Documentation sociale

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Les jeux sont faits

Article de Olivier Hielle

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3086, 30 novembre 2018, pp. 6-8.

Mots clés : Justice-Délinquance, Droit pénal, Droit civil, Réforme, Organisation, Protection juridique, Administration pénitentiaire

Loin de faire l’unanimité chez les professionnels du droit, le projet de loi de programmation 2018-2022 et de réforme de la justice se veut exhaustif, et traite du civil, du pénal, de la pénitentiaire et même de l’organisation judiciaire.

« L’administration pénitentiaire n’est pas à la botte du privé »

Article de Olivier Hielle, Asmaa Laarraji Raymond

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3072, 24 août 2018, p. 24.

Mots clés : Justice-Délinquance, Finances publiques, Administration pénitentiaire, Partenariat, Prison

Selon l’adjointe à la sous-direction du pilotage et du soutien des services, en charge de la conclusion et du suivi de la gestion déléguée dans les établissements pénitentiaires, l’Etat ne doit pas abdiquer face aux entreprises délégataires. D’ailleurs, une négociation pour renégocier les contrats en partenariat public-privé (PPP) est en cours.

Le film de notre vie (5)

Article de Olivier Hielle, Philippe Rollandin, Florence Cestac

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3063, 1er juin 2018, pp. 26-30.

Mots clés : Justice-Délinquance, Prison, Société, Approche historique, Administration pénitentiaire

Nous terminons notre exploration de la mutation sociale et sociétale qui a marqué le pays depuis Mai 68. Aujourd’hui, notre attention s’est arrêtée sur l’évolution des prisons et de la politique carcérale. Si les prisons étaient déjà surpeuplées et vétustes – les premières révoltes dans les maisons d’arrêt ont lieu dès le début des années 1970 –, les conditions de détention étaient beaucoup plus dures dans les années 1960 qu’aujourd’hui. Les quartiers de haute sécurité (QHS) – connus sous le nom de « mitards » – ont disparu, les détenus ont conquis des droits comme celui d’avoir la radio et la télévision, le travail en prison s’est un peu amélioré, les médecins sont devenus indépendants et peuvent protéger les détenus. Et, surtout, la politique carcérale n’est plus binaire – prison ou liberté –, des peines alternatives comme le bracelet électronique ou la probation tendent à se développer. Mais le débat sur le fait de savoir si la prison doit être un lieu punitif ou une source de réinsertion reste entier.