Documentation sociale

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Mémoire des luttes de l'immigration en France

Livre, édité par GISTI, publié en 2014.

Mots clés : Immigration, Clandestinité, Étranger, Mémoire collective, Action collective, Discrimination, Ethnie, Travailleur immigré, Grève, Logement, Syndicalisme

Cet ouvrage rassemble des articles publiés dans la revue Plein droit dans la perspective de constituer une mémoire des luttes de l’immigration. En dépit de l’hostilité des autorités voire du reste de la population, les étrangères et les étrangers ont été des acteurs majeurs de la défense de leurs conditions d’existence et de l’amélioration de leur statut.
De la dénonciation des crimes racistes ou des violences policières à celle des conditions de logement, des revendications liées à l’emploi au refus de l’arbitraire des expulsions et à l’exigence d’un droit au séjour durable, cette longue histoire des luttes passées devrait aider à alimenter celles du présent.

Figures de l'étranger : quelles représentations pour quelles politiques ?

Livre de Danièle Locha, Emmanual Blanchart, Aurélie Audeval, et al., édité par GISTI, publié en 2013.

Mots clés : Immigration, Étranger, Représentation sociale, Image, Interaction, Vie politique, Politique sociale, HISTOIRE, Travailleur immigré, Sélection, Accueil, Maladie, Accès aux soins, Clandestinité, Illégalité, Action collective, Droit d'asile, Réfugié, État

Les contributions rassemblées dans cet ouvrage visent à mettre en lumière la façon dont les représentations de l'« Immigré », de l'« Étranger » inspirent les politiques publiques et la législation et dont, à son tour, la législation véhicule et conforte des images négatives des étrangers et des étrangères.Mais ces représentations et ces images ne sont pas immuables. Telle ou telle catégorie - les travailleurs, les réfugiés, les familles. - peut, en fonction du contexte politique ou économique, être tour à tour promue ou disqualifiée.Les étrangers et les étrangères eux-mêmes ne sont pas des objets passifs des politiques publiques : les luttes et les mobilisations font émerger des images différentes, alternatives, qui ne coïncident pas avec les représentations négatives classiques. Le passage de l'ombre à la lumière, les nouvelles formes de visibilité des immigré·e·s dans l'espace public peuvent engendrer des réactions xénophobes mais aussi contribuer à dissiper les stéréotypes.