Documentation sociale

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Réponses 1 à 10 sur un total de 16

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Penser l'appropriation des gérontechnologies dans les interventions non médicamenteuses

Article de Dimitri Delacroix, Lydie Dondelli, Renald Gaboriau, Long Nguyen Phuoc

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 158, novembre-décembre 2022, pp. 43-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Gérontologie, Aide technique, Technologie numérique, Traitement médical, Soin, Aménagement de l'espace, EHPAD, Environnement, Qualité de la vie, Bien-être, Évolution

Aujourd’hui, de nombreux objets techniques numériques sont introduits en soins gériatriques dans le cadre d’interventions non médicamenteuses. Cette arrivée engendre chez les soignants autant de rejet que d’enthousiasme. De plus, beaucoup de ces objets restent finalement au placard. Il convient donc de prendre en compte quelques éléments pour penser leur appropriation.

Le concept de jardin enrichi, une innovation en gériatrie

Article de Etienne Bourdon, Joêl Belmin

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 157, septembre-octobre 2022, pp. 31-36.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, EHPAD, Activité, Qualité de la vie, Bien-être, Jardinage, Loisir, Environnement, Innovation, Stimulation, Cognition, Sens, Santé, Recherche, Concept

Les attentes sociétales soulignent l’importance d’offrir aux résidents en Ehpad un environnement favorable à la santé et à la qualité de vie. Les études expérimentales menées sur l’environnement enrichi ont montré des perspectives intéressantes, sans toutefois en réaliser la transposition au cadre de vie du sujet âgé. Le jardin enrichi est un concept innovant en gériatrie, issu de recherches translationnelles qui pourraient apporter des éléments de réponse encourageant sur l’amélioration du cadre de vie en institution psycho-gériatrique.

Les interventions psychosociales : un autre accompagnement possible

Article de Alexandra Marquet, Kevin Charras, Laurence Hardy, Hervé Platelet al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 5, mai 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Vieillissement, Personne âgée, Accompagnement, Médecine alternative, Lien social, Animation socioculturelle, Traitement médical, Qualité de la vie, Vie quotidienne, Soin, Bien-être, Aménagement de l'espace, Adaptation, Trouble du comportement, EHPAD, Repas, Plaisir, Musicothérapie, Mémoire, Émotion, Psychosociologie, Relation soignant-soigné, Communication non-verbale, Psychothérapie, Souffrance psychique, Snoezelen (Méthode)

MEDECINES ALTERNATIVES, interventions non médicamenteuses ou interventions psychosociales ? Le débat lexical perdure, signe du chemin à parcourir pour que médecins, psychologues, soignants, thérapeutes, intervenants, financeurs parlent le même langage ; celui de l’accompagnement des personnes atteintes de maladies neurodégénératives et privées de traitements curatifs. Alors que leur dénomination suscite parfois le débat en France, les interventions psychosociales et environnementales (IPSE) sont reconnues au niveau international, et se sont progressivement développées. Derrière ces mots se cachent, selon l’association américaine de psychiatrie, des objectifs précis autour de l’amélioration de la qualité de vie, du fonctionnement psychologique et social des personnes aidées, le tout en s’appuyant sur leurs capacités restantes et leur pouvoir d’agir. En d'autres termes, un avenir possible et de l'espoir malgré la progression des lésions cérébrales. Pas à pas, les soignants ont changé leurs pratiques. Pendant longtemps, face aux symptômes liés à la démence, la seule réponse de soin passait systématiquement par les médicaments. C’est parfois encore le cas. Or, une autre philosophie se dessine avec une volonté d’accompagner et non de guérir. Cette approche aborde les maladies neurodégénératives sous un autre angle. Décider, choisir, s’exprimer sont encore possibles, même à un stade sévère, à condition que l’entourage, familial et professionnel, soit à l’écoute des besoins et que l’environnement architectural soit un support incontournable de l’accompagnement.
UNE OFFRE DIVERSIFIEE… En 2008, la Haute Autorité de santé consacrait une première série de recommandations pour l’utilisation des interventions psychosociales. Treize ans après, les expérimentations et évaluations en France et à l’étranger n’ont eu de cesse de se développer : art-thérapie, repas thérapeutiques, réminiscence, Snoezelen… Sur le terrain, rien ne doit être laissé au hasard : soignants et intervenants formés, indications de traitement, profils des bénéficiaires, constitution des groupes, observation, adaptation et évaluation. L’accompagnement personnalisé reste une condition sine qua non de leur réussite, que ce soit en institution ou à domicile.
UN FINANCEMENT A INVENTER. Comment les interventions psychosociales peuvent-elles se généraliser et s’affranchir des disparités territoriales pour se démocratiser ? Un nouveau modèle économique devra s’imposer pour favoriser leur déploiement, que ce soit en milieu urbain ou rural. Des réponses réglementaires doivent être apportées pour une prescription facilitée et un remboursement assuré. En 2018, suite à sa décision de dérembourser les médicaments "anti-Alzheimer", Agnès Buzyn avait promis qu’aucune économie ne serait réalisée "sur le dos des malades". Qu’en est-il ? Quel fléchage pour ces millions ? A travers ces interventions, un nouveau modèle doit se généraliser pour que les personnes malades et leurs aidants retrouvent leur statut dans la société. Et que les soignants soient réhabilités dans leur rôle d’accompagnants.

