Aide à domicile, c’est une activité emblématique de ces emplois dévalorisés mais essentiels. En France, elles sont 200 000 à porter leur aide aux plus vulnérables d’entre nous. Cultivant des valeurs de solidarité et de lien social, elles sillonnent le territoire avec énergie et ténacité. En dépit d’un salaire indécent et de conditions de travail éprouvantes, elles ont choisi de rester utiles… Le film suit le travail quotidien de trois femmes aides à domicile. (Présentation éditeur)

"Jacqueline est hospitalisée en unité de soins de longue durée. Kani, son auxiliaire de vie, l'a suivie de son domicile à l'hôpital. Au fil du temps, les deux femmes ont noué une relation très forte. Face au corps malade de Jacqueline, à sa mémoire altérée, il y a la carrure de Kani et son sens de la vie. Jacqueline est ma mère. Toutes les trois, nous sommes dans le même bateau et ce film est notre traversée." (Présentation éditeur)

Dans un service de soins, on assiste à l’organisation et la réalisation de l’aide au repas apportée pour le déjeuner d’une patiente âgée nécessitant habituellement une aide partielle au repas, qui se trouve majorée ce jour-là (en raison d’un examen fatigant) . Maltraitance(s) ordinaire(s) ou bientraitance ?

La journée de Sylvie, auxiliaire de vie, se déroule à travers ses visites, son travail, ses rencontres et ses échanges avec les personnes âgées et dépendantes. Son parcours révèle la complexité, les contraintes et la richesse de son métier. En contrechamp de la condition des personnes âgées se dessine la condition de l'auxiliaire de vie. Parallèlement à son travail, Sylvie nous livre ses réflexions sur le sens de son métier. (Présentation éditeur)