Documentation sociale

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Miroirs anthropologiques et changement urbain : qui participe à la transformation des quartiers populaires ?

Livre de Barbara Morovich, Monique Sélim, édité par L'Harmattan, publié en 2017.

Mots clés : Quartier, Milieu urbain, Anthropologie, Recherche en sciences sociales, Culture populaire, Observation, Participation, Implication personnelle, Précarité, Stigmatisation, Média, Société, Projet, Formation, Mixité sociale, Rénovation urbaine, Démocratie participative, Association, Art, Culture, Réflexivité, Complexité, Travail de terrain, Strasbourg, Hautepierre

Aujourd'hui, la recherche anthropologique dans les quartiers populaires ne peut se faire en vase clos disciplinaire. Cet ouvrage trace d'abord le bilan de l'histoire de l'anthropologie « urbaine » en France, et s'attache ensuite à analyser, à l'époque des rénovations urbaines des quartiers populaires, les interactions entre les processus sociaux et les mutations de l'espace. Quelles sont les dynamiques d'adaptation et de rejet qu'elles provoquent ? C'est grâce à une étude de long terme et un engagement associatif dans un quartier de Strasbourg que l'auteure déconstruit des identités multiples et des relations complexes de l'intérieur.

Récits et résilience : quels liens ? Chemins de vie

Livre de Martine Lani Bayle, Aneta Slowik, Boris Cyrulnik, Gaston Pineau, édité par L'Harmattan, publié en 2016.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Récit de vie, Résilience, Interaction, Rôle, Évaluation, Émancipation, Enfermement, Mémoire, Langage, Créativité, Écriture, Distance, Projet de vie, Identité, Dessin, Éducation, Formation, Enfant, Adulte

La mise en récit de sa vie se démocratise aujourd'hui de plus en plus avec de nombreuses attentes. Car, si la narration est maintenant parée de toutes les vertus, si nous constatons bien que le récit peut être travaillé avec des attentes thérapeutiques ou cathartiques voire formatives, peut-il être considéré « en soi » comme facteur de résilience, ou permet-il d'en révéler, après coup, l'éventualité ? Est-il porteur d'émancipation possible de ce qui a été subi, ou au contraire enfermement de sa vie dans des mots qui fixeront les traumatismes en un présent sans fin ?