Documentation sociale

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Objectifs et mise en œuvre d’un parcours de santé pour l’enfant

Article de Elisa Guises

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 349, août-septembre 2021, pp. 12-16.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé-Santé publique, Éducation à la santé, Suivi médical, Enfant, PMI, École, Réfèrent, Puéricultrice, Bilan de santé, Carnet de santé

Aujourd’hui, l’expression “parcours de santé” fait partie du vocabulaire de tous les professionnels médicaux et paramédicaux. Elle paraît pourtant assez récente et, bien qu’elle soit devenue d’un usage courant, recouvre de multiples acceptions. Comprendre ce que l’on entend actuellement par parcours de santé va permettre d’objectiver ce qu’il pourrait être pour l’enfant.

Deuil d’un enfant dans la famille : une prise en charge psychanalytique groupale comme issue possible ?

Article de Sandrine Guilleux Keller, Karin Aubry

Paru dans la revue Dialogue, n° 229, septembre 2020, pp. 103-121.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé-Santé publique, Deuil, Perte, Famille, Enfant, Psychanalyse, Thérapie de groupe, Culpabilité, Thérapie familiale, Traumatisme

Cet article aborde la question du deuil et plus particulièrement du deuil d’un enfant dans une famille. Ce deuil traumatique vient bouleverser l’ordre générationnel. Il confronte l’ensemble du groupe familial à un impensable. Comment peut-on accompagner au mieux une famille frappée par un tel drame ? Est-il pertinent de prendre en charge l’ensemble de la famille ? La plupart des auteurs qui ont travaillé ces questions sont d’orientation systémique. Les auteures, psychologues et thérapeutes familiales psychanalytiques, se proposent ici d’aborder cette thématique sous l’angle de la théorie psychanalytique individuelle et groupale. Elles illustrent leurs propos au travers d’une situation clinique afin de montrer l’évolution du travail de deuil au sein d’une famille confrontée à la perte d’un enfant.

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Face à l’obésité des enfants

Paru dans la revue Alimentation, santé et petit budget, n° 79, août 2018, pp. 1-2.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Obésité, Enfant, Prévention sanitaire, Alimentation, Statistiques, OMS, Comportement alimentaire, EUROPE, ETATS UNIS

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La rééducation motrice de l'enfant après un accident vasculaire cérébral

Article de Clara Julia Ros, Cordelia Jouishomme, Pascaline Kehlhoffner

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 24-27.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Rééducation, Motricité, Maladie cardiovasculaire, Pédiatrie, Enfant, Neurologie

La rééducation de l'enfant après un AVC est différente de celle de l'adulte. En effet, celui-ci est en cours de croissance, de maturation cérébrale et de développement psychomoteur...

L'éducation thérapeutique des enfants victimes ou à risque d'accident vasculaire cérébral

Article de Delphine Micaëlli

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 32-36.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Thérapie corporelle, Enfant, Maladie cardiovasculaire

L'éducation thérapeutique du patient fait part des projets d'amélioration de la santé. Elle assure un accompagnement personnalisé de l'enfant victime ou à risque d'accident vasculaire cérébral et de sa famille. Cette démarche nécessite le partage et la transmission de savoir-faire et de savoir-être de la part des professionnels de santé formés spécifiquement...

L'appropriation subjective de la maladie en pédiatrie : la fonction transitionnelle du psychologue de liaison

Article de Isabelle Lambotte, Véronique Delvenne, Lotta de Coster, et al.

Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LIX, n° 2, juin-décembre 2016, pp. 617-627.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé-Santé publique, Enfant, Maladie, Psychologue, Hospitalisation

Le travail du psychologue de liaison avec l’enfant malade hospitalisé est de rendre possible un dégagement et une transformation des traumatismes psychiques potentiels, créés par le contexte de la maladie (annonce de diagnostics graves, séparation, douleurs, angoisses de mort, etc.), et de faciliter l’émergence du processus psychique d’appropriation subjective. Il s’agit d’inscrire le travail du clinicien dans une dimension transitionnelle à différents niveaux. D’abord, en accompagnant l’enfant, les parents, la fratrie, le soignant dans le cadre hospitalier, puis en installant les conditions « suffisamment bonnes » favorables à l’appropriation subjective de la maladie par l’enfant et son entourage, dans un travail de symbolisation, de contenance et de créativité.

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Un enfant peut-il faire son deuil ?

Article de E. Delassus

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 337-343.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Deuil, Mort, Parole, Philosophie

Comment traiter philosophiquement à la question de savoir si un enfant peut faire son deuil ? Si l’on considère comme Spinoza que la mort n’est pas inscrite dans l’essence même d’un individu, l’enfant ne peut avoir conscience de sa mortalité et du caractère nécessaire de la mort. Par conséquent, l’enfant qui n’a jamais été confronté à la mort de l’autre se trouve dans l’incapacité d’accepter celle-ci et de faire son deuil. Il importe donc que son entourage lui donne la parole et lui parle avec courage et vérité. C’est grâce à cette vérité qui lui sera adressée qu’il pourra faire advenir la sienne et apprendre à sortir de l’enfance pour assumer la finitude de l’existence humaine

Accompagnement de l’enfant malade en fin de vie et soutien de sa famille en réanimation pédiatrique en France

Article de P. Hubert

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 331-336.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Famille, Pédiatrie, Maladie, Soins palliatifs

L’auteur présente un panorama de l’évolution des réflexions et des pratiques au sein des unités de réanimation pédiatrique à la fois par rapport aux limitations et arrêts des traitements (LAT) et à la place des parents dans ces décisions. Les recommandations professionnelles et les exigences légales y ont très vraisemblablement contribué, mais il convient de ne pas sous-estimer l’importance de la réflexion éthique menée par de nombreuses équipes soignantes de réanimation pédiatrique et néonatale, qui ont su s’enrichir de la contribution de parents, de pédopsychiatres et de professionnels de soins palliatifs. Partant de l’idée que cette décision était trop lourde pour les familles, et qu’il fallait leur éviter d’y être associé pour les protéger, on en est aujourd’hui à l’information et au recueil de l’assentiment ou de la non-opposition des parents de l’enfant malade vis-à-vis d’une LAT. C’est une exigence morale et légale non contestée, même si la législation française a statué que la décision de LAT revenait in fine au médecin. L’attitude recommandée envers les parents s’écarte de toute approche systématique pour privilégier une approche personnalisée, leur laissant le libre choix de leur niveau d’implication vis-à-vis de la décision de l’équipe soignante. Cela se traduit aussi par la présence possible des parents auprès de leur enfant, le respect d’un délai « suffisamment long » (de l’ordre de 24 à 48 heures) entre le moment où l’équipe soignante décide collégialement, avec l’accord des parents, de ne pas poursuivre un traitement, et le moment de son arrêt effectif. Cette attitude suppose une grande cohésion d’équipe où infirmiers et médecins sont ensemble auprès des familles et des enfants, ce qui nécessite aussi que les équipes confrontées à des décisions aussi difficiles puissent être aidées.