Documentation sociale

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Mise en place, déroulement et évaluation des INM dans le cadre du projet "Bien vieillir"

Article de Anne Julie Vaillant Ciszewicz, Cassandra Quin, Olivier Guérin, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 164, novembre-décembre 2023, pp. 13-23.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Santé, Gériatrie, Médecine alternative, Gérontologie, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Maintien à domicile, Trouble du comportement, Suivi médical, Institution, EHPAD, Évaluation, Méthode, Recherche, Outil, Approche clinique, Mémoire, Stimulation, Thérapie, Analyse comparative, Sens, Attention, Communication, Art-thérapie, Étude de cas, Atelier, Émotion, Attachement, Hôpital, Nice

Les interventions non médicamenteuses (INM) sont recommandées en première intention en gérontologie pour répondre aux symptômes psychologiques et comportementaux de la démence. Cet article illustre les INM mises en place, leur déroulement et leur méthode d’évaluation dans le cadre du projet “Bien vieillir” du centre hospitalier universitaire de Nice.

Le concept de jardin enrichi, une innovation en gériatrie

Article de Etienne Bourdon, Joêl Belmin

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 157, septembre-octobre 2022, pp. 31-36.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, EHPAD, Activité, Qualité de la vie, Bien-être, Jardinage, Loisir, Environnement, Innovation, Stimulation, Cognition, Sens, Santé, Recherche, Concept

Les attentes sociétales soulignent l’importance d’offrir aux résidents en Ehpad un environnement favorable à la santé et à la qualité de vie. Les études expérimentales menées sur l’environnement enrichi ont montré des perspectives intéressantes, sans toutefois en réaliser la transposition au cadre de vie du sujet âgé. Le jardin enrichi est un concept innovant en gériatrie, issu de recherches translationnelles qui pourraient apporter des éléments de réponse encourageant sur l’amélioration du cadre de vie en institution psycho-gériatrique.

Accompagnement Snoezelen en fin de vie en Ehpad

Article de Patricia Delcol, Gwenaelle Barbier, Anne Estève

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 155, mai-juin 2022, pp. 43-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Aménagement de l'espace, Bien-être, Développement sensoriel, EHPAD, Étude de cas, Éveil, Fin de vie, Perception, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Sens, Soin, Stimulation, Vieillissement, Snoezelen (Méthode)

L’approche Snoezelen, dans le contexte de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, est bénéfique aussi bien au résident et à son entourage qu’aux équipes soignantes. Elle procure apaisement et bien-être au premier et réconforte les familles, qui perçoivent la détente de leur proche. Du lien se crée autour de la personne en fin de vie, opportunité de vivre des moments privilégiés.

Le dépistage step 1 : expérimentation en Occitanie avec les infirmiers et les pharmaciens

Article de Céline Mathieu, Cécile McCambridge, Dominique Jakovenko, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 16-19.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Adaptation, Aide technique, Autonomie, Bien-être, Dépendance, Dépistage, Étude de cas, Expérience, Expérimentation, Gériatrie, Infirmier, OMS, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Prise en charge, Sens, Soin, Suivi médical, Technologie numérique, Télémédecine, Vieillissement, Vulnérabilité, Occitanie

Le dépistage (step 1) est le mode d’entrée dans le programme Icope. Cette étape préliminaire est principalement une initiative des professionnels de santé du premier recours, présents quotidiennement auprès des seniors. En Occitanie, dans le cadre du déploiement du programme Icope, infirmiers et pharmaciens d’officine, acteurs de santé de proximité, ont été invités à inclure le step 1 dans leurs pratiques. Ils ont pu bénéficier, s‘ils le souhaitaient, d’une formation gratuite en webinaire.

Icope : pour aider les professionnels de santé à prévenir la dépendance chez les séniors

Article de Christine Lafont, Néda Tavassoli

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 152, novembre-décembre 2021, pp. 12-15.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aide technique, Aptitude, Autonomie, Bien-être, Dépendance, Dépistage, Diagnostic, Évaluation, Expérimentation, Gériatrie, OMS, Outil, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Projet thérapeutique, Santé, Sens, Soin, Technologie numérique, Télémédecine, Test d'aptitude, Vieillissement, Dispositif

Le programme Icope proposé par l’Organisation mondiale de la santé pour diminuer le nombre de sujets dépendants se décline en cinq étapes réalisables dans la filière des soins primaires : dépistage, évaluation intégrée, plan de soins personnalisé, suivi du plan de soins, implication des collectivités et aide aux aidants. La population cible est celle des seniors autonomes de 60 ans et plus. Des outils numériques ont été développés pour faciliter l’évaluation et le suivi des sujets intégrés dans ce projet de soins.

Le vieillissement cognitif en dehors de la démence

Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 150, juillet-août 2021, pp. 10-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Attention, Cognition, Déficience cognitive, Environnement social, Évaluation, Développement cognitif, Inégalité, Intelligence, Interaction, Mémoire, Perception, Personne âgée, Recherche, Sens, Stimulation, Vieillissement

Le vieillissement cognitif en dehors de la démence résulte d’une programmation génétique différente selon les individus. Le vieillissement des différentes fonctions cognitives, très hétérogène, dépend en grande partie du parcours de vie de chaque personne. Des facteurs sociaux, en particulier l’environnement, accélèrent ou non ces processus. Des vitesses de traitement des informations provenant de l’environnement plus lentes, des néo-acquisitions praxiques ou stratégiques et la gestion des tâches multiples plus difficiles, reflètent une hypofrontalité liée à l’âge. La santé physique et mentale, le bien-être social et relationnel participent à un bon vieillissement cognitif. L’exploration des différentes facettes de ce vieillissement en révèle la complexité.

