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Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3308, septembre 2023, pp. 69-71.
Mots clés : Travail social : Formation, Santé mentale-Souffrance psychique, Formation, Santé mentale, Psychiatrie, AERER (méthode)
Les travailleurs sociaux se retrouvent souvent démunis face aux souffrances et comportements borderline des publics vulnérables. De plus en plus de structures font appel à des formations pour acquérir les bons gestes.
Article de David Prochasson, Marie Nahmias, Antonin Amado
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3214, 18 juin 2021, pp. 6-12.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Travailleur social, Coopération, Établissement social et médicosocial, Établissement de santé, Culture, Commune, Développement, Formation, Plateforme, Coordination, Diagnostic, Soin, Psychisme, Neurosciences, Expression orale, Volonté, Individu
Dossier composé de 4 articles :
Travail Social et psychiatrie : mutuelle défiance
Une articulation grippée
CMPP, CAMSP, CMPEA : des relais essentiels menacés
Directives anticipées : jamais sans « Mon GPS »
En crise, l’hôpital psychiatrique va devoir continuer à se serrer la ceinture et apprendre à sortir de ses murs. Après avoir fermé des lits sans déployer une réelle offre alternative, l’État compte sur les professionnels et les personnes concernées pour réfléchir à des parcours de soins porteurs d’espoir, de pouvoir d’agir et d’un moindre recours aux hospitalisations.
Article de Anne Sylvie Grégoire, Nadège Guidou, Nathalie Schmitt, et al.
Paru dans la revue Connexions, vol. 1, n° 113, janvier-juin 2020, pp. 47-186.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychologie, Profession, Pratique professionnelle, Psychiatrie, Santé mentale, Conditions de travail, Violence, Identité professionnelle, EHPAD, Hôpital, École, Institution, Formation, Écrit professionnel, Travail d'équipe
Depuis la création du titre de psychologue en 1985, une conjonction de facteurs scientifiques, politiques et culturels a transformé le métacadre des institutions. Le modèle gestionnaire qui s’est imposé à tous les secteurs vient bouleverser l’organisation et le sens du travail des psychologues. Quatre points méritent ici d’être interrogés :
Comment la vie psychique peut-elle être prise en compte lorsque l’appréciation de la souffrance psychique se trouve en tenailles entre des exigences d’adaptabilité et une conception objectivante ?
En quoi de nouvelles attentes institutionnelles remettent-elles en question les valeurs de la profession, quand l’exigence d’évaluation et de transparence amène les psychologues à devenir des « techniciens » ?
Quels rapports aux groupes et à l’institution sont à repenser, si les organisations demandent aux psychologues d’aider leurs propres équipes ou de participer au développement de la coopération entre les différents pôles de la vie institutionnelle ?
Enfin, quels enjeux pèsent sur la formation, alors que la validité scientifique des théories du psychisme et la pertinence clinique des méthodes de traitement sont remises en cause ?
C’est à travers toutes ces questions que ce numéro de Connexions explore la profession de psychologue aujourd’hui.
La communication hypnotique peut être définie comme l'art d'utiliser différents procédés de langage issus de l'hypnose formelle (hors transe), au cours d'un dialogue soignant-soigné, pour atteindre un objectif. Au-delà de ses aspects techniques, cette communication produit un contexte et une présence thérapeutique particulière, centrée sur les ressources du patient. En psychiatrie, cette approche est souvent adaptée par sa flexibilité et son caractère pragmatique à la diversité des situations. Éclairage théorique et expériences cliniques.
En 1968, le mouvement de contestation gagne les étudiants en psychiatrie du Comité de l'Internat des hôpitaux psychiatriques de la Seine et le comité des jeunes psychiatres qui, dans la continuité des idées du livre blanc de la psychiatrie, demandent une autre formation pour les psychiatres et surtout une augmentation considérable des psychiatres formés pour faire face aux besoins de la population et développer la psychiatrie de secteur.
Pour contenir la violence en psychiatrie, il faut déployer un regard clinique qui décrypte les comportements, une bonne connaissance du patient et une relation suffisamment contenante
Articulant l’apparition de la notion d’aidant aux évolutions du système de santé, les auteurs montrent que son usage représente un véritable changement de paradigme concernant la représentation des familles de patients schizophrènes et que la notion s’inscrit dans une perspective de gestion de la maladie mentale plus que dans une vision thérapeutique. À partir d’un retour d’expérience sur la participation à un groupe de psycho-éducation dédié à l’entourage des patients, les auteurs montrent les questions particulières qui concernent la notion d’aidant familial dans le champ de la psychiatrie. Ils préconisent que l’accompagnement de l’entourage familial, dans le contexte du déplacement des soins de l’hôpital vers le domicile, ne se limite pas à la formation de l’aidant familial, mais prenne en compte la singularité des situations et du groupe familial.