Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 1 à 3 sur un total de 3

Votre recherche : *

“Un tchat pour les jeunes femmes victimes de violences”

Article de Lola Fourmy, Louise Delavier, Ynaée Benaben

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3150, 6 mars 2020, pp. 36-37.

Mots clés : Enfance-Famille, Justice-Délinquance, Femme, Violence, Écoute, Technologie de l'information et de la communication, Accompagnement, Association

Depuis 2016, l’association En avant toute(s) œuvre à la prévention et à l’accompagnement des jeunes femmes victimes de violences. Elle a lancé le premier tchat dédié aux moins de 25 ans qui permet aux victimes de se confier et d’être orientées vers des associations spécialisées.

Eglise et pédophilie : oser témoigner

Article de Prisca Borrel

Paru dans la revue Le Cercle psy, n° 35, décembre 2019-janvier-février 2020, pp. 74-75.

Mots clés : Justice-Délinquance, Écoute, Pédophilie, Témoignage, Victime

"Dans chaque diocèse, il existe une cellule d'écoute pour accueillir la parole de victimes d'actes pédophiles dans l’Église. Mais presque personne n'appelle. En revanche, avec des interlocuteurs plus neutres, les langues se délient."

Une société sur fond de malaise terroriste : contretransferts à l’épreuve d’un contexte extraordinaire

Article de Clara Duchet

Paru dans la revue Dialogue, n° 221, septembre 2018, pp. 75-88.

Mots clés : Justice-Délinquance, Terrorisme, Violence, Société, Psychanalyse, Contre-transfert, Écoute

Comment le clinicien peut-il penser et accueillir l’actuel lorsque, sur fond de malaise terroriste, l’après-coup tarde encore à se manifester ? Comment peut-il communiquer sur l’impensable de la violence lorsque celle-ci frappe encore à nos portes et résonne en nous ? À travers l’écriture « clinico-fictionnelle associative », l’auteur se propose de dégager quelques pistes de réflexion sur les effets du contretransfert et de la violence sociétale afin d’en faciliter la traversée intérieure, collective et singulière, au service d’une clinique qui finira inévitablement par lier violences ordinaires et événements extraordinaires.

Accès à la version en ligne