Les nouveautés concernant la prise en charge de la douleur chez le sujet âgé

Article de Françoise Capriz, Stéphane Leneez, Audrey Marteu

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 147, janvier-février 2021, pp. 25-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Bien-être, Définition, Émotion, Équipe soignante, Évaluation, Évolution, Gériatrie, Médecine, Médecine alternative, Parole, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Souffrance, Traitement médical, Vieillissement

La douleur dans le grand âge reste encore trop fréquente. Pourtant, elle mérite notre intérêt car elle fragilise des patients âgés déjà bien vulnérables. Les connaissances médicales évoluant sans cesse, tous les soignants sont concernés dans l’actualisation de leurs connaissances afin de maîtriser les douleurs multiples des seniors. Retour sur des points clés portant sur l’évaluation de la douleur, mais aussi sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux d’aujourd’hui, afin d’optimiser la prise en charge algologique en gériatrie.

Les mobilités résidentielles au cours de la retraite

Article de Rémi Gallou, Sabrina Aouici, Laurent Nowik

Paru dans la revue Retraite et société, vol. 2, n° 86, 2021, pp. 21-182.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Mobilité géographique, Retraite, Personne âgée, Migration, Contrainte, Décision, Relation familiale, Qualité de la vie, Bien-être, Maintien à domicile, Habitat, Logement, Lien social, Résidence autonomie, Belgique, Maroc, France, Pays de Galles

L’étude des comportements résidentiels est un bon outil d’analyse des transformations sociales, démographiques et politiques qu’expérimentent les générations de retraités. Pendant leur retraite, les individus s’adaptent aux différents changements, que ce soit dans leur vie familiale ou leur environnement social et économique. C’est souvent le moment de réévaluer l’adéquation du logement et de son cadre immédiat aux modes de vie. Beaucoup de retraités recherchent davantage de bien-être, la proximité d’un proche, des services appropriés... Souhaitée ou subie, la mobilité résidentielle n’est pas anodine et, au-delà de sa dimension territoriale, elle modifie les configurations sociales et les solidarités qui sont déterminantes pour soutenir le vieillissement. Alors que certains retraités déménagent parfois plusieurs fois au cours de la retraite, d’autres en revanche confortent leur ancrage résidentiel en procédant à des améliorations de leur logement. Traiter de la mobilité résidentielle pendant la retraite est donc indissociable des réflexions sur le logement adapté au vieillissement et sur le maintien à domicile.
Ainsi, ce dossier de Retraite et société, à travers ses contributions issues de l’enquête française Amare ou de recherches menées dans d’autres pays, nous rappelle l’importance du lieu de vie avec l’avancée en âge.