Richard Vercauteren, sociologue : “La personne âgée est d’abord un être social”

Article de Brigitte Bègue, Richard Vercauteren

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3202, 26 mars 2021, pp. 34-35.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Crise, Épidémie, Besoin, Relation, Communication, EHPAD, Sens, Bien-être, Recrutement, Financement, Reconnaissance, Profession

Après avoir été enfermés dans leur chambre, interdits de visites et d’activités pendant plusieurs mois, les résidents d’Ehpad commencent à retrouver une vie « normale ». La société aurait-elle oublié que les personnes âgées ont avant tout besoin de relations sociales, comme tout le monde ?

Alimentation : la grande oubliée

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, Caroline Rioet al.

Paru dans la revue ASH Domicile, hors-série n° 3, mars 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Malnutrition, Repas, Aide à domicile, Aidant familial, EHPAD, SAAD, Formation, Lien social, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Portage des repas, Sens, Plaisir, Socialisation, Santé, Maintien à domicile, Travailleur social

VIVRE À DOMICILE. Y rester jusqu’au bout. C’est le choix de l’écrasante majorité des Français qui n’est pas sans poser nombre de difficultés. Le rôle central de l’alimentation dans le maintien de la bonne santé des personnes vieillissantes reste à ce jour négligé. Il existe pourtant un moyen de briser ce cercle vicieux des chutes, hospitalisations et autres institutionnalisations : le fameux "bien manger pour bien vieillir". Avec quelles conséquences : la dénutrition ! La France compte près de deux millions de personnes dénutries, dont 270 000 vivant en Ehpad et 400 000 à domicile.
VIGILANCE. Comment en est-on arrivé là ? Tout simplement en ne prêtant pas attention aux signes avant-coureurs, aux signaux faibles. Consulter et agir vite, n’est pas le message relayé sur le terrain. A qui la faute ? A un manque de temps et de formation des professionnels ? Une absence de prise de conscience collective ? Une carence des pouvoirs publics ? Une fatigue chronique des aidants ? Comment demander à une aide à domicile de faire, en une heure, les courses, préparer un repas, aider la personne dépendante à s’alimenter, puis procéder aux gestes d’hygiène dans un environnement serein…
PLAISIR OUBLIÉ. Intervenir le temps des repas ne peut se limiter à réchauffer un plat et à le servir. L’alimentation doit d’abord se partager. Et là, le choc des cultures est violent entre des personnes vieillissantes qui ont eu l’habitude de passer du temps à cuisiner, à organiser des repas familiaux, sans télévision… et des professionnels plus jeunes, habitués aux repas industriels et aux écrans.
La mission des aides à domicile est aussi de préparer des assiettes appétissantes, stimuler, engager la participation de la personne vulnérable. En amont, elles doivent interroger l’usager sur ses goûts et envies, faire des courses en fonction, ou alors laisser des listes aux proches aidants. Selon les situations, elles peuvent améliorer les repas livrés, ou équilibrer les plats sur la semaine.
ESSENTIELLE FORMATION. Diététique, habitudes de vie, hygiène, conservation des aliments, budget repas, adaptation au rythme de la perte d’autonomie, … une multitude de paramètres sont à prendre en compte et à gérer. Pour lutter contre les troubles alimentaires du grand âge, les acteurs du domicile doivent questionner leurs pratiques. Des clefs, relais pédagogiques et spécialistes sont disposés à prêter main-forte aux aidants familiaux ou aux professionnels de terrain. La formation est également indispensable. Quand les pathologies se multiplient, que la perte d’autonomie s’installe, que le refus de soins devient une réalité et le repas un supplice, la patience, la compréhension et l’écoute sont alors de mise. S’interroger, comprendre, dialoguer, et surtout accompagner "le nourrir" qui rencontre "le mourir". Des moments délicats à appréhender pour ces travailleurs sociaux et médico-sociaux de plus en plus isolés.

Le toucher, une approche en ergothérapie de la personne âgée

Article de Jean Michel Caire, Barbara Joannot, Cyril Vigouroux

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 145, septembre-octobre 2020, pp. 22-25.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Affectivité, Aidant familial, Care, Cognition, Corps, Ergothérapie, Gériatrie, Massage, Motricité, Personne âgée, Physiologie, Prévention, Sens, Soins corporels, Stimulation, Toucher, Vieillissement, Vie quotidienne

La main, vecteur de savoir et de compréhension du monde environnant, favorise la relation. Le “prendre soin” passe, pour tous les professionnels du médico-social, par le toucher, l’accompagnement bienveillant afin de favoriser le mouvement et l’engagement dans les activités de la vie quotidienne. Le toucher dans la relation avec la personne âgée place l’ergothérapeute dans la dynamique de réadaptation en équipe interprofessionnelle. Trois facettes du toucher sont décrites.

Vieillissement et troubles du goût et de l'olfaction

Article de Laurence Jacquot, Matthieu Bereau

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 145, septembre-octobre 2020, pp. 18-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Anatomie, Corps, Définition, Diagnostic, Goût, Gériatrie, Handicap sensoriel, Odorat, Pathologie, Personne âgée, Physiologie, Recherche, Sens, Soin, Vieillissement

Si on les compare avec les autres modalités sensorielles, les altérations du goût et de l’odorat liées au vieillissement sont moins bien connues et moins investiguées en pratique clinique. En effet, les personnes âgées ayant une perte olfactive ou gustative ne le signalent pas toujours ou n’en ont pas conscience. De plus, l’évaluation clinique du goût et de l’odorat par des tests spécifiques est rarement effectuée.