Article de Maxime Ricard
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3289, 6 janvier 2023, pp. 24-25.
Mots clés : Travail-Emploi, Profession, Écriture, Biographie, Récit de vie, Personne âgée, Maladie, Fin de vie, Livre, Famille, Apprentissage, Enseignement, Profession médicale, Thérapie
L’écriture comme outil de transmission, tel est le leitmotiv de Traces de Vies. Depuis 2021, cette association jurassienne forme au métier – pas encore reconnu – d’accompagnant-biographe, dont le but est de recueillir l’histoire d’une personne gravement malade ou en fin de vie afin que ses proches aient un souvenir d’elle après son décès.
Paru dans la revue Soins cadres, n° 101S, Février 2017, pp. 7-26.
Mots clés : Travail-Emploi, Art, Bien-être, Environnement, Formateur, Cadre, Santé, Innovation, Management, Mobilité professionnelle, Projet, Qualité de la vie, Tarification, Technologie, Télétravail, Thérapie, Université
Changement de lieu et d'organisation pour les cadres hospitaliers ; Environnement de travail et modernisation des soins ; Design hospitalier, environnement et bien-être ; Impact des nouveaux espaces de travail sur le management hospitalier ; L'exercice multi-site et multi-direction des directeurs de soins ; Le télétravail à l'hôpital, un exemple réussi ; Mutualisation, créativité et nouvelles pédagogies.
Article de Cécile Bertrand
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 36, n° 2, pp. 201-223.
Mots clés : Travail-Emploi, Compétence professionnelle, Récit de vie, Conscience de soi, Thérapie, Identité professionnelle, Prévention, Usure professionnelle, Narration
Cet article montre comment le modèle centré solution (de Shazer et Kim Berg, 1978), associé aux outils de la thérapie narrative (White, 2007) propose la reconstruction d’un nouveau langage concernant l’histoire des compétences professionnelles. En modifiant la narration, les professionnels peuvent « épaissir » une nouvelle histoire, et ancrer solidement une identité professionnelle, renforcer leurs compétences et en développer de nouvelles. Ceci permet un travail de revalorisation ; entraîne un sentiment de coopération entre les participants ; permet de travailler en amont la prévention concernant le risque d’épuisement professionnel ; permet l’ancrage d’une nouvelle « carte » identitaire professionnelle. Ainsi, est rendue possible une remise en contact avec le « moi » éthique professionnel. Les participants peuvent alors retrouver un sens dans les actes professionnels réalisés, et la possibilité de se projeter dans un avenir où leurs actions sont en lien avec leurs valeurs personnelles et professionnelles. Cette nouvelle perspective permet d’ouvrir de nouveaux possibles concernant des solutions créatives coconstruites, face à des situations difficiles.
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