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Paru dans la revue L'Observatoire, n° 107, juillet 2021, pp. 46-47.
Mots clés : Enfance-Famille, Famille monoparentale, Précarité, Isolement, Enfant, Accueil, Animation, Prise en charge, BELGIQUE, LIEGE
Le nombre de familles monoparentales ne cesse d'augmenter dans notre pays. Ces familles ont toutes des risques plus accrus de précarité, d'épuisement ou d'isolement. Afin d'essayer de pallier cette réalité et pour permettre aux enfants de passer des moments d'activités qualitatifs ainsi qu’aux parents de souffler, le projet "Bulles de répit" va voir le jour en plein centre de Liège. Le but ? créer un espace dédié à ces familles monoparentales avec une prise en charge personnalisée.
Chaque année 223 000 femmes sont victimes de violences conjugales. Environ 84 000 sont victimes de viol ou tentative de viol. Une femme meurt tous les 3 jours victimes de son conjoint (compagnon ou ex). En moyenne, le 39 19, ligne d'appel national pour femmes victimes de violences, reçoit 50 000 appels par an. Pour mieux protéger les femmes et les enfants victimes de violences, le 5e plan interministériel (2014-2016) a à la fois consolidé les dispositifs déjà existants et instauré de nouvelles mesures.
Il reste cependant beaucoup à faire pour éradiquer ce fléau, et notamment faire connaître, promouvoir et mettre en œuvre le droit d'être protégée.
C’est au milieu des années 1970 que des Québécoises, décidées à sortir le phénomène de la sphère privée, ont mis sur pied les premières maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale. Levant le voile sur la violence des hommes à l’endroit des femmes dans les couples, problème longtemps compris comme étant d’ordre familial, elles ont développé des ressources permettant d’accueillir celles qui désiraient se soustraire à l’emprise de leur agresseur. Les maisons d’hébergement se sont ainsi imposées comme l’une des plus importantes réponses du mouvement féministe à cette problématique, au Québec et ailleurs.
Dans un pays globalement riche comme la France, la pauvreté fait de la résistance : depuis quinze ans, elle concerne 13 à 14 % de la population. Au lieu de renforcer la solidarité, cette réalité pousse une fraction croissante des politiques et de l’opinion à dénoncer « l’assistanat », à désigner les plus démunis comme responsables de leur situation. Pourtant, la majorité des adultes pauvres occupent un emploi, et leur pauvreté résulte bien plus souvent d’un « héritage familial » ou d’accidents de la vie que d’un manque de volonté. Les auteurs proposent de relever ce défi sans alourdir pour autant les dépenses publiques. En actionnant les bons leviers, comme la formation, les contrats de travail, l’insertion par l’activité économique, le soutien renforcé des institutions publiques en faveur des enfants pauvres et la refonte des aides sociales. Réduire la pauvreté est un enjeu de justice sociale, un investissement dont toute la société tirera profit.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 18, pp. 139-159.
Mots clés : Professionnel de l'enfance, Enseignant, Professeur des écoles, Éducateur de jeunes enfants, Analyse comparative, Prise en charge, École maternelle, Accueil, Scolarisation, Pratique professionnelle, Identité professionnelle, Socialisation, Enfant
C'est à deux ans que le jeune enfant va le plus souvent faire ses premiers pas hors de son milieu familial. On sait que les conditions dans lesquelles vont se faire ces premières expériences du monde social peuvent être déterminantes. Cependant, le choix du mode de garde pour les tout petits est loin de faire l'objet d'un consensus et, si les enseignants accueillent environ un tiers des deux ans à l'école maternelle, des modes de garde alternatifs existent. Dans ces structures, d'autres professionnels posent un regard différent sur les mêmes enfants et proposent un autre type d'accueil. Cet article se propose de comparer les pratiques de deux types de professionnelles de la petite enfance, l'enseignante et l'éducatrice de jeunes enfants, au travers des mémoires rédigés à l'issue de leur formation initiale.Mots-clés : école maternelle, petite enfance, professionnalité, identité professionnelle.
Article de A. LAURENT VANIER, P. SAUFIER, A. BLANDIN
Paru dans la revue Informations sociales, n° 112, décembre 2003, pp. 78-83.
Mots clés : Enfant, Traumatisme crânien, Accident, Accueil, Accompagnement, Parents, Hôpital, Équipe pluridisciplinaire, Prise en charge, Bibliothèque, HOPITAL NATIONAL DE SAINT MAURICE, ASSOCIATION DE FAMILLES DE TRAUMATISES CRANIENS D'ILE DE FRANCE