Sommaire :

- Mobilité résidentielle et vieillissement : pour le meilleur et contre le pire. Sabrina Aouici, Laurent Nowik. Page 21 à 45
- Reconfigurations des logiques résidentielles et désinstitutionnalisation des parcours de vie. Céline Clément, Catherine Bonvalet. Page 47 à 69
- Mobilité de retraite et mobilité post-retraite en Belgique : qui a migré, migrera ? Jean-Paul Sanderson. Page 71 à 89
- Déménager au cours de la retraite, la recherche d’un équilibre entre idéal et compromis. Rémi Gallou. Page 91 à 116
- Mobilités résidentielles des retraités français au Maroc : entre choix hédonistes et enjeux familiaux. Jordan Pinel. Page 117 à 140
- Intégrer la mobilité résidentielle dans une politique de maintien à domicile. Une recherche exploratoire d’un service d’accompagnement au pays de Galles. Sarah Hillcoat-Nallétamby, Jim Ogg, Alexandra Sardani. Page 141 à 161
- Mobilité résidentielle en résidence autonomie : quelles reconfigurations des relations sociales et familiales ? Anne-Bérénice Simzac. Page 163 à 182

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Impact des interventions assistées d'un animal sur le résident

Article de Jan Chrusciel, Aude Letty, Stéphane Sanchez, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 12-14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Animal, Autonomie, Bien-être, Démence sénile, Dépendance, EHPAD, Étude de cas, Isolement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Prise en charge, Psychothérapie, Qualité de la vie, Robot, Vieillissement, Zoothérapie

Les interventions assistées par l’animal ont pour finalité le bien-être des personnes. L’objectif est de faire le point sur les études concernant cette pratique dans la population des anciens vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La thérapie assistée par l’animal, utilisable par un personnel préalablement formé, pourrait être un outil adapté à la personne âgée institutionnalisée souffrant de solitude.

Qualité et quantité de vie

Article de Pierre Henry Frangne, Amélie Aregui, Rémy Billon, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Bioéthique, Cancer, Care, Communication, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Personne âgée, Philosophie, Pluridisciplinarité, Maladie, Morbidité, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

Soins en gériatrie, que doit-on privilégier ? Page :11
Approche philosophique de la qualité de vie. Page :12-18
La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie. Page :19-21
Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie? Page :22-24
Qualité de vie en soins palliatifs. Page :25-27

Qualité de vie en soins palliatifs

Article de Rodolphe Daire, Héléna Donabédian, Valérie Tambouras, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 25-27.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, Communication, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Pluridisciplinarité, Maladie, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement

Les soins palliatifs visent à améliorer la qualité de vie des patients atteints de maladies évolutives graves ou mortelles, au moyen d’une prise en charge globale et pluridisciplinaire. La notion de qualité de vie est multidimensionnelle et propre à chaque patient, faisant de lui l’acteur majeur de ses soins. La prise en compte des différentes dimensions de la qualité de vie d’un patient est nécessaire afin de proposer un projet de soins personnalisé et pertinent.

Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie

Article de Rémy Billlon, Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, EHPAD, Espérance de vie, Gériatrie, Maladie, Morbidité, Personne âgée, Qualité de la vie, Soin, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

La polymorbidité est fréquente chez les sujets très âgés, particulièrement dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes avec, souvent, un état de grande fragilité. Ils sont particulièrement à risque de polypharmacie et d’effets iatrogènes, ce qui peut amener à aggraver la qualité de fin de vie de ces patients. Une nouvelle manière de faire est à trouver en s’appuyant sur une approche centrée sur le patient, et pas sur la maladie.

La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie

Article de Rachida Qabbal, Amélie Aregui, Stéphane Culine, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 19-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Cancer, Care, Communication, Diagnostic, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Famille, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Traitement médical, Vieillissement

Associer qualité et quantité de vie est l’un des défis de l’oncogériatrie. Il repose sur un diagnostic le plus précoce possible et une évaluation complète du patient dans sa dimension médicale, psychologique et sociale. Cette évaluation a pour but de prendre en charge le patient dans sa globalité, de recueillir son opinion et de définir un traitement adapté. Une fois ce dernier établi, la mise en place d’un suivi pour la prise en charge des comorbidités et des symptômes, ainsi que l’instauration d’aides si nécessaire permettent d’améliorer la qualité de vie.