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Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3310, novembre 2023, pp. 36-38.
Mots clés : Travail social : Métiers, Santé mentale-Souffrance psychique, Travailleur social, Santé mentale, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Neurosciences, Stress, Traumatisme
« Symptôme cardinal de reviviscence », « syndrome de l’évitement », « narration autobiographique », « épisode dissociatif », « syndrome du vieux sergent »… Autant de termes qu’il faut maîtriser pour mieux comprendre le stress post-traumatique (SPT), comme l’explique le neuropsychologue Francis Eustache.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3310, novembre 2023, pp. 34-35.
Mots clés : Travail social : Métiers, Santé mentale-Souffrance psychique, Travailleur social, Santé mentale, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Violence, Émotion, Cadre, Sécurité
Soutien institutionnel, réponses plurielles, rapidité d’action… S’il n’existe pas de mode d’emploi pour faire face aux événements traumatiques, les structures peuvent s’appuyer sur certains préceptes pour accompagner au mieux les professionnels.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3310, novembre 2023, pp. 30-33.
Mots clés : Travail social : Métiers, Santé mentale-Souffrance psychique, Travailleur social, Santé mentale, Traumatisme, Stress, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Violence, Émotion
A force d’être confrontés à des situations extrêmes et à des publics en grande difficulté, les professionnels développent des troubles de stress post-traumatique semblables à ceux des personnes qu’ils accompagnent. Longtemps taboues, les souffrances psychiques qu’ils endurent commencent à faire surface dans le secteur du travail social. A bon escient, puisque le soutien de l’institution s’avère indispensable pour prévenir ou atténuer leur état.
Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 37/2583, Semaine du 27 septembre au 3 octobre 2021, pp. 24-26.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Usure professionnelle, Burn out, Souffrance psychique, Fonction publique, Collectivité territoriale, Management, Ressources humaines
Intégrée au plan de santé au travail 2021-2022 dans la fonction publique au vu des effets de la crise sanitaire, la prise en compte de la santé mentale est désormais incontournable.
Cet article s’inscrit dans une démarche de sociologie de l’action publique qui vise à comprendre le traitement d’un problème social en analysant les « luttes définitionnelles » que se livrent les acteurs en prise avec ce problème, dans les arènes publiques (médias, parlement), mais aussi dans des endroits plus discrets, à l’image des espaces paritaires de gestion des risques professionnels. S’appuyant sur un corpus d’archives et d’entretiens, il analyse les luttes politiques et syndicales du début des années 2000 au sujet de la reconnaissance en maladie professionnelle des souffrances psychiques (stress, risques psychosociaux, etc.). En articulant l’analyse de trois arènes (scientifique, politique, administrative et paritaire) qui ont participé à la politisation et à la définition de ces souffrances, nous montrons que leur reconnaissance s’est heurtée aux contraintes structurelles du système paritaire de gestion des risques professionnels ainsi qu’à l’indécision de l’État. En s’appuyant sur le produit des négociations entre organisations syndicales et patronales, le ministère du Travail a contribué à reproduire les inégalités sociales entre ces deux groupes d’acteurs participant, dans une certaine mesure, à l’individualisation de la réparation de ces maux. Cet article éclaire ainsi les processus qui contribuent à dépolitiser les dégâts sanitaires du travail et à en faire des problèmes personnels.