Article de Laurent Bachler
Paru dans la revue Le journal des professionnels de l'enfance - Recherches, n° 131, mars-avril-mai 2022, pp. 16-18.
Mots clés : Enfance-Famille, Éducation, Enfant, Perception, Philosophie, Relation éducative, Représentation sociale
Article de Laurent Bachler
Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance - Recherches, n° 126, décembre 2020-février 2021, pp. 12-16.
Mots clés : Enfance-Famille, Créativité, Développement cognitif, Enfant, Éveil, Jeu, Jeune enfant, Jouet, Philosophie, Barthes (Roland)
Article de Noëlle Portets, Jean François Dupeyron
Paru dans la revue Empan, n° 111, septembre 2018, pp. 37-43.
Mots clés : Enfance-Famille, Vulnérabilité, Féminisme, Éthique, Care, Philosophie, Enfant, Film
Une approche féministe nous amènera à questionner le concept de vulnérabilité dans son lien à celui d'autonomie et d'autosuffisance, en le situant dans un contexte social, économique et politique contemporain. De la lecture de plusieurs auteurs sur cette thématique, nous ferons émerger notre hypothèse : elle sera de considérer que la vie tient d'une tension constante entre d'agir et vulnérabilité, exposition à la blessure et normativité. Afin d'expliciter cette approche, nous suivrons une histoire : celle d'une "toute petite fille" (La Pivellina), de Patti, qui va accueillir cette enfant en situation de vulnérabilité, et de son entourage. Dans cette situation se trouvent mis en pratique un accueil, une éthique du care, à l'écoute d'une l'enfant, dans un moment donné de son histoire. Puis nous conclurons par des propos du philosophe Jean-François Dupeyron s'attachant à penser les liens entre enfant "tendre" et vulnérabilisation.
Article de E. Delassus
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 337-343.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Deuil, Mort, Parole, Philosophie
Comment traiter philosophiquement à la question de savoir si un enfant peut faire son deuil ? Si l’on considère comme Spinoza que la mort n’est pas inscrite dans l’essence même d’un individu, l’enfant ne peut avoir conscience de sa mortalité et du caractère nécessaire de la mort. Par conséquent, l’enfant qui n’a jamais été confronté à la mort de l’autre se trouve dans l’incapacité d’accepter celle-ci et de faire son deuil. Il importe donc que son entourage lui donne la parole et lui parle avec courage et vérité. C’est grâce à cette vérité qui lui sera adressée qu’il pourra faire advenir la sienne et apprendre à sortir de l’enfance pour assumer la finitude de l’existence humaine