de la « clinique », mais bel et bien une écologie de l’intervention, où le social et le psychique ne sont pas des catégories préétablies, mais un couple dynamique et singulier ; pour que les frontières, notamment entre le social et le psychique, puissent se dire, se discuter et se transformer ?

Accès à la version en ligne