Documentation sociale

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L'allongement osseux, un parcours complexe

Article de Audrey Pallaro

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, n° 327, juillet-août 2022, pp. 9-31.

Mots clés : Santé-Santé publique, Os, Corps, Maladie, Chirurgie, Enfant, Assistant de service social, Handicap, Santé

- Aide-moi à grandir;
- Le retard de croissance staturo-pondérale;
- L'allongement osseux par clou centromédullaire;
- Soins paramédicaux liés à l'implantation d'un clou d'allongement médullaire motorisé;
- Les prises en soins podologiques de l'inégalité des membres inférieurs;
- Prise en charge sociale des patients touchés par un problème de croissance osseuse;
- Appréhender une inégalité de longueur des membres inférieurs chez son enfant;
- Elements de bibliographie.

Education familiale et maladie : circulation des savoirs, coordination et pratique de soins

Article de Nicoletta Diasio, Louis Mathiot, Anne Pellissier Fall, et al.

Paru dans la revue La Revue internationale de l'éducation familiale, n° 48, 2020/2, pp. 13-157.

Mots clés : Santé-Santé publique, Maladie, Prise en charge, Famille, Relation familiale, Relation enfant-mère, Soin, Aidant familial, Médecin, Maladie chronique, Enfant, Adolescent, Hôpital, Pédiatrie, Cancer, Éthique, Gens du voyage

Ce numéro thématique entre au cœur de l’espace domestique, il explore la maladie et sa prise en charge à travers les savoirs et les pratiques familiales, ainsi que les multiples interactions entre la parentèle et les acteurs de la santé. Les situations ici étudiées montrent que les professionnels appartiennent à différents secteurs, qu’il soit hospitalier, celui de l’exercice libéral ou encore des champs du social ou de l’humanitaire.

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L'oncologie pédiatrique

Article de Manuela Briand

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 327, mai 2019, pp. 11-33.

Mots clés : Santé-Santé publique, Maladie, Enfant, Prise en charge, Suivi médical, Accompagnement, Réseau, Hospitalisation à domicile, Guérison, Équipe pluridisciplinaire

Le 8 mars, le président de la République a promulgué la loi n°2019-180 visant à renforcer la prise en charge des cancers pédiatriques par la recherche, mais également par le soutien aux aidants familiaux, la formation des professionnels et le droit à l'oubli.
Avec cette loi, les objectifs du troisième Plan cancer 2014-2019 seront bientôt atteints.
Nous dressons, à cette occasion, un état des lieux de l'accompagnement proposé actuellement aux jeunes patients et à leur famille, depuis l'annonce de la maladie jusqu'aux enjeux psycho-affectifs de l'après cancer. Car, si le cancer reste la deuxième cause de la mortalité chez les enfants âgés de plus de 1 an, le taux de guérison avoisine aujourd'hui 80%.

L'appropriation subjective de la maladie en pédiatrie : la fonction transitionnelle du psychologue de liaison

Article de Isabelle Lambotte, Véronique Delvenne, Lotta de Coster, et al.

Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LIX, n° 2, juin-décembre 2016, pp. 617-627.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé-Santé publique, Enfant, Maladie, Psychologue, Hospitalisation

Le travail du psychologue de liaison avec l’enfant malade hospitalisé est de rendre possible un dégagement et une transformation des traumatismes psychiques potentiels, créés par le contexte de la maladie (annonce de diagnostics graves, séparation, douleurs, angoisses de mort, etc.), et de faciliter l’émergence du processus psychique d’appropriation subjective. Il s’agit d’inscrire le travail du clinicien dans une dimension transitionnelle à différents niveaux. D’abord, en accompagnant l’enfant, les parents, la fratrie, le soignant dans le cadre hospitalier, puis en installant les conditions « suffisamment bonnes » favorables à l’appropriation subjective de la maladie par l’enfant et son entourage, dans un travail de symbolisation, de contenance et de créativité.

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Accompagnement de l’enfant malade en fin de vie et soutien de sa famille en réanimation pédiatrique en France

Article de P. Hubert

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 331-336.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Famille, Pédiatrie, Maladie, Soins palliatifs

L’auteur présente un panorama de l’évolution des réflexions et des pratiques au sein des unités de réanimation pédiatrique à la fois par rapport aux limitations et arrêts des traitements (LAT) et à la place des parents dans ces décisions. Les recommandations professionnelles et les exigences légales y ont très vraisemblablement contribué, mais il convient de ne pas sous-estimer l’importance de la réflexion éthique menée par de nombreuses équipes soignantes de réanimation pédiatrique et néonatale, qui ont su s’enrichir de la contribution de parents, de pédopsychiatres et de professionnels de soins palliatifs. Partant de l’idée que cette décision était trop lourde pour les familles, et qu’il fallait leur éviter d’y être associé pour les protéger, on en est aujourd’hui à l’information et au recueil de l’assentiment ou de la non-opposition des parents de l’enfant malade vis-à-vis d’une LAT. C’est une exigence morale et légale non contestée, même si la législation française a statué que la décision de LAT revenait in fine au médecin. L’attitude recommandée envers les parents s’écarte de toute approche systématique pour privilégier une approche personnalisée, leur laissant le libre choix de leur niveau d’implication vis-à-vis de la décision de l’équipe soignante. Cela se traduit aussi par la présence possible des parents auprès de leur enfant, le respect d’un délai « suffisamment long » (de l’ordre de 24 à 48 heures) entre le moment où l’équipe soignante décide collégialement, avec l’accord des parents, de ne pas poursuivre un traitement, et le moment de son arrêt effectif. Cette attitude suppose une grande cohésion d’équipe où infirmiers et médecins sont ensemble auprès des familles et des enfants, ce qui nécessite aussi que les équipes confrontées à des décisions aussi difficiles puissent être aidées.