Article de Danièle Nahoum, Lisa Junglas
Paru dans la revue Santé mentale, n° 261, octobre 2021, pp. 60-65.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Aidant familial, Empowerment, Groupe de parole, Information, Médiation, Médiation familiale, Stéréotype, Psychologie, Maladie d'Alzheimer, Représentation sociale, Vaucluse
Article de Jean Michel Caire
Paru dans la revue Santé mentale, n° 261, octobre 2021, pp. 54-59.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Aidant familial, Aide à domicile, Assistant de soins en gérontologie, Démence sénile, Maladie d'Alzheimer, Ergothérapie, Évaluation, Histoire familiale, Récit de vie, Observation, Vie quotidienne
Article de Inge Cantegreil Kallen
Paru dans la revue Santé mentale, n° 261, octobre 2021, pp. 48-53.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Agressivité, Aidant familial, Couple, Émotion, Maladie d'Alzheimer, Psychothérapie, Thérapie, Trouble du comportement, Cognition
Article de Marion Feldman, Sarah Hammami
Paru dans la revue Dialogue, n° 216, juin 2017, pp. 53-66.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Maladie d'Alzheimer, Couple, Aidant familial, Traumatisme, Génocide, Mémoire, Judaïsme
Cet article traite d’une expérience clinique auprès d’aidants conjoints de patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Patients et conjoints aidants ont été des enfants juifs cachés pendant la Shoah. Ces interventions s’inscrivent dans le cadre des activités d’une association juive (l’ose). La maladie d’Alzheimer se caractérise par des troubles de la mémoire effaçant les souvenirs les plus récents et réveillant les plus anciens parmi lesquels les souvenirs infantiles. Le réveil de ces souvenirs et les attitudes qui les accompagnent entraînent des bouleversements familiaux, en particulier dans le couple. Il est question ici des ébranlements au sein du couple quand ses membres partagent une histoire infantile commune. La réactivation des souvenirs liés à l’évolution de la maladie chez l’un entraîne chez l’autre la même réactivation par écho. Le soin consistant en des visites à domicile permet un travail clinique auprès de l’aidant, patient « doublement caché », dont les effets lui sont bénéfiques, ainsi que pour son couple et sa famille.